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Management intergénérationnel : le B.A-BA des XYZ et cie

 

“Les jeunes, c’était mieux avant !”

 

Chaque génération peut avoir tendance à le penser… et à juste titre, puisqu’il est plus facile de collaborer avec des personnes du même âge que soi. Nous n’avons pas les mêmes aspirations ni les mêmes besoins au quotidien que ceux qui ont plus ou moins d’expérience professionnelle que nous. Notre ebook « X, Y, Z et cie : un guide pratique pour manager toutes les générations » est là pour vous éclairer au sujet de ce phénomène et pour vous convaincre de travailler avec des équipes intergénérationnelles, qui sont celles qui apportent le plus d’efficacité au travail. 

 

Dans cet ebook, nous explorons les différences qui caractérisent chaque génération au travail, pour mieux démystifier les idées reçues et découvrir les points communs qui leur sont attribués. Mais ce n’est pas tout ! Nous vous livrons également des conseils pratiques pour relever les défis du management intergénérationnel et trouver les clés de la motivation pour chaque groupe. Bref, le B.A.-BA des X, Y, Z et compagnie !

 

 

Le monde du travail ne se résume pas à de la philosophie, mais on vous propose quand même une minute philo. Selon André Comte-Sponville, un management réussi repose sur le plaisir que les employés prennent à exercer leur métier. Aujourd’hui, la question du sens au travail revient en force : pourquoi travaillons-nous ? Chacun y répond à sa manière, avec plus ou moins d’importance. Les différentes générations, façonnées par des époques distinctes en constante évolution, appréhendent le travail de manière différente. Alors que les baby-boomers et la génération X considéraient l’entreprise comme une extension d’eux-mêmes, les générations Y et Z voient le travail avant tout comme un moyen d’accomplissement personnel. Et ce changement de perception est au cœur du sujet, car tout le monde pourrait répondre à la question posée plus haut d’une façon différente.

Nous avons récemment regardé la série WeCrashed, qui raconte l’histoire d’Adam Neumann, le fondateur charismatique de WeWork (une aventure controversée et dans l’actualité). Il affirmait que les collaborateurs de demain veulent « faire une vie » plutôt que simplement « gagner leur vie » (“People want to make a life, not a living”). On ne pourra pas le contredire, lorsque l’on voit la prolifération des espaces de coworking et des bureaux ultra-cool de startups, à coup de parties babyfoot et d’afterworks entre collègues. L’entreprise d’aujourd’hui est devenue un véritable lieu de vie, où les générations futures veulent avant tout se sentir bien et épanouies. Le rapport au travail est passé d’une relation purement professionnelle à une relation plus affective, ce qui entraîne de nouvelles attentes de la part des employés et nécessite un management adapté.

 

Ce nouveau paradigme affectif du travail exige un changement de mentalité pour les managers. Ils doivent endosser le rôle de coach, faire preuve d’empathie, d’inspiration et fournir des retours réguliers. Le rapport traditionnel entre manager et subordonné s’efface progressivement pour laisser place à un échange équilibré. Pour fidéliser leurs équipes, les managers doivent être en permanence à l’écoute de leurs collaborateurs. Le rapport de maître à élève laisse peu à peu la place à un rapport gagnant-gagnant, ce qui entraîne une réorganisation des rapports hiérarchiques.

Mais alors, comment relever le défi du management intergénérationnel ? Tout d’abord flexibilité et adaptation seront vos maîtres mots. Chaque génération a ses propres préférences et besoins, alors soyez prêts à vous adapter. Informez-vous sur les besoins et les attentes de vos collaborateurs et tentez d’y répondre en adaptant votre posture.

 

 

Manager des équipes est toujours un processus continu d’adaptation et d’apprentissage, et encore plus lorsque l’on doit manager des collaborateurs ayant des leviers de motivation différents des uns et des autres. Restez à l’écoute et soyez ouvert au changement ! 

 

La première étape ? On vous conseille fortement de mieux comprendre les spécificités de chacun et de découvrir tous nos conseils pour développer les compétences du management intergénérationnel en téléchargeant notre ebook  « X, Y, Z et cie : un guide pratique pour manager toutes les générations ».

 

Turbo Learning : Quand l’IA propulse l’apprentissage vers de nouveaux sommets !

 

Les 9 et 10 mai derniers s’organisait le Hackathon Gen AI au sein de Go1.  Des participants volontaires du monde entier se sont retrouvés en équipes pluridisciplinaires pour une véritable session d’innovation sur le thème de l’IA générative. Attachez vos ceintures, voici Turbo Learning !

 

Imaginez un instant pouvoir exploiter la puissance de l’IA et de la transcription vocale pour extraire, déduire et générer une multitude d’informations pertinentes à partir des vidéos de notre catalogue Go1. C’est exactement ce qu’une des équipes candidates a réussi à réaliser en deux jours seulement. Chapeau bas !

 

Leur objectif était simple mais ambitieux : améliorer l’expérience d’apprentissage en optimisant nos vidéos de formation. Comment ? En utilisant l’IA pour extraire des informations clés supplémentaires à partir du contenu vidéo. Imaginez la richesse de connaissances et d’informations supplémentaires que vous pourriez obtenir grâce à cette technologie de pointe, tout en optimisant votre temps ! 

Notre équipe a réussi à concrétiser cette idée novatrice et à proposer une version POC (Proof of Concept, un prototype). Ils ont exploité l’IA et la technologie de transcription vocale pour permettre d’analyser le contenu de la vidéo de votre choix, pour en extraire les informations clés nécessaires à votre apprentissage. 

Alors, comment cela fonctionne-t-il ? L’IA analyse la vidéo, identifie les concepts clés, les dates importantes, les exemples pratiques et bien plus encore. Elle crée ensuite des résumés concis, des fiches d’informations et des questions pertinentes pour vous aider à approfondir votre compréhension. Elle peut même générer du contenu complémentaire, comme des quiz interactifs ou des exercices pratiques, pour que vous puissiez mettre en pratique vos nouvelles connaissances. Un peu comme un super assistant de formation à vos côtés ! Cela n’est qu’un prototype, mais pourrait devenir à terme un outil à forte valeur ajoutée pour notre équipe d’ingénieurs pédagogiques.

 

 

 

Nous sommes convaincus que l’IA générative a un potentiel immense dans le domaine de l’apprentissage. Cette technologie, que ça nous plaise ou non, est en pleine évolution. Elle ouvre de nouvelles perspectives pour notre entreprise et pour le secteur du digital learning dans son ensemble. En explorant les applications potentielles de cette technologie révolutionnaire, nous nous positionnons stratégiquement à la pointe de l’innovation. L’IA générative est un catalyseur qui nourrit notre réflexion et nous pousse à repenser nos approches traditionnelles de l’apprentissage.

