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Nouveaux contenus interactifs : découvrez les projets guidés Coursera et la réalité virtuelle !

Saviez-vous que l’apprentissage interactif peut être 45 % plus efficace que l’apprentissage théorique seul ? 

Nous sommes ravis d’annoncer l’ajout de nos nouveaux contenus premium interactifs à notre bibliothèque premium, afin d’engager les apprenants dans une expérience d’apprentissage immersive et pratique !

Notre mission est de répandre l’accès à une bibliothèque de contenus la plus diversifiée et complète au monde, adaptés au style de chaque apprenant. Aujourd’hui, découvrez les deux nouveaux contenus qui viennent renforcer notre offre de formation : les projets guidés Coursera et les cours de réalité virtuelle.

  1. Permettez à vos collaborateurs  de maîtriser rapidement les compétences acquises, grâce aux Projets Guidés de Coursera : des sessions de formation pratiques, avec les conseils d’un expert, étape par étape

Les Coursera Guided Projects couvrent un large éventail de compétences, telles que l’analyse de données, la conception, le développement de logiciels, le marketing numérique, l’informatique dématérialisée, etc. Nous y proposons par exemple “Introduction à JavaScript”, “Apprendre et concevoir une présentation PowerPoint attrayante” ou encore “Introduction aux fonctions SQL Window”. 

Les projets guidés s’appuient sur une approche courte et basée sur des tâches pour aider les apprenants à développer rapidement des compétences professionnelles en utilisant les technologies et les outils les plus récents. Une interface intégrée permet aux apprenants de mettre en pratique ce qu’ils apprennent tout en suivant les conseils de formateurs experts via des vidéos, sans quitter la plateforme Coorpacademy by Go1. Chaque projet peut être réalisé en moins de deux heures. 

Des études montrent en effet que si une nouvelle information n’est pas mise en pratique, nous l’oublions à 75 % au bout de six jours seulement ! Ce niveau d’apprentissage appliqué améliore la rétention de l’information, favorisant une croissance et un développement continus.

– Devenez le héros de votre formation : rentrez directement en immersion dans votre cours en ligne avec la réalité virtuelle (RV)

Dans le cadre de l’extension de l’offre Go1, nous avons également élargi notre partenariat avec Talespin, une plateforme d’informatique spatiale qui favorise la montée en compétences des talents pour l’avenir du travail, afin d’ajouter des cours de réalité virtuelle (RV) où les apprenants pourront s’immerger dans leur apprentissage. 

Grâce aux cours d’apprentissage immersifs proposés par iAM Learning, AMC, Chart Learning Solutions et bien d’autres, les apprenants peuvent monter en compétences et appliquer leurs connaissances dans divers domaines tels que le leadership, les négociations ou encore le traitement des plaintes. 

Que les apprenants accèdent à ces cours par le biais d’un casque de RV ou d’un ordinateur de bureau, ils peuvent directement s’engager dans des scénarios d’apprentissage et de pratique de jeux de rôle avec des instructeurs humains virtuels. La formation à la RV pour les compétences non techniques peut augmenter de 275 % la confiance dans la gestion d’une situation, car elle offre aux apprenants un espace sûr pour mettre en pratique ce qu’ils ont appris.

Nous sommes très enthousiastes à l’idée que vous testiez ces contenus engageants et impactants, comme à l’idée de continuer à diversifier notre bibliothèque premium. Si vous voulez commencer, voici une petite liste de nouveaux contenus interactifs à découvrir dans la bibliothèque Coorpacademy by Go1 sans plus tarder. 

– Projets guidés Coursera recommandés 

1) Techniques de superposition pour Adobe Photoshop [Intermédiaire] 

Compétences acquises : Conception graphique, infographie, Adobe Photoshop.

 

2) Déployer une image de conteneur de site Web dans AWS ECS et AWS Fargate [Débutant] 

Compétences acquises : Applications en nuage, architecture informatique, informatique en nuage.

 

3) Créer un tableau de bord interactif de gestion des indicateurs de performance clés (KPI) dans Tableau [Débutant] 

Compétences acquises : Analyse commerciale, visualisation des données, logiciel Tableau.

 

– Cours de réalité virtuelle recommandés 

1) Leadership agile par iAM Learning 

Compétences acquises : Écoute active, empathie, conscience des autres, sécurité psychologique, régulation des émotions, établissement des prochaines étapes, questionnements, conscience de soi, pensée analytique, état d’esprit de croissance, résolution de problèmes et communication verbale.  

 

2) Conversations difficiles : gérer les plaintes par Chart Learning Solutions 

Compétences acquises : Écoute active, gestion des conversations difficiles, résolution de problèmes, présence, empathie, professionnalisme et confiance. 