 

Chez Go1, nous sommes fiers de soutenir nos équipes pluridisciplinaires et de leur offrir un espace dédié à l’innovation, à la créativité et à l’expérimentation. Les Hackathons Go1 sont une occasion unique de sortir des sentiers battus et de collaborer avec des équipes brillantes venant de différents horizons. Ils nous permettent de repousser les frontières de ce qui est possible et de créer des solutions audacieuses qui répondent aux besoins de nos apprenants.

 

Préparez-vous, car l’avenir de l’apprentissage est déjà là, et il est plus excitant que jamais !

 

Le top des soft skills à développer d’ici à 2027 : “Future of Jobs”, rapport 2023 du World Economic Forum 

 

Le World Economic Forum (WEF) a publié le 30 avril 2023 le “Future of Jobs Report 2023”. Cette quatrième édition poursuit l’analyse des tendances de l’avenir de l’emploi et fournit des informations essentielles pour guider et préparer les employeurs et les collaborateurs aux évolutions en cours. 

 

En effet, le monde du travail évolue rapidement et les compétences requises pour réussir et favoriser son employabilité changent également. Les employeurs recherchent des personnes qui possèdent non seulement des compétences techniques, mais aussi des compétences comportementales ou des « soft skills ». 

 

Vous pouvez découvrir le rapport en intégralité, sinon restez sur cette page, on vous résume le rapport en 5 points clés :

 

1- Les soft skills, un atout de taille humaine face à l’Intelligence Artificielle (IA)

Selon le rapport du WEF, l’adoption des technologies restera un moteur essentiel de la transformation des entreprises au cours des cinq prochaines années. Alors que les machines et les algorithmes peuvent automatiser de nombreuses tâches répétitives, les emplois qui nécessitent des compétences humaines comme la créativité, la collaboration, la communication, la résolution de problèmes et l’empathie continueront leur croissance. Les compétences douces sont des compétences qui nous différencient radicalement de l’Intelligence Artificielle, c’est pourquoi à mesure que ces technologies de pointe évoluent, la demande en soft skills augmente (de 53% selon la dernière enquête de Coorpacademy by Go1 avec Féfaur, publiée en avril 2023). 

 

Les technologies émergentes telles que l’IA générative redéfinissent les demandes de main-d’œuvre, et les employeurs mettent davantage l’accent sur les compétences « non techniques ». Ces compétences permettent aux entreprises de réagir au changement et à l’automatisation. Les compétences socio-émotionnelles ont pris une place de plus en plus importante entre 2017 à 2023, à l’exception d’une brève remontée vers les compétences techniques pendant les périodes de ralentissement sur le marché du travail qui étaient dûes au Covid-19 pendant l’année 2020.

 

Les technologies les plus susceptibles d’être adoptées sont le big data, le cloud computing, les technologies de l’éducation et l’IA. Plus de 75 % des entreprises envisagent d’adopter ces technologies au cours des cinq prochaines années. Les technologies les plus susceptibles de perturber les emplois sont les plateformes numériques et les applications, l’e-commerce et le commerce numérique, ainsi que l’IA. 

 

 

2- Les soft skills deviennent des leviers clés pour s’adapter aux changements 

Dans un monde en constante évolution, il est important de pouvoir s’adapter rapidement aux changements. Le monde évolue si vite qu’on le qualifie même d’environnement “VUCA” : acronyme pour décrire la volatilité, l’incertitude, la complexité et l’ambiguïté d’une situation. Ce n’est donc pas que dans nos têtes ! Mais bien un phénomène réel, en accélération. Les personnes ayant de bonnes compétences en matière de résolution de problèmes, de pensée critique et de prise de décision seront en mesure de faire face aux défis et aux opportunités qui se présentent à elles. 

 

Depuis la crise sanitaire et l’avènement du travail à distance, les entreprises demandent à leurs talents de savoir collaborer à distance, que ce soit avec des collègues, des partenaires commerciaux et des clients. Les employeurs recherchent des personnes capables de travailler en équipe, de communiquer clairement et d’écouter les autres. 

 

Enfin, les employeurs recherchent des personnes capables de diriger des équipes et de guider les autres. Pour cela, les compétences en matière de leadership, telles que la capacité de communiquer efficacement, de motiver les autres et de résoudre les conflits, sont de plus en plus recherchées.

 

3- Les soft skills améliorent la satisfaction et la productivité des collaborateurs

Les collaborateurs qui possèdent de bonnes compétences comportementales sont souvent plus heureux et plus productifs dans leur travail. Cela peut aider à améliorer l’efficacité de l’entreprise et à réduire le taux de rotation du personnel. 

 

Les plus de 800 entreprises interrogées dans le rapport indiquent que l’investissement dans l’apprentissage et la formation professionnelle est une stratégie courante pour atteindre les objectifs commerciaux de leur organisation. Quatre répondants sur cinq prévoient de mettre en œuvre cette stratégie au cours des cinq prochaines années. Le développement des compétences est le plus souvent considéré comme relevant de la responsabilité des collaborateurs et des cadres, or, pour multiplier l’impact de la formation, celle-ci doit s’inscrire dans la stratégie de l’entreprise au plus haut niveau. 

 

4- Le temps presse : formez-vous avant qu’il ne soit trop tard

Six collaborateurs sur dix auront besoin d’une formation avant 2027, mais seule la moitié d’entre eux semble avoir accès à des possibilités de formation adéquates aujourd’hui. Entre 2023 et 2027, la priorité absolue en matière de formation est l’esprit d’analyse, qui devrait représenter 10 % des initiatives de formation en moyenne. La deuxième priorité est de promouvoir la pensée créative, qui fera l’objet de 8 % des initiatives de formation. La formation à l’utilisation de l’IA et du big data se classe au troisième rang des priorités des entreprises en matière de montée en compétences au cours des cinq prochaines années et sera privilégiée par 42 % des entreprises interrogées. Les employeurs prévoient également de se concentrer sur le développement des compétences “douces” des collaborateurs, c’est à dire en matière de leadership et d’influence sociale (40 % des entreprises), de résilience, de flexibilité et d’agilité (32 %), ainsi que de curiosité et d’apprentissage tout au long de la vie (30 %). Deux tiers des entreprises s’attendent à un retour sur investissement de la formation professionnelle dans l’année qui suit l’investissement, que ce soit sous la forme d’une mobilité accrue entre les rôles, d’une plus grande satisfaction des collaborateurs ou d’une amélioration de leur productivité.

 

 

Les entreprises prévoient également que l’investissement dans la transition écologique et l’adaptation au changement climatique auront un impact sur l’emploi. Il demanderont notamment aux collaborateurs de développer de nouvelles compétences en matière de développement durable, ce qu’on appelle les Green skills. Le rapport “Global Green Skills Report 2022” de LinkedIn paru en 2022 en donne la définition suivante : « Les compétences vertes sont celles qui assurent la durabilité environnementale des activités économiques ». Le même rapport nous indique aussi que la part des talents “verts” dans la main-d’œuvre est passée de 9,6 % en 2015 à 13,3 % en 2022 (soit un taux de croissance de 38,5 %).

5- On rebat les cartes des compétences 

Les employeurs estiment que 44 % des compétences des collaborateurs seront perturbées au cours des cinq prochaines années. Les compétences cognitives sont celles dont l’importance croît le plus rapidement, ce qui vient confirmer l’ampleur du besoin en résolution de problèmes complexes sur le lieu de travail.

 

Selon le rapport, plusieurs compétences voient leur importance boostée de façon considérable. Les entreprises interrogées indiquent que la pensée créative gagne en importance un peu plus rapidement que la pensée analytique. La maîtrise des technologies est la troisième compétence de base dont l’importance croît le plus rapidement. Les compétences en matière d’auto-efficacité se classent avant le travail en équipe lorsqu’il s’agit du classement des compétences évoluant le plus rapidement. Les attitudes socio-émotionnelles dont l’importance croît le plus rapidement selon les entreprises sont la curiosité et l’apprentissage tout au long de la vie, la résilience, la flexibilité et l’agilité, ainsi que la motivation et la conscience de soi. La pensée systémique, l’IA et le big data, la gestion des talents, ainsi que le service à la clientèle complètent le top des compétences en croissance. Alors que les répondants ne jugent aucune compétence en net déclin, une minorité d’entreprises mais significative quand même, estime que la lecture, l’écriture et les mathématiques ; la capacité à garder son sang froid ; la dextérité manuelle, l’endurance et la précision sont de moins en moins prioritaires pour leurs collaborateurs.

 

45 % des entreprises considèrent qu’investir dans le développement des compétences est efficace pour relier les talents à l’emploi. Parmis les actions que le gouvernement peut mettre en place pour favoriser l’emploi, le financement de la formation professionnelle se classe devant la flexibilité des pratiques d’embauche et de licenciement (33 %), les incitations fiscales et autres pour que les entreprises améliorent les salaires (33 %), l’amélioration des systèmes scolaires (31 %) et la modification des lois sur l’immigration des talents étrangers (28 %). 

 

 

En conclusion, les soft skills sont de plus en plus importantes dans le futur du travail. Les employeurs recherchent des personnes qui possèdent des compétences comportementales telles que la collaboration, la communication, la résolution de problèmes et le leadership. Les personnes possédant ces compétences sont mieux préparées pour faire face aux défis et aux opportunités dans un monde en constante évolution.

 

Mais alors, quels sont les 10 soft skills à développer d’ici 2027 ?

Go1 annonce l’acquisition de Blinkist et diversifie son offre en proposant un nouveau modèle d’apprentissage !

 

Go1 fait l’acquisition de Blinkist, une application mobile phare de microlearning. Blinkist permet aux utilisateurs de monter en compétences à travers le résumé et les idées clés tirées de livres professionnels et de podcasts. Son application est utilisée par des dizaines de millions de personnes dans le monde entier.

 

Cette acquisition constitue la base d’un nouveau modèle d’apprentissage innovant en entreprise, qui cherche à impliquer les apprenants dans leur apprentissage au quotidien.

 

Chez Go1, notre objectif est de fournir aux organisations un accès à un contenu d’apprentissage de haute qualité et utile, et nous pouvons maintenant aller plus loin pour atteindre les apprenants là où ils se trouvent, peu importe le moment. Il s’agit d’un modèle unique sur le marché du learning, et nous sommes très enthousiastes à ce sujet.

 

En combinant nos forces, nous offrons à nos clients et partenaires l’accès à la bibliothèque de contenus complète de Blinkist, qui contient des condensés d’idées clés tirées d’ouvrages de développement professionnel, lesquels ont déjà prouvé qu’ils faisaient partie des titres les plus populaires et les plus attrayants de la bibliothèque Go1. Il est important de noter qu’à terme, nous pourrons donner aux utilisateurs la possibilité d’apprendre en dehors du cadre traditionnel du travail. Les apprenants pourront lire, écouter ou regarder du contenu dans n’importe quel format – un extrait sonore, un résumé de 15 minutes ou un cours complet – sur n’importe quel appareil, à n’importe quel moment.

 

« Nous avons lancé Blinkist en tant que service pour les apprenants, mais nous avons constaté un intérêt croissant de la part des entreprises au cours des dernières années », a déclaré Holger Seim, CEO de Blinkist. « Combiner nos forces avec Go1 nous permet de capitaliser sur cette tendance et d’établir Blinkist comme un complément solide au mix d’apprentissage des entreprises, tout en continuant à développer notre marque grand public. »

 

Go1 et Blinkist partagent l’objectif commun de faire aimer l’apprentissage tout au long de la vie, et les deux organisations ont déjà mis en place un partenariat solide pour ce faire. La combinaison des bibliothèques Blinkist et Go1 représente un assortiment solide de ressources pédagogiques pour les clients des deux entreprises. Nos clients et partenaires seront informés au premier chef de la bonne intégration de Blinkist dans le portefeuille de produits Go1 comme du développement de nouvelles fonctionnalités.

 

« Je suis le parcours de Go1 depuis plusieurs années et je suis convaincu de l’impact et des opportunités qu’offre la formation en ligne », a déclaré Charles Conn, président de Patagonia, cofondateur et partenaire de Monograph Capital. « En tant que co-auteur de l’ouvrage Bulletproof Problem Solving, je sais à quel point atteindre un public large est important, bien que complexe. Il est formidable que notre livre audio, le résumé du livre et le cours abrégé soient tous disponibles par le biais d’un seul abonnement à l’avenir. L’acquisition de Blinkist par Go1 va considérablement élargir l’offre de contenus de qualité pour ses utilisateurs, en améliorant l’accès aux connaissances des auteurs et des chercheurs afin d’outiller les apprenants et les organisations à travers le monde ».

 

Talents, attrapez-les tous : le pouvoir de la formation aux soft skills

 

“Un jour je serai le meilleur manager
Je me battrai sans répit
Je ferai tout pour être leader
Et gagner tous les défis
Je parcourrai la terre entière
Traquant avec espoir
Les talents et leurs mystères
Le secret de leurs pouvoirs

Talents !
Attrapez les tous…”

Selon “Pokepedia”, l’encyclopédie relative à la série japonaise culte, “pour réussir à capturer un Pokémon sauvage, il faut lui lancer une Poké Ball, après l’avoir épuisé lors d’un combat Pokémon.”