 

3) La désescalade par AMC 

Compétences acquises : Écoute active, empathie, sécurité psychologique, régulation des émotions, établissement des prochaines étapes, clarté, cadrage et conscience du risque.

 

Enquête “Former aux soft skills, question de survie pour l’entreprise ?” – ce qu’en pensent les responsables RH-learning

 

Ces derniers mois, nous avons enfilé notre casquette d’enquêteur… Plusieurs centaines de directeurs et responsables RH et formation ont répondu à l’enquête de Coorpacademy by Go1 en partenariat avec le cabinet Féfaur sur les stratégies qu’ils mettent en place pour développer les soft skills dans leur entreprise. 

 

Les entreprises françaises sont en pleine mutation (arrivée de nouvelles IA, digitalisation et nouvelles formes de travail hybride) et pour survivre dans ce nouvel environnement, les soft skills sont devenues incontournables. Dans cet article, nous vous livrons les 3 points clés à retenir de notre étude, et un lien de téléchargement pour la découvrir en intégralité ! 

 

1. Les soft skills : premier levier pour s’adapter aux nouvelles formes de travail hybride


Les soft skills sont cruciales pour les entreprises, qui les considèrent comme la clé pour affronter les transformations du monde du travail et attirer les talents nécessaires à leur succès. 83% des responsables formation-RH mentionnent les nouvelles organisations du travail comme étant leur principale préoccupation et raison de développer les soft skills. Les compétences en communication, la résolution de problèmes et la prise d’initiative sont des atouts précieux pour s’adapter aux changements qui opèrent dans l’entreprise. 

 

La pénurie des talents, en deuxième position (50%), est également une des raisons pour lesquelles les soft skills sont essentielles. Les entreprises ont du mal à recruter et fidéliser des employés dotés des compétences recherchées, en particulier les soft skills comme le travail en équipe, la résolution de problèmes et la prise d’initiative. Les compétences en communication sont également très recherchées. 

 

Enfin, pour près de 45% des responsables formation-RH interrogés, la transformation digitale est leur principale préoccupation. Les collaborateurs doivent acquérir de nouvelles compétences et s’adapter rapidement aux outils technologiques. La capacité d’apprentissage rapide, la créativité, la gestion du temps et l’adaptabilité sont des compétences essentielles pour relever les défis de cette transition.

 

2. Les soft skills : pas réservées aux seuls managers !

Selon l’enquête Coorpacademy by Go1 x Féfaur, près de la moitié des entreprises (soit 49%) privilégient désormais le développement des compétences non techniques pour tous leurs employés, quels que soient leur poste ou leur niveau hiérarchique. Cette tendance reflète une prise de conscience croissante des avantages des « soft skills », qui peuvent profiter à toute l’équipe et favoriser la croissance de l’entreprise dans son ensemble. Il reste encore à convaincre l’autre moitié des entreprises qu’elles bénéficieraient massivement de cette formation à tous les niveaux. Chaque employé peut bénéficier de l’apprentissage de ces compétences pour améliorer sa performance et son bien-être au travail. 

 

Au niveau managérial, comme le montre l’enquête à télécharger ici,  65% des entreprises pensent que les soft skills sont absolument incontournables lorsqu’il s’agit de recruter ou de promouvoir un manager. C’est effectivement clé de s’assurer que les managers aient les compétences nécessaires pour bien encadrer leurs équipes.

 

3. Le Digital Learning : levier clé pour développer les soft skills


Le Digital Learning est un outil apprécié pour l’apprentissage des soft skills, grâce à sa flexibilité, son accessibilité, sa personnalisation et son suivi des compétences. Les responsables formation-RH saluent le potentiel du Digital Learning dans la massification de l’accès aux formations en soft skills pour briser les barrières traditionnelles. La variété des formats proposés et l’adaptabilité de cet outil sont également appréciées par les professionnels du learning & development (L&D) interrogés. La personnalisation des formations en fonction des retours d’expérience et l’évolution des employés est jugée importante par 46% des répondants. La dimension sociale et collaborative du Digital Learning est également valorisée par 25% des sondés, favorisant l’échange de connaissances. Enfin, 20% des répondants soulignent la possibilité d’évaluer l’efficacité des formations et le transfert des compétences acquises dans le milieu professionnel grâce au suivi des soft skills en action. 