Bon, on vous déconseille de lancer une Poke Ball sur vos collègues ou de les épuiser à la tâche. On ne vous recommande pas non plus de changer votre organigramme pour un Pokedex, ni d’assimiler vos concurrents à la Team Rocket. En revanche, comme dans la série, les Pokémons, s’ils sont épanouis, vont connaître des évolutions et gagner en compétences. Vous voyez où on veut en venir ?

Allez, mettons fin à notre métaphore alambiquée et rentrons dans le vif du sujet. Dans cet article nous allons parler de rétention des talents.

 

Les entreprises sont confrontées à une pénurie de talents qualifiés, ce qui rend la rétention des talents plus importante que jamais. Selon notre récente enquête menée conjointement avec Féfaur auprès de 250 directeurs de la formation, 50% des directions RH considèrent que la formation aux soft skills est essentielle pour surmonter cette pénurie.

 

Les soft skills sont des compétences comportementales qui sont de plus en plus recherchées par les employeurs, notamment la capacité à travailler en équipe, résoudre des problèmes et prendre des initiatives. Les collaborateurs ayant ces compétences sont des atouts précieux pour les entreprises, et la formation aux soft skills est donc essentielle pour les retenir, leur permettre de monter en compétences et ainsi évoluer dans leur poste et au sein même de l’entreprise. 

Le Digital Learning est un outil de formation particulièrement adapté pour apprendre les soft skills. Il est flexible, accessible et personnalisable, ce qui permet aux employés de se former à leur propre rythme et selon leurs propres besoins. Selon l’enquête, 64% des répondants saluent le potentiel du Digital Learning de massification à l’accès aux formations en soft skills, brisant les barrières traditionnelles pour former davantage d’employés.

 

 

De plus, la formation est un levier important pour l’engagement et la fidélisation des employés. Selon une enquête menée par OpinionWay pour l’Observatoire de l’Engagement, 68% des employés considèrent que la politique de formation et de développement est la plus importante de leur entreprise (ClearCompany). Les collaborateurs souhaitent effectivement que leur entreprise les accompagne dans leur développement professionnel. 81% d’entre eux demandent des programmes de formation pour maintenir leurs compétences (France Compétences). Il est donc stratégique pour les entreprises de proposer à leurs collaborateurs un programme de formation aux soft skills accessible et engageant. 

 

En somme, la formation aux soft skills est essentielle pour retenir les talents et assurer le succès des entreprises. Le Digital Learning est un outil de formation efficace et accessible qui permet de répondre aux besoins de formation en soft skills des employés. Si vous êtes intéressés par les résultats complets de cette enquête, n’hésitez pas à la télécharger pour en savoir plus.

 

Découvrez l’intégralité de notre enquête dans notre ebook “Soft skills : question de survie pour l’entreprise ?” : cliquez ici !

2050 : L’Odyssée RH – Épisode 5

 

Quelque part dans le monde, à une date dont vous n’avez pas l’utilité, nous avons localisé une technologie poussée permettant de nous immiscer dans le quotidien des salariés. Ce voyage fantastique à travers les expériences de différents collaborateurs vous entraînera jusqu’aux confins du Future of Work et vous permettra de percer les enjeux de transformation des entreprises. Aujourd’hui dans notre odyssée, découvrez le quotidien de Zoel…

 

Zoel venait d’arriver sur le lieu de la conférence à laquelle elle venait assister en présentiel, ce qui était inédit pour elle qui était plutôt habituée aux visioconférences et aux apéros métavers. Elle entra dans l’auditorium. Tout était comme annoncé sur l’invitation : sièges en cuir, lumières tamisées, faux cubicules, vieux standard de téléphone à fil et machine à café à filtre. 

 

Elle était venue écouter une conférence pour le moins originale, qui promettait une immersion dans le monde du travail tel qu’on le connaissait dans les années 90. Le sujet de la conférence portait sur le développement des compétences, des années 2000 à ce jour.

 

Zoel prit place sur une rangée de sièges de bureau – peu ergonomiques – et le silence se fit dans la salle. Les lumières de la scène s’allumèrent, laissant place au titre de la conférence s’affichant sur un écran télévisé : « Histoire de la formation : pourquoi les gens continuent-ils à apprendre ? ». Une silhouette robotique – mais qu’on pourrait confondre avec celle d’un humain – entra sur scène, et, après une courte pause et un regard autour de la salle, la chercheuse Scire prit la parole : 

Image générée par  intelligence artificielle via Midjourney avec le prompt "a robotic human AI on a stage, big group of people sitting in a conference in the style of an old theater, with a futuristic look, 3d natural light --v 5 --s 250"

 

“Et si je vous disais que vous êtes obsolètes ?”

 

Zoel fut surprise par cette entrée en matière. En effet, Scire était une chercheuse reconnue ainsi qu’une Intelligence Artificielle conçue uniquement pour regrouper le savoir d’un grand nombre de chercheurs et experts en sciences de l’apprentissage. Cela lui avait forgé une certaine renommée, mais elle ne l’imaginait pas provoc’. Elle s’attendait à quelque chose de plus institutionnel… 

 

“Ce n’est pas une plaisanterie, rassurez vous, je ne fais pas encore de spectacle humoristique. Non, je vous parle de vos compétences. Il y a encore quelques années, en 2025, cette question n’était pas si risible. Laissez-moi remonter le temps un instant.”

 

En 2025, les entreprises font face à d’importants enjeux de formation. À l’époque, l’obsolescence des compétences au sein des entreprises fait rage. Entre les crises sanitaires bouleversant les modes d’organisation, les sujets environnementaux et la technologie évoluant toujours plus vite, les collaborateurs de 2025 ont dû développer des compétences essentielles et ce, en continu. Dans ce contexte, les entreprises ont joué un rôle absolument clé dans la montée en compétences de toutes les personnes employées. 

 

Imaginez-vous, en 2020, 17% de la population française était en situation d’illectronisme, alors même que les premiers outils de réalité virtuelle voyaient le jour. Autre exemple, selon le World Economic Forum, 94% des chefs d’entreprise estimaient que leurs collaborateurs devaient acquérir de nouvelles compétences. De plus, il a fallu attendre 2022 pour qu’une entreprise intègre dans son rapport annuel son “chiffre d’affaires durable”. C’était alors une question de survie pour les entreprises que d’accompagner leurs collaborateurs sur ces enjeux, à la fois pour la pérennité de l’entreprise mais également pour assurer l’employabilité des collaborateurs. 

 

Mais alors, comment les entreprises ont-elles relevé le défi ? 

 

Dans un contexte compliqué pour les entreprises où le marché de l’emploi est en tension, où les modes d’organisation du travail se transforment et tendent vers un mode hybride, les entreprises en 2025 ont dû investir dans une meilleure expérience collaborateur. Ici, tout est pensé pour favoriser les recrutements et la rétention des talents. Car après tout, que l’on soit en 2025 ou en 2050, nous le savons : l’humain reste la ressource la plus essentielle à l’entreprise. 

 

Pour attirer les talents et assurer leur employabilité, les entreprises ont donc misé sur plusieurs leviers, dont un qui nous intéresse en particulier : la formation en ligne. En effet, en 2022, une enquête menée conjointement par Coorpacademy by Go1 et Féfaur auprès de directeurs formations révélait que près de la moitié des entreprises – 49 % – privilégiaient déjà le développement des compétences non techniques pour tous leurs employés, quel que soit leur poste.

 

La formation en ligne – qui a vu le jour avant 2025 évidemment, avec son ancêtre appelé e-learning – a révolutionné les modes d’apprentissage. Grâce à des plateformes d’apprentissage en ligne facilement intégrables à leur écosystème et accessibles en un seul clic, les entreprises ont pu toucher massivement leurs collaborateurs. Ensuite, ces plateformes ont su redonner l’envie d’apprendre, grâce à des protocoles pédagogiques élaborés pour un apprentissage actif. C’est alors qu’on a pu voir l’émergence de la formation hybride : une solution en ligne, qui permet de compléter une stratégie de formation en présentiel. Ça, c’est un premier sujet. 

 

Mais pour développer quelles compétences ?

 

En 2025, les soft skills étaient au pic de leur popularité. La capacité d’innovation, les aptitudes à résoudre des problèmes complexes et les techniques d’apprentissage actif qui engagent les apprenants étaient déjà identifiés comme des compétences indispensables. Vous les connaissez aujourd’hui comme des “smart” skills, ces compétences qui finalement, sont nécessaires pour mener à bien toutes tâches, techniques ou non, et nous permettent surtout d’interagir avec nos pairs et à appréhender notre environnement. Si la formation est aussi démocratisée en 2050, c’est en grande partie grâce au développement des plateformes d’apprentissage en ligne mais également grâce aux “soft” skills acquises par les collaborateurs. En effet, cela a permis aux entreprises de s’adapter plus rapidement aux changements, et même d’anticiper les tendances sociétales et technologiques qui les impacterait. 

 

Zoel était stupéfaite. Des soft skills… Pourquoi cette appellation ?  Ces compétences étaient pourtant loin d’être “douces”. Elle qui débutait dans le monde du travail, elle n’avait encore jamais entendu parler de soft skills. Elle aurait certainement argumenté que gérer des projets, manager une équipe, savoir écouter et faire preuve d’humilité étaient loin d’être des actes doux, au contraire, ils étaient forts et courageux. La voix encore légèrement robotique de Scire l’extirpa de ses pensées.

 

“Où en sommes-nous aujourd’hui, en 2050 ? 

 

Grâce à la reconnaissance de ces compétences au fil des années, les organisations ont pu faire des avancées considérables. À l’heure à laquelle je vous parle, des milliers de personnes se forment, qu’elles soient cadres, à leur propre compte, ou sur le terrain, en usine par exemple. La formation n’a plus de frontières, ni de pare-feu. Considérée comme un levier essentiel de la stratégie de l’entreprise, elle est accessible à tous, et chacun reconnaît son efficacité. Une collègue l’a écrit il y a 25 ans, mais je le redis ici, si le travail quant à lui est facile, ce sont les gens qui ne le sont pas. En développant nos smart skills, ces compétences qui nous aident à nous comprendre et donc à comprendre l’autre, nous ne pouvons que simplifier la manière dont nous travaillons. C’est pourquoi il est crucial de continuer de se former, car l’être humain est un système complexe, en constante évolution et au sujet duquel nous n’avons pas fini d’en apprendre plus…”

 

“Nous ?” Zoel se figea. L’IA experte en science de l’apprentissage s’intégrait elle-même dans le groupe des “humains”. Bien sûr, Zoel avait tout écouté attentivement. Mais une question existentielle avait néanmoins fait irruption dans ses pensées tout au long de la conférence. Elle ne pouvait s’empêcher de penser que malgré toutes les connaissances de Scire, cette dernière n’avait pas réussi à faire rire son audience. L’IA n’avait donc pas d’humour ? Elle conclut que s’il y avait bien une chose qui nous différencie, nous les humains, c’était justement les soft skills.

 

La conférence était terminée. Pour faire perdurer l’expérience immersive, tous les invités étaient conviés à un cocktail dinatoire afin d’échanger. Tout le monde était unanime : les soft skills étaient indispensables pour évoluer et rester compétitifs. Le développement de l’intelligence artificielle et son utilisation dans les entreprises avait révélé ce constat. 

 

État des lieux 

En 2050, la formation ne sera plus réservée aux seuls managers : elle touchera tous les collaborateurs au sein de l’entreprise. Grâce aux nouveaux gadgets technologiques tels que les lunettes connectées ou les smartphones intelligents, la formation est totalement intégrée dans le quotidien des collaborateurs. Se former devient un réflexe pour répondre aux difficultés que chacun peut rencontrer lors de ses tâches opérationnelles. En usine, les bornes d’apprentissage disséminées dans l’entrepôt permettent de se former rapidement sur une nouveauté technique, ou de se faire une piqûre de rappel sur l’une des nombreuses consignes de sécurité. Dans les bureaux 4.0, l’intégration de votre plateforme de formation est directe et fluide, permettant aux opérationnels et aux managers de se former dès qu’ils en ressentent le besoin. Le développement des compétences est valorisé et démocratisé à tous les métiers.

 

Soft skills : le secret mal gardé d’un management efficace

 

Les soft skills, ces compétences non techniques liées à la personnalité, aux relations interpersonnelles et à la communication, sont de plus en plus reconnues comme un facteur clé de succès pour les entreprises. Et cela est particulièrement vrai pour les managers.  

 

Dans une enquête récente menée conjointement par Coorpacademy by Go1 et Féfaur auprès de plus de 250 directions Learning & Development d’entreprises françaises, 65 % des interrogés estiment que les soft skills sont absolument incontournables lorsqu’il s’agit de recruter ou de promouvoir un manager.

 

 

Cela n’est pas surprenant, car les qualités personnelles et relationnelles telles que la gestion d’équipe, la communication et le travail à distance sont essentielles pour une communication fluide et une collaboration efficace au sein des équipes encadrées. En tant que manager, se former au soft skills est donc un levier incontournable pour s’améliorer en continu. 