 

En conclusion, les résultats de l’enquête Coorpacademy by Go1 x Féfaur mettent en évidence l’importance croissante accordée aux soft skills dans les entreprises et leur impact sur la performance globale de l’organisation. Les responsables formation-RH cherchent à intégrer ces compétences clés dans les parcours de formation continue comme à utiliser les outils de Digital Learning pour offrir des expériences d’apprentissage flexibles, personnalisées et adaptées aux besoins individuels. Cette approche de formation centrée sur l’apprenant favorise l’acquisition et le développement des soft skills indispensables pour réussir dans un monde professionnel en constante évolution. Allez… On repose notre casquette d’enquêteur pour reprendre notre cœur de métier : l’accompagnement dans la montée en compétence par le Digital Learning. 

 

 

Vous souhaitez télécharger l’enquête ? Cliquez ici ! 

Vous souhaitez en savoir plus sur notre offre de Digital Learning ? Rencontrez nos experts dans le cadre d’une démo de nos solutions en cliquant ici.

Place au slashing, ou quand le travail devient pluriel

 

Imaginez. Vous avez 18 ans, le bac fraîchement en poche. La question que l’on vous pose depuis le CP revient. Qu’allez-vous faire plus tard ? Vous avez le droit à 10 choix maximum. On finit par vous accepter partout et c’est comme ça que vous devenez un “slasheur”. 

 

 

Non, ce n’est pas l’intitulé d’un nouveau métier mais bel et bien une énième dénomination pour décrire un phénomène récent sur le marché du travail. Vous n’aimez pas les anglicismes ? Tant pis pour vous, le terme « slasheurs » est issu du mot anglais « slash », qui désigne la barre oblique utilisée pour accoler des mots et conférer à l’ensemble un caractère simultané, par exemple, lorsque l’on souhaite énumérer deux métiers que l’on exerce simultanément.

 

Pour la leçon d’histoire, il a été introduit pour la première fois en 2007 par l’Américaine Marci Alboher dans son ouvrage One Person, Multiple Careers.  Vous ne l’avez peut être jamais entendu, mais il est bien présent dans le Larousse qui le définit de la manière suivante : « personne, généralement issue de la génération Y, qui exerce plusieurs emplois et/ou activités à la fois ».

 

Si peu de statistiques existent encore sur le sujet, une étude menée par le Salon des micro-entreprises en 2015 comptait déjà 4,5 millions de Français étant des “slasheurs”, soit 16% des actifs. Depuis, avec l’hybridation du travail et les attentes des travailleurs qui évoluent, la tendance à cumuler plusieurs jobs pour s’épanouir dans sa vie professionnelle est définitivement en marche.

 

Ces nouvelles attentes sont surtout revendiquées par la Génération Z, qui sont 44% à déclarer “ne pas savoir s’ils souhaitent exercer le même métier toute leur vie” (Moodwork, 2021).  De plus, selon une étude de l’OCDE, les moins de 30 ans devraient exercer en moyenne 13 métiers dans leur vie, dont la plupart n’existent pas encore. Il est donc crucial pour les collaborateurs d’apprendre à devenir plus agiles afin de se préparer pour le futur des compétences. 

 

 

Vous pourriez objecter que le slashing, ce n’est pas pour vous. Lors de vos choix Parcoursup (ou autre plateforme/moment d’orientation), vous n’aviez pas atteint la limite de 10 choix. Mais ne parlez pas trop vite, vous n’avez peut-être pas encore trouvé les métiers “slash” de vos rêves : 85% des emplois de 2030 n’existent pas encore. 

 

Ainsi, “slasher” entre plusieurs métiers pourrait devenir la norme. Cependant, cela représente quelques défis : gestion du temps, agilité, priorisation et sécurité de l’emploi. 

 

Développer ses soft skills est essentiel pour répondre avec résilience aux transformations du monde du travail. Dès lors, voici notre sélection de 3 cours pour apprendre à travailler au pluriel. 

 

Coorpcast – Épisode 13 « Le slashing : plusieurs jobs, plusieurs vies » édité par Coorpacademy

Pour aller plus loin sur ce sujet, ne manquez pas notre épisode de podcast consacré au sujet ! 

 

Mieux gérer son temps coédité avec Dunod Formation

Savoir gérer son temps est essentiel pour être réellement efficace au travail. Une mauvaise gestion de votre propre organisation peut avoir des répercussions sur vos collègues et les équipes avec lesquelles vous travaillez. Et si vous décidez de “slasher”, il sera essentiel de savoir jongler entre différents métiers et organiser votre emploi du temps en fonction de vos priorités ! 

Ce cours vous donnera des conseils et des clés pour tirer le meilleur parti de votre temps au travail.