 

Mais ce ne sont pas seulement les managers qui ont besoin de développer ces compétences. En réalité, tous les collaborateurs, quel que soit leur niveau hiérarchique au sein de l’organisation, en ont besoin.  Les soft skills sont de plus en plus demandées sur le marché du travail : selon une étude du cabinet McKinsey, la demande en compétences physiques et manuelles devrait chuter de 16 % d’ici 2030 en Europe. Les collaborateurs dotés des meilleures soft skills seront de plus en plus recherchés pour assurer le bon fonctionnement du monde du travail de demain. Et si vous avez du mal à vous projeter, le réseau social LinkedIn a constaté que 92 % des entreprises s’accordent déjà à dire que les soft skills sont déjà aussi importantes que les hard skills. Nous n’avons pas fini d’en apprendre sur les soft skills… et d’apprendre tout court.

 

Si cela est évident pour les managers, les directions formation interrogées commencent à y voir des atouts pour les équipes dans leur ensemble, en faveur de la croissance de l’organisation. Selon notre étude “Former au soft skills, question de survie pour l’entreprise ?”, près de la moitié des entreprises – 49 % – privilégient le développement des compétences non techniques pour tous leurs employés, quel que soit leur poste.

La bonne nouvelle, c’est qu’avec le Digital Learning, tous les collaborateurs peuvent monter en compétences. Les entreprises ont également un rôle à jouer en permettant l’accès à ces formations ciblées sur les soft skills. La majorité des directeurs formation – 64 % – saluent le potentiel du Digital Learning pour massifier l’accès aux formations en soft skills, brisant ainsi les barrières traditionnelles pour former davantage d’employés.

 

 

En conclusion, les soft skills sont essentielles pour le succès de toute entreprise, quelle que soit sa taille et quel que soit son secteur. Les managers en particulier ont besoin de ces compétences pour réussir dans leur rôle, mais tout le monde peut en bénéficier. Les entreprises doivent donc s’efforcer de démocratiser l’accès aux formations en soft skills pour tous leurs employés, ce qui peut être réalisé grâce au potentiel du Digital Learning. Si vous êtes intéressés par les résultats complets de cette enquête, n’hésitez pas à la télécharger pour en savoir plus.

 

Pour aller plus loin, découvrez l’intégralité de notre enquête dans notre ebook “Soft skills : question de survie pour l’entreprise ?” : c’est par ici !

Go1 renforce son partenariat avec SAP et obtient la certification SAP Endorsed pour son application.

Après avoir récemment terminé le processus de certification premium de l’éditeur international SAP pour son application, Go1 est désormais partenaire SAP Endorsed. 

Les SAP Endorsed Apps sont des applications premium certifiées par SAP, des fonctions de sécurité supplémentaires et des tests approfondis. Celles-ci permettent aux utilisateurs de SAP SuccessFactors d’importer de manière transparente et sécurisée du contenu de la bibliothèque de Go1 directement dans SAP SuccessFactors. 

Les apprenants pourront ainsi accéder au contenu via une connexion unique, ce qui rendra l’apprentissage à la demande incroyablement facile et pratique. En outre, tous les résultats d’engagement et d’apprentissage seront synchronisés avec SAP SuccessFactors, assurant ainsi un suivi centralisé. 

Et ce n’est pas tout. La bibliothèque de contenus proposée par Go1 améliore les solutions d’apprentissage de SAP SuccessFactors en facilitant la découverte et la consommation de ces contenus et en aidant les entreprises à proposer des parcours de développement des compétences adaptés aux besoins de chaque collaborateur. 

En résumé ? Vous pouvez consolider votre contenu de formation et centraliser votre suivi. En d’autres termes, grâce aux expertises combinées de Go1 et de SAP SuccessFactors, il sera plus facile pour chacun d’accéder au contenu de formation, ce qui permettra aux entreprises d’optimiser l’expérience learning qu’ils proposent aux collaborateurs. 

En tant que partenaires stratégiques, Go1 et SAP SuccessFactors :

  • simplifient l’approvisionnement de la formation en donnant accès aux contenus de formation de plus de 250 fournisseurs dans le monde, sur un large éventail de compétences et dans plus de 26 langues, pour l’ensemble des équipes. Ces contenus sont directement disponibles dans SAP SuccessFactors Learning ; 
  • fournissent le contenu aux apprenants en direct, grâce à des intégrations transparentes et à l’authentification unique pour SAP SuccessFactors ; 
  • favorisent l’engagement des apprenants grâce à des parcours d’apprentissage personnalisés, des recommandations personnalisées et une variété de formats d’apprentissage, de la réalité virtuelle au micro-apprentissage en 5 minutes seulement ; 
  • mesurent les résultats de la formation en temps réel, de manière centralisée dans SAP SuccessFactors, afin d’optimiser votre activité.

 

L’application Go1 est disponible dans le SAP Store, la place de marché numérique pour les solutions de SAP et de ses partenaires. Les clients existants peuvent également contacter leur Customer Success Manager Coorpacademy by Go1, pour avoir plus d’informations.

 

Go1 est fier d’annoncer ce partenariat, qui permettra à un plus grand nombre d’organisations de disposer de sa bibliothèque de contenus dans l’environnement d’apprentissage au sein duquel se trouvent déjà tous leurs employés. 

Le top des soft skills à développer en complémentarité avec l’IA

Arrivée de nouvelles IA, digitalisation et nouvelles formes de travail hybride… Comment les métiers sont-ils impactés face à ces évolutions ? Notre dernière enquête auprès de plus de 200 directions et responsables formation-RH en partenariat avec Féfaur (avril 2023) vient nous rassurer sur le fait que les humains ne sont pas devenus obsolètes en entreprise, bien au contraire. 

 

Les soft skills, propres à l’humain, sont devenues plus importantes que jamais pour se différencier des robots ! Mais par où commencer ?

 

-Je ne suis pas un robot 

Les soft skills, ou compétences comportementales, font référence aux qualités personnelles qui permettent aux individus de travailler efficacement avec les autres. Ces compétences sont liées aux qualités telles que la communication, la créativité, la résolution de problèmes, l’empathie, l’adaptabilité, la pensée critique, la collaboration ou le leadership.

 

L’IA est extrêmement utile pour effectuer des tâches répétitives et analyser des données en un temps record. Cependant, elle n’est pas capable d’égaler les compétences humaines qui sont nécessaires pour être performant et capable de travailler en équipe.