Mieux gérer son temps au travail

 

Testez vos facultés d’adaptation édité par Coorpacademy 

Par définition, le futur du travail est en évolution constante. Afin de vous y adapter, il va falloir adopter les meilleures pratiques pour devenir agile comme un chat et retomber sur vos pattes en douceur. Testez votre capacité d’adaptation à travers ce quiz en 9 étapes, élaboré à partir des trois cours de notre playlist de cours “Savoir s’adapter”.

Testez vos facultés d’adaptation

 

 

Testez-vous : la clé d’un apprentissage engageant

Pourquoi apprendre (ou plutôt réapprendre) une information que vous connaissez déjà ? À l’ère des réseaux sociaux et de l’ultra connectivité, on peut vite se sentir dépassés par la surcharge d’informations.

C’est pourquoi chez Coorpacademy by Go1, nos modules de cours sont conçus avec la pédagogie inversée. On vous pose une question pour vous tester, avant même de vous faire digérer l’information.

Ainsi, notre équipe pédagogique a imaginé un nouveau format pour tester vos connaissances : les Pop Quiz ! Une interro surprise pour faire le point sur ce que vous savez déjà, en 5 minutes chrono.

Chaque Pop Quiz est composé d’une série de questions. Si vous y répondez correctement, vous remportez 50 étoiles pour la complétion du cours ! Mais alors, sur quels sujets allez-vous vous tester ?

Cybersécurité : avez-vous le virus ?

Découvrez (ou redécouvrez) les bonnes pratiques à adopter en matière de cybersécurité. Mots de passe, sites suspects, et e-mails frauduleux n’auront plus aucun secret pour vous.

À l’issue de ce cours, vous serez capable de :

-Évaluer vos connaissances en matière de cybersécurité

-Muscler vos réflexes et vos bonnes pratiques en ligne

Diversité au travail : évitez les faux pas !

Vous vous demandez si vous êtes un collaborateur inclusif ? (Re)découvrez les bonnes pratiques à adopter en matière de diversité et d’inclusion. Cohabitation intergénérationnelle au travail, équipes multiculturelles ou collègues en situation de handicap, ce test pourrait susciter des questions que vous ne vous étiez peut-être jamais posées.

À l’issue de ce cours, vous serez capable de :

-Évaluer votre niveau de connaissances en matière de diversité et d’inclusion

-Adopter des pratiques inclusives au travail

-Sensibiliser vos collègues au sujet de la diversité et de l’inclusion

Optimisez vos connaissances : apprendre ou à laisser !

Les bonnes pratiques à adopter pour optimiser votre apprentissage. Savez-vous comment stimuler votre mémoire ? Renforcer votre attention ? Apprendre de vos pairs ? C’est le moment de le prouver !

À l’issue de ce cours, vous serez capable de :

-Stimuler votre mémoire

Renforcer votre attention

Apprendre de vos pairs

Record d’emploi des cadres : quel impact sur la mobilité professionnelle ?

La situation du marché du travail est exceptionnellement favorable. Cette réalité se confirme avec la publication de la dernière enquête de l’Association pour l’emploi des cadres (Apec), publiée mardi 4 avril 2023.

Selon cette enquête réalisée chaque année par l’Apec, le marché de l’emploi des cadres dans le privé se porte mieux que jamais, et ce à tous les niveaux de l’entreprise. 

 

Au total, ce sont 308.300 cadres qui ont été recrutés en 2022 en CDI (ou CDD d’au moins un an). Que faut-il retenir de ce chiffre record ? 

-C’est effectivement la première fois que la barre des 300.000 est franchie. 

-C’est aussi plus de 30.000 par rapport à ce qui avait été anticipé il y a un an de cela, en 2022. 

-C’est, enfin, plus de 10% qu’en 2019, qui marquait le dernier record. 

 

De plus, l’année 2023 s’annonce encore plus prometteuse avec les intentions d’embauches de cadres qui continuent d’être tirées surtout par le secteur des services à valeur ajoutée : informatique, ingénierie, conseil, juridique, comptabilité. 

Face à ces tendances, la “grande démission” semble bien loin… voire s’avérer être un mythe pour le cas de la France. 

 

Ce n’est pas tout. Selon l’Apec, 63.500 promotions internes ont eu lieu en 2022. Là encore, il s’agit d’un chiffre record. On peut s’en féliciter, néanmoins, cela peut aussi générer de la frustration auprès des cadres non promus dernièrement, pour lesquels on peut constater une forte volonté d’évolution au cours de leur carrière. 

 

Selon une large enquête menée par l’Institut Montaigne auprès de 5.000 actifs français (février 2023), 55% des travailleurs souhaitent évoluer vers un poste différent au sein de leur entreprise. 

En attendant, les obstacles ressentis à ce type de mobilité restent importants, avec : 

-37% des salariés qui souhaitent quitter leur entreprise dans les 2 ans ;

-22% qui déclarent avoir déjà envisagé une reconversion professionnelle, mais qui ne l’ont pas fait. 

 

Comment répondre à ce nouveau rapport à la mobilité professionnelle ? 

Les DRH doivent effectivement tenir compte de ces tendances dans leur stratégie de rétention des collaborateurs. Selon l’Institut Montaigne, seule une minorité des collaborateurs en entreprise (environ 10%) sont réellement prêts à franchir le pas de changer de secteur d’activité pour répondre à cette envie d’évolution professionnelle. 

Le fait de grandir professionnellement passe par une formation de qualité, adaptée aux besoins des métiers et des grandes transformations que traversent les entreprises. Les collaborateurs attendent de leur employeur qu’ils soient moteurs dans leur développement professionnel. Dans ce cadre, la formation digitale est un levier de fidélisation très fort pour répondre à cette demande renouvelée de la part des salariés. 

Pour en savoir plus, rencontrez nos experts dans le cadre d’une démo de nos solutions en cliquant ici.

 

Record d’emploi des cadres : quel impact sur la mobilité professionnelle ?

 

La situation du marché du travail est exceptionnellement favorable. Cette réalité se confirme avec la publication de la dernière enquête de l’Association pour l’emploi des cadres (Apec), publiée mardi 4 avril 2023.

Selon cette enquête réalisée chaque année par l’Apec, le marché de l’emploi des cadres dans le privé se porte mieux que jamais, et ce à tous les niveaux de l’entreprise. 

 

Au total, ce sont 308.300 cadres qui ont été recrutés en 2022 en CDI (ou CDD d’au moins un an). Que faut-il retenir de ce chiffre record ? 

-C’est effectivement la première fois que la barre des 300.000 est franchie. 

-C’est aussi plus de 30.000 par rapport à ce qui avait été anticipé il y a un an de cela, en 2022. 

-C’est, enfin, plus de 10% qu’en 2019, qui marquait le dernier record. 

 

De plus, l’année 2023 s’annonce encore plus prometteuse avec les intentions d’embauches de cadres qui continuent d’être tirées surtout par le secteur des services à valeur ajoutée : informatique, ingénierie, conseil, juridique, comptabilité. 

 

Face à ces tendances, la “grande démission” semble bien loin… voire s’avérer être un mythe pour le cas de la France. 

Ce n’est pas tout. Selon l’Apec, 63.500 promotions internes ont eu lieu en 2022. Là encore, il s’agit d’un chiffre record. On peut s’en féliciter, néanmoins, cela peut aussi générer de la frustration auprès des cadres non promus dernièrement, pour lesquels on peut constater une forte volonté d’évolution au cours de leur carrière. 

 

Selon une large enquête menée par l’Institut Montaigne auprès de 5.000 actifs français (février 2023), 55% des travailleurs souhaitent évoluer vers un poste différent au sein de leur entreprise. 

En attendant, les obstacles ressentis à ce type de mobilité restent importants, avec : 

-37% des salariés qui souhaitent quitter leur entreprise dans les 2 ans ;

-22% qui déclarent avoir déjà envisagé une reconversion professionnelle, mais qui ne l’ont pas fait. 

 

Comment répondre à ce nouveau rapport à la mobilité professionnelle ? 

Les DRH doivent effectivement tenir compte de ces tendances dans leur stratégie de rétention des collaborateurs. Selon l’Institut Montaigne, seule une minorité des collaborateurs en entreprise (environ 10%) sont réellement prêts à franchir le pas de changer de secteur d’activité pour répondre à cette envie d’évolution professionnelle. 

Le fait de grandir professionnellement passe par une formation de qualité, adaptée aux besoins des métiers et des grandes transformations que traversent les entreprises. Les collaborateurs attendent de leur employeur qu’ils soient moteurs dans leur développement professionnel. Dans ce cadre, la formation digitale est un levier de fidélisation très fort pour répondre à cette demande renouvelée de la part des salariés. 

 

Pour en savoir plus, rencontrez nos experts dans le cadre d’une démo de nos solutions en cliquant ici.

 

Go1 reconnu Core Challenger dans la Fosway 9-Grid™ 2023

 

Fosway révèle l’édition 2023 de son classement des systèmes d’apprentissage dans le rapport 9-Grid™ for Digital Learning. 

 

Après une période d’innovation et de forte croissance, Go1 progresse dans ce classement pour la deuxième année consécutive, et devient “core challenger” (challenger principal) après avoir été identifié comme “solid performer” en 2022. 