 

Les compétences comportementales sont bel et bien ce qui nous permet de faire preuve d’une chose que l’IA ne peut apprendre : le bon sens. Le cerveau humain a des subtilités que même la plus parfaite des IA ne pourrait égaler, comme par exemple : savoir communiquer efficacement, comprendre les émotions et être créatif.

 

-Les soft skills comme un outil pour utiliser l’IA 

Près de 45% des responsables formation-RH interrogés dans notre enquête identifient la transformation digitale comme leur principale préoccupation. Les collaborateurs doivent acquérir de nouvelles compétences et s’adapter rapidement aux outils technologiques. La capacité d’apprentissage rapide, la créativité, la gestion du temps et l’adaptabilité sont des compétences essentielles pour relever les défis de cette transition.

 

Avec l’accélération de la digitalisation et les nouvelles innovations en matière d’intelligence artificielle (GPT4, Midjourney, DALL-E), les entreprises doivent accompagner leurs collaborateurs dans la prise en main de ces outils. Pour le faire, les soft skills sont primordiales. Les compétences comme l’esprit critique permettront aux collaborateurs d’utiliser ces nouveaux outils avec parcimonie, vigilance et intelligence. 

 

S’adapter avec vigilance : c’est la recommandation de la majorité des experts en application des IA ces temps-ci, comme en témoignent les nombreuses retombées médiatiques à ce sujet. The Economist y a d’ailleurs consacré sa couverture européenne et un dossier décliné en plusieurs focus le 21 avril dernier.

 

– On met la main à la pâte ? 3 soft skills que l’IA nous envie

 

Les répondants à notre enquête ont énuméré plusieurs soft skills qu’ils considèrent comme prioritaires. Nous avons donc constaté que les responsables formation-RH voient se dessiner trois soft skills principales

 

-La capacité à travailler en équipe arrive en première place, avec pas moins de 82% des réponses. En effet, face aux nouvelles organisations hybrides, les besoins en matière de collaboration s’intensifient. 

-En deuxième position arrivent les compétences de communication (69%). En effet, pour travailler à distance notamment, savoir communiquer est un atout absolument majeur. 

-Enfin, l’intelligence émotionnelle ou l’empathie (64% des réponses). Elles sont des compétences de plus en plus identifiées comme cruciales dans la création et le maintien d’un environnement de travail sain et productif.

En conclusion, les entreprises doivent investir dans le développement de ces compétences chez leurs employés afin d’apprendre à utiliser et à tirer le meilleur parti de l’IA, ainsi que pour favoriser sa compétitivité et sa performance ! Les soft skills sont aussi un vrai levier d’attractivité. En effet, pour les jeunes actifs, la place que l’entreprise accorde à l’humain, aux valeurs, à la raison d’être, et par conséquent au développement des soft skills est crucial. La majorité des entreprises l’ont compris : accompagner leurs collaborateurs dans leur montée en compétences “douces” est un facteur différenciant ! Et même… incontournable. 

 

Pour aller plus loin, découvrez l’intégralité de notre enquête dans notre ebook “Soft skills : question de survie pour l’entreprise ?” : c’est par ici !

 

Earth Day : développez vos compétences vertes en 2023 

 

La Journée de la Terre, célébrée chaque année le 22 avril, nous donne l’occasion de rappeler l’importance de protéger notre planète et de sensibiliser le public aux enjeux environnementaux. 

 

Le constat est unanime : l’urgence climatique à laquelle nous faisons face collectivement ne peut être résolue sans l’implication forte des entreprises, qui ont un rôle crucial à jouer dans la transition écologique. 

 

En effet, les entreprises sont responsables d’une part significative des émissions de gaz à effet de serre et ont un impact direct sur l’environnement, notamment par leur consommation d’énergie et de matières premières. Mais la responsabilité des entreprises ne s’arrête pas là. 

 

Les consommateurs et les collaborateurs attendent d’elles qu’elles prennent en compte les enjeux environnementaux dans leur stratégie et leur fonctionnement, et qu’elles s’engagent concrètement dans la transition écologique. Selon une étude IFOP, 81 % des Français jugent que les entreprises ont un rôle à jouer pour réduire leur impact sur l’environnement et 78 % estiment que les entreprises doivent s’engager pour la transition écologique (2021).

 

Des initiatives commencent à être prises pour aller en ce sens. Par exemple, en France, en avril 2023, les organisations patronales et des syndicats sont parvenus à un accord interprofessionnel pour favoriser la prise en compte d’enjeux de transition écologique dans les entreprises. 

 

Compte tenu de l’urgence, nous ne sommes qu’au début des efforts qui restent à fournir et nous ne pouvons qu’encourager des initiatives les plus ambitieuses et les plus concrètes possibles pour aller de l’avant, sans plus tarder. 

 

En outre, les changements attendus de la part des entreprises ne touchent pas que leurs modèles économiques, leurs produits et leurs services. Leur transformation ne peut avoir lieu sans accompagner ce qui les constitue : l’humain ! 

 

Il est donc nécessaire de former les collaborateurs à tous les niveaux de l’entreprise car chaque décision prise a un impact – petit ou grand – sur l’environnement, que ce soit lié à un métier polluant, des usages nocifs pour la planète ou encore à un manque de connaissance sur les éco-gestes. Toutes les industries sont concernées. 

 

C’est pourquoi nous vous proposons cette année un quiz que nous vous encourageons à réaliser et à diffuser, afin de sensibiliser notre société aux enjeux environnementaux comme de rappeler l’importance de la formation pour accompagner la transition écologique des entreprises. 

 

Ce quiz reprend les fondamentaux de plusieurs nos cours :

-Passer à l’action pour la transition écologique, C3D-PRE
-Vers un numérique durable, Fabernovel
-Vers la neutralité carbone, Faurecia University
-Comprendre la crise écologique, C3D-PRE
-L’économie circulaire : de la ligne droite au cercle vertueux, MySezame

 

Quiz “Journée de la Terre : mettez vos compétences au vert”

Nous avons sélectionné 10 questions, issues directement de nos cours conçus par notre équipe pédagogique. Retrouvez en fin d’article les réponses aux questions, pas de triche ! 

 

Questions

1.

 

2.

 

3.

4 : Quels sont les trois leviers utilisés pour améliorer un bilan CO2 ?

5.

 

6.

 

7.

 

8.

 

9.

 

10.

 

Réponses : 

Question 1 : La transition écologique est avant tout un problème technique et technologique : Faux.

Point clé
Au-delà de l’aspect technique, la transition écologique implique aussi de transformer nos normes sociales et politiques.