 

Le rapport 9-Grid™ est une analyse indépendante des fournisseurs sur les marchés EMEA des RH, des talents et de l’apprentissage, réalisée par le groupe Fosway, un cabinet d’analystes de premier plan dans l’industrie des RH en Europe.

 

« L’étude de Fosway témoigne de l’importance de la curation et l’agrégation de contenu dans le secteur du Digital Learning”, explique David Wilson, PDG du groupe Fosway. « Go1 continue de prendre de l’ampleur en Europe et, en tant qu’agrégateur de contenu, Go1 aide ses clients à consolider et à simplifier l’accès à une bibliothèque de contenus d’apprentissage en ligne sans compromettre l’éventail des choix de contenu”.

« Le fait d’être reconnu comme un Core Challenger est en ligne avec notre vision qui consiste à révolutionner le modèle d’apprentissage traditionnel », précise Ben Allen, CMO de Go1. « Go1 est convaincu que son modèle d’agrégation permet non seulement de démocratiser l’accès à la plus grande variété de contenus d’apprentissage, mais aussi de garantir la qualité, la pertinence et l’engagement des apprenants – soit les clés pour obtenir de meilleurs résultats d’apprentissage”.

 

Pour en savoir plus, découvrez le rapport dans son intégralité ici : https://www.fosway.com/fr/9-grid-2/ 

 

Poisson d’avril : cette année, vous ne serez pas piégés

Le 1er avril approche à grands pas, et avec lui vient la tradition du poisson d’avril.

 

Que vous décidiez de déranger le bureau de votre collègue ou de faire une farce par mail, cette journée (qui tombe un samedi, à notre plus grande déception), est la journée au cours de laquelle votre entourage tentera de vous faire des blagues. Mais cette année, vous n’allez pas vous faire avoir ! 

 

En effet, le poisson d’avril est également une occasion pour certains de diffuser des fausses informations ou de créer des canulars. Ces derniers peuvent se propager rapidement sur les réseaux sociaux, créant ainsi des malentendus ou des paniques inutiles. C’est pourquoi il est important de savoir comment déceler une fake news.

 

Alors, comment faire la différence entre une information fiable et une fake news ? Voici quelques astuces :

  1. Vérifiez vos sources : avant de diffuser une information, assurez-vous qu’elle provient d’une source fiable et crédible. Évitez les sites douteux, les blogs sans autorité, et les publications qui ne citent pas leurs sources.
  2. Faites preuve de bon sens : si une information vous paraît trop belle pour être vraie, c’est probablement le cas. Utilisez votre bon sens pour évaluer les informations qui vous sont présentées.
  3. Utilisez les outils à votre disposition : les outils en ligne comme Google ou Snopes peuvent vous aider à vérifier la véracité d’une information. Il existe également des sites spécialisés dans la vérification des faits, comme FactCheck.org.

 

En résumé, le poisson d’avril est une journée amusante où il ne faut pas hésiter à faire preuve de créativité pour amuser la galerie. Cependant, il est important de ne pas tomber dans la désinformation en ligne. Méfiez-vous des informations que vous recevez et prenez le temps de vérifier leur véracité avant de les partager. Ne soyez pas une victime de la désinformation en ligne !

 

Pour aller plus loin, faites une demande de démo et formez-vous gratuitement avec le cours “S’informer à l’ère de la désinformation” : 

S’informer à l’ère de la désinformation

 

 

Le trio gagnant du développement durable en entreprise : social, économique et environnemental

 

Cet article reprend et s’inspire de nombreux éléments d’un article de Courtney Norton, Content Writer, Go1 (retrouvez-en la version originale ici).

 

Le capitalisme financier, hérité des années 1970, touche aujourd’hui ses limites. Il ne prend pas suffisamment en compte ses externalités négatives : dégradation des écosystèmes, destruction de la biodiversité et réchauffement climatique. Pour retrouver le chemin d’une croissance durable et soutenable, les entreprises ont un rôle clé à jouer, pour doter notre système économique de nouvelles règles du jeu. 

 

Le dernier rapport d’évaluation du GIEC, publié le 20 mars, en souligne l’urgence. Il rappelle que les émissions de gaz à effet de serre dues aux activités humaines ont réchauffé le climat à un rythme sans précédent : la température de la surface du globe s’est élevée de 1,1 degré par rapport à la période pré-industrielle. Selon le rapport, quels que soient nos efforts actuels, le GIEC estime que le réchauffement de la planète atteindra 1,5 °C dès le début des années 2030.

 

Cependant, il est encore possible de limiter ce réchauffement à 2 °C, à la condition d’agir sans plus attendre pour prévenir les effets de ce réchauffement après 2030 afin de :

ramener les émissions mondiales nettes de CO2 à zéro ;

réduire fortement les autres émissions de gaz à effet de serre.

 

Attention néanmoins : agir en faveur d’un développement plus durable ne se cantonne absolument pas à planter des arbres. On vous explique. 

 

Plongeons dans l’univers du développement durable en entreprise et examinons quelques-unes des formes qu’il peut prendre. Nous proposerons également des mesures concrètes que les entreprises peuvent prendre pour améliorer la durabilité. Enfin, nous tenterons de répondre à la question : pourquoi se préoccuper du développement durable dans les entreprises ?

 

Durabilité sociale

La durabilité sociale est souvent écartée au profit d’autres types d’initiatives de durabilité jugées « plus importantes ». En réalité, elle joue un rôle clé dans la sécurité et le bien-être des collaborateurs sur le lieu de travail. Elle est tout aussi importante que la durabilité environnementale et économique.

 

La question est la suivante : comment pouvons-nous faire monter la durabilité sociale dans l’échelle des priorités afin qu’elle occupe la place qui lui revient à côté de la durabilité environnementale et économique ?  

 

Comme souvent, la réponse réside dans l’éducation. 

 

Les ressources d’apprentissage disponibles ne se limitent pas aux formations axées sur la conformité. Bon nombre de plateformes de formation proposent des cours qui permettent à tous les membres de l’entreprise d’apprendre comment ils peuvent être plus durables sur le plan social.

 

Ces formations peuvent les aider à répondre à des questions telles que :

Que pouvons-nous faire pour améliorer la sécurité psychologique sur le lieu de travail ? 

Comment faire en sorte que chacun se sente représenté et écouté au sein de l’entreprise ? 

Comment la durabilité sociale peut-elle impacter positivement l’image de l’entreprise auprès du public ?

 

Durabilité environnementale

À moins que vous ne viviez coupé du monde, nous ne vous apprendrons pas que la durabilité environnementale est un sujet brûlant, pour les entreprises comme pour l’ensemble de la société.

Il va de soi que les entreprises ont des capacités différentes et des responsabilités en ce qui concerne la manière dont elles peuvent impacter la transformation durable. Toutefois, l’essentiel est que les entreprises fassent un effort important, tourné vers l’impact. C’est ce qu’en attendent les employés et les consommateurs.

La pression croissante exercée sur les entreprises pour qu’elles fassent la preuve de leur engagement écologique n’est pas qu’une simple rumeur destinée à les culpabiliser. En 2022, les jeunes diplômés des écoles les plus prestigieuses (AgroParisTech, HEC, ESSEC…) appelaient leurs camarades à déserter les entreprises qui ne s’engagent pas sur le sujet climatique, en distinguant bien l’engagement par de vraies mesures et le greenwashing. 

 

Une étude de  Korn Ferry sur l’engagement des employés en 2018 explique que cet engagement est bénéfique pour l’entreprise pour attirer et fidéliser les talents. Pour 55 % des collaborateurs, l’engagement social ou environnemental d’une entreprise est un critère plus important que le salaire, quels que soient l’âge, la profession ou le domaine d’activité. Cette même étude rapporte que pour les collaborateurs les plus jeunes, cette proportion s’élève à 76 % .

Voici quelques leviers dont les entreprises peuvent se saisir pour s’engager en faveur de la durabilité environnementale : 

Étudier le type d’énergie utilisé pour fabriquer les produits. S’ils sont fabriqués à partir de charbon, est-il possible de passer à une source d’énergie plus durable, comme l’énergie solaire ou éolienne ?

Pour les documents que vous imprimez habituellement sur papier, essayez de les conserver sous forme de fichier numérique. De nombreux programmes permettent de surligner les documents ou d’y ajouter des notes sous forme numérique, ce qui évite d’avoir à les imprimer. Vous seriez surpris de voir à quelle vitesse une ou deux feuilles de papier s’additionnent à des milliers de feuilles dans une entreprise !

Pour chaque poubelle que vous avez au bureau, prévoyez également une poubelle pour le recyclage. Vous constaterez que le simple fait d’avoir la possibilité de recycler signifie que beaucoup moins de choses seront jetées à la poubelle. Il s’agit d’un petit investissement financier à court terme pour un gain environnemental à long terme.

 

Durabilité économique

Le maintien de la viabilité économique d’une entreprise consiste en grande partie à trouver le juste milieu entre la réduction des dépenses inutiles et l’investissement dans des projets favorisant la croissance financière à long terme de l’entreprise.