Le saviez-vous ?
Charge à nous de faire évoluer les technologies existantes ou d’en développer de nouvelles pour qu’elles soient compatibles avec la transition écologique. Les inquiétudes du GIEC n’ont été prises en compte que trop tard. En partie parce que les moyens scientifiques pour mesurer les effets de l’activité humaine sur le climat n’ont été développés que tardivement. C’est la preuve que l’innovation technologique et scientifique a aussi un rôle à jouer dans la prise de conscience collective.

 

Question 2 : Quelle est la première étape pour mettre en place une stratégie de transformation durable en entreprise ? : La mesure d’impact

Point clé
Pour agir sur ses impacts environnementaux, il faut d’abord les connaître et les mesurer !

Le saviez-vous ?
De nombreuses méthodes existent pour mesurer ses impacts environnementaux : Bilan Gaz à Effet de Serre, Empreinte biodiversité, Empreinte eau, Empreinte écologique…

 

Question 3 : Quels sont les trois types d’émissions de gaz à effet de serre ?

Point clé
Type 1 : Émissions directes provenant de sources détenues ou contrôlées.

Type 2 : Émissions indirectes provenant de la production d’énergie, du chauffage et de l’électricité dans nos installations.

Type 3 : Toutes les émissions indirectes (qui n’étaient PAS incluses dans le type 2) qui se produisent dans la chaîne de valeur de l’entreprise déclarante, y compris les émissions en amont et en aval.

Le saviez-vous ?
Dans un effort pour réduire son empreinte carbone, la société WeWork a interdit à ses employés de consommer de la viande. Cette décision a suscité des réactions mitigées, bien que la société estime que cela permettra d’éviter plus de 200 kg d’émissions de CO2 ainsi que d’épargner 15,5 millions d’animaux d’ici 2023.

 

Question 4 : Quels sont les trois leviers utilisés pour améliorer un bilan CO2 ?

Point clé
Il existe 3 leviers pour réduire l’impact du CO2 sur le climat : réduire, éliminer et compenser le CO2.

Le saviez-vous ?
La réduction du carbone fonctionne en utilisant moins de ressources et de sources d’énergie renouvelables. La compensation peut être mise en œuvre par des actions humaines pour séquestrer le CO2. Enfin, le CO2 peut être physiquement retiré de l’atmosphère et enfermé pendant des décennies, des siècles ou des millénaires, par exemple dans le sol ou dans des matériaux.

 

Question 5 :Quel pourrait être, en 2025, la part du numérique dans les émissions de gaz à effet de serre ?

Point clé
La part du numérique dans les émissions de gaz à effet de serre annuelles dans le monde pourrait atteindre 8 % en 2025 si nous n’adoptons pas une démarche de sobriété numérique.

Le saviez-vous ?
La Green Web Foundation, fondée en 2006 et basée aux Pays-Bas et en Allemagne, œuvre pour qu’Internet soit un jour entièrement alimenté par de l’énergie renouvelable.

 

Question 6 :  À quoi peut servir la norme ISO26000 ?

Point clé

Il n’existe pas d’indicateur universel de l’impact social et environnemental des activités numériques d’une entreprise. La norme ISO26000, cependant, offre un cadre de référence utile pour évaluer la politique mise en place par les fournisseurs et prestataires en matière de RSE.

 

Le saviez-vous ?
La norme ISO26000 apporte des lignes directrices en matière de RSE qui sont applicables par tout type d’entreprise, quelle que soit sa taille ou sa localisation.

 

Question 7 : Quelle conséquence sur le plan écologique aurait une augmentation de 1,5 degré de la température moyenne de la planète ?

Point clé 

C’est ce qui se produit avec le réchauffement climatique : pour l’instant, on commence à observer des conséquences, de façon disparate, mais si l’on dépasse les 1,5 degré d’augmentation des températures, ou pire, les 2 degrés, les conséquences pourraient être réellement dramatiques, et mener à un emballement climatique.

 

Le saviez-vous ?

Par exemple, une augmentation de température de 1,5°C provoquerait la disparition de 70% des coraux. Avec une augmentation de 2°C, la totalité des coraux pourrait disparaître.

 

Question 8 : Pour éviter une accélération brutale de la crise écologique, il faut nous transformer…

Point clé
Pour éviter de dépasser ces seuils et de nous retrouver dans un processus de crise écologique globale irréversible, il est nécessaire de prendre les devants et agir dès maintenant sur les questions écologiques, sans attendre que les conséquences soient trop graves, car il sera alors sans doute trop tard.


Le saviez-vous ?

En écologie, une crise écologique se définit en tant qu’érosion pérenne de la biodiversité d’un écosystème ou d’une espèce donnée dont l’impact sur le reste de l’écosystème considéré altère définitivement cet écosystème. Combinée avec le réchauffement climatique, l’érosion de la biodiversité forme une crise écologique globale.

 

Question 9 : Quelles sont, dans l’ordre, les étapes du processus vertueux qu’une entreprise peut mettre en œuvre pour repenser l’ensemble de ses activités sous l’angle de l’économie circulaire ?

Point clé
La bonne réponse : Écoconception, Approvisionnement responsable, Écologie industrielle, Allongement de la durée de vie

Pour limiter son impact sur l’environnement et s’inscrire dans une logique d’économie circulaire, l’entreprise peut :

-Écoconcevoir ses produits ou services pour anticiper l’impact de son activité
-S’assurer que ses approvisionnements soient responsables
-Repenser son mode de production grâce à l’écologie industrielle
Allonger la durée de vie de ses produits


Le saviez-vous ?
L’économie circulaire offre de nombreux avantages aux entreprises qui s’engagent dans cette voie. Par exemple, elle permet une meilleure maîtrise des coûts via l’usage réduit de matières premières qui sont de plus en plus chères du fait de leur raréfaction. En outre, l’entreprise est poussée à innover pour produire moins, mais mieux, ce qui peut lui offrir de nouvelles perspectives économiques avec l’accès à de nouveaux marchés.

 

Question 10 : Que peut-on dire de la biocapacité de la Terre ?

Point clé

Il s’agit de la capacité de la Terre à régénérer ses ressources en un an, Elle est dépassée chaque année depuis les années 1970

Depuis les années 1970, nous abusons de la biocapacité de la Terre, c’est-à-dire que nous consommons plus de ressources naturelles que ce que la planète est capable de produire en un an.

 

Le saviez-vous ?
Le GIEC, Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat, a été créé en 1988 et rassemble 195 États membres. Il synthétise l’état des connaissances sur le changement climatique et le rôle de l’activité humaine. Il informe ensuite les États afin qu’ils puissent définir des politiques adaptées pour répondre aux enjeux identifiés.

 

 

Pour aller plus loin, découvrez notre playlist de cours “Passez en mode green” constituée de tous nos contenus de formation sur le sujet !

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