 

Pour déterminer à quoi peut ressembler une bonne stabilité économique pour une entreprise donnée, il est préférable de prendre contact avec un conseiller financier ou un professionnel équivalent. Les entreprises pourront ainsi se faire une idée précise des mesures spécifiques qu’elles peuvent prendre pour accroître et maintenir leur viabilité économique sur le long terme, tout en assurant la durabilité sociale et environnementale. 

 

Pourquoi se préoccuper du développement durable dans les entreprises ?

Vous pensez peut-être que le développement durable est plus une « bonne chose » qu’une « nécessité » pour votre entreprise. Après tout, la priorité ne devrait-elle pas être la croissance financière et la création d’une équipe de collaborateurs hors pair ? En réalité, le développement durable va de pair avec ces deux éléments.

 

Si les durabilités environnementale, sociale et économique portent des fonctions commerciales distinctes, elles forment quand même un tout. Si les trois sont présentes, l’équilibre tient. Dès que l’une d’entre elles est retirée ou mal organisée, le château de cartes risque de s’effondrer.

 

Cela ne veut pas dire que le fait de ne pas se concentrer sur l’un de ces types de durabilité entraînera l’effondrement total de l’entreprise (il en faut généralement plus). Toutefois, si, par exemple, la durabilité environnementale est négligée, les durabilités sociale et économique d’une entreprise risquent d’en pâtir également.

 

Pour aller plus loin, découvrez le MOOC du C3D “Comprendre la crise écologique pour réinventer l’entreprise” disponible sur les plateformes Coorpacademy by Go1 ou en ligne,  réalisé en partenariat avec 6 réseaux reconnus sur ces sujets : l’ADEME, le Collectif Génération Responsable, le Comité 21, le MEDEF, l’ORSE et le UN Global Compact France.

5 bonnes nouvelles avec l’arrivée du printemps

 

Vous n’avez pas pu le rater… Il est passé à 13h19, en pleine pause déjeuner. Il a enveloppé tout votre corps d’une étreinte chaude et cela à réchauffé votre coeur en un instant. Depuis, vous ne pensez qu’à lui. Vous n’avez qu’une hâte, finir la journée pour aller le retrouver. Ce fameux rayon de soleil annonciateur du printemps. 

 

“Mais il n’y a plus de saisons”, certes (et si ici le sujet n’est pas l’urgence climatique, vous pouvez retrouver notre article “Le développement durable, une priorité pour les entreprises” pour approfondir le sujet) mais le printemps, ce sont les premiers bourgeons, les retours des couchers de soleil en entendant les oiseaux – où les terrasses pour les Parisiens, autre type d’oiseaux migrateurs –  bref, c’est une période de renouveau et de rafraîchissement. C’est le moment idéal pour prendre soin de soi et mettre en place de nouvelles habitudes qui vous donneront de l’énergie pour les mois à venir.

Voici donc 5 choses que vous pouvez refaire à l’arrivée du printemps :

  1. Nettoyer votre maison : Le fameux ménage de printemps ! Cette expression tire son origine du monde agricole, où, après l’hiver, il était nécessaire de vider caves et greniers pour faire la place aux nouvelles récoltes des saisons à venir. Ainsi, c’est le moment idéal pour faire un grand nettoyage de votre maison. Rangez, nettoyez et débarrassez-vous de tout ce qui encombre votre espace de vie. Cela vous permettra de vous sentir plus organisés et plus productifs. En effet, il a été prouvé que le cerveau fonctionne mieux dans un environnement ordonné.
  2. Prenez le vélo : Le retour des beaux jours vous permettra d’échapper aux problèmes de transports. Si vous avez la possibilité de vous rendre à votre lieu de travail en vélo, on vous recommande vivement de vous y mettre au printemps !
  3. Faire de l’exercice à l’extérieur : Avec les températures plus douces, le printemps est le moment idéal pour faire de l’exercice à l’extérieur. Que ce soit pour faire du jogging, du vélo ou simplement marcher, profitez du temps agréable pour sortir et vous dépenser.
  4. Tombez amoureux : Le printemps est connu pour être la saison des amours. Alors aimez ! Vous-mêmes, vos amis, votre famille. Faites de la place pour prendre soin de vos relations.
  5. Apprendre de nouvelles compétences : Le printemps est le moment idéal pour apprendre de nouvelles compétences, que ce soit pour progresser dans votre carrière ou pour votre propre plaisir. C’est une période idéale pour suivre des cours en ligne afin d’apprendre quelque chose de nouveau et stimuler votre cerveau.

 

En conclusion, le printemps est une saison pleine de possibilités et d’opportunités ! 

 

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