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C’est pas toi, c’est moi : le phénomène de la grande démission

 

Métro, boulot, dodo. Cette expression résume assez bien le système remis en cause par un grand nombre de travailleurs américains ces derniers mois, qui revendiquent le sentiment d’une routine professionnelle subie. C’est ce que les nouveaux actifs, ceux qui ont suivi le “big quit” remettent en question. Ils décident de démissionner d’un poste  qui ne leur correspond plus, et s’en vont travailler pour des entreprises en accord avec leurs valeurs. Dès lors, comment ce phénomène s’est-il exporté en France, et quelles leçons peut-on en tirer pour l’avenir ?

 

The “Big quit”

Ce phénomène, c’est le “Big quit” aux États-Unis. En 2021, ils étaient plus de 38 millions d’Américains à quitter leur emploi, dont 40 % qui n’avaient pas trouvé un autre emploi quand ils ont franchi le pas. Depuis, le phénomène s’intensifie en France, mais dans des proportions moindres, mais en touchant tous les emplois et les secteurs. À titre d’exemple, une grande entreprise du CAC40 a récemment perdu 23,5% de son effectif. La DARES (Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques) indique dans une étude que « la hausse des fins de contrat à l’initiative du salarié ne concerne pas seulement les CDI. En juin 2021, les ruptures anticipées de CDD se situent 25,8 %, au-dessus du niveau atteint deux ans auparavant. ». 

 

Avec un taux de chômage stagnant autour d’un taux de 8,1% et plus de 45% des entreprises qui ont connu des difficultés de recrutement en 2021, le phénomène se fait un chemin en France. L’économie française se portant bien même suite à la crise sanitaire, les collaborateurs n’ont pas hésité à quitter un emploi qui ne leur convenait pas, même sans nécessairement avoir un autre poste garanti. De plus, la conjoncture du marché du travail actuelle est plutôt à l’avantage des travailleurs, qui leur autorise une plus grande mobilité. À la fin de l’année 2021, la même étude de la DARES citée plus haut rapportait que 130 000 à 265 000 d’emplois n’étaient pas pourvus et 80 % des DRH interrogés faisaient état d’une pénurie de main-d’œuvre. Ces conditions ont alors encouragé les salariés, quel que soit leur secteur d’activité, à quitter leur emploi pour chercher mieux ailleurs. Néanmoins, les prochains mois seront déterminants pour notre économie, qui risque de subir par effet domino les conséquences de la guerre en Ukraine et peut-être rebattre les cartes du marché de l’emploi.

 

Phénomène social avant tout

2 ans auparavant, nous ne savions pas encore comment réagir face à la crise sanitaire et nous en étions encore au temps de l’adaptation. Ainsi, les actifs français ont enchaîné confinements, période de chômage partiel, télétravail, etc. Cette période instable a fait émerger de vrais questionnements sur l’absurdité du système, a fait remettre en question beaucoup de collaborateurs et sur leur réelles motivations au travail. Pour beaucoup, le confinement a été l’occasion de reprendre son souffle, ou plutôt, de respirer pour la première fois. 

 

La crise sanitaire a rebattu les cartes dans plusieurs aspects de nos vies. Le monde du travail n’a pas été épargné : équilibre entre vie personnelle et professionnelle, recherche de sens, priorisation des besoins, etc. Pour un certain nombre de collaborateurs français, la COVID19 a servi d’accélérateur pour sauter le pas et quitter leur emploi vers un métier plus riche de sens, qui vient nourrir un vrai besoin de considération au travail. 

 

Vers la “Big transformation” 

Les attentes des collaborateurs ont radicalement changé et il faut alors s’y adapter. Faire place à la “big transformation”. En effet, si les travailleurs démissionnent, c’est aussi dû à un manque d’écoute ou de reconnaissance au travail. D’après Danny Nelms, président du Work Institute de Franklin (Tennessee), les organisations qui souhaitent retenir leurs salariés doivent « être à l’écoute » et « mettre en place des outils et des processus pour être en mesure de répondre aux besoins et aux exigences de leur personnel ». Ainsi, Danny Nelms propose des outils tels que des « entretiens de fidélisation ». 

 

Le phénomène de grande démission, bien qu’il soit de moindre mesure en France, témoigne d’une réelle évolution des besoins et attentes des collaborateurs. Néanmoins, ce phénomène n’est pas une fatalité, si l’entreprise se transforme et met tout en œuvre pour s’adapter à ce nouveau marché du travail. Côté manager, l’écoute est donc cruciale. L’environnement de travail doit être agréable et les équipes jouent un rôle essentiel pour maintenir une ambiance de travail positive. Côté recruteurs, l’attractivité d’une offre est un point clé pour attirer les talents. Pratique du télétravail, horaires flexibles, proximité géographique et autres avantages, les leviers de motivation sont multiples. Plus que les bénéfices, ce sont aussi les valeurs de l’entreprise qui vont susciter le sentiment d’appartenance, et l’engagement des collaborateurs. 

 

Dès lors, le learning prend tout son sens pour onboarder les nouveaux talents, fidéliser les salariés et former aux enjeux et valeurs de l’entreprise, ou encore pour créer ou renforcer une culture d’entreprise, etc. Il permet aussi aux managers d’adapter les modes de management à chaque personnalité et d’apprendre à susciter l’engagement des collaborateurs. 

 

Il est urgent de développer des environnements de travail agréables à vivre, qui incitent les collaborateurs à s’engager sur le long terme plutôt que de démissionner. Pour cela, la formation est un outil indispensable, car il n’y a qu’en apprenant que l’on évolue.

 

Le management 3.0

 

Eco-anxiété : comment la crise climatique peut déjà impacter votre entreprise

 

En 2020, la dégradation de l’environnement serait devenue la quatrième préoccupation des Français. Aujourd’hui plus que jamais, ce sentiment de préoccupation s’intensifie, tirant sa source des bouleversements environnementaux, politiques et sociaux actuels. S’il est impossible désormais de faire abstraction de la crise climatique, il n’en est pas moins légitime de ressentir de l’anxiété quant à la dégradation de notre environnement, qui est constamment menacé par l’activité humaine. 

Le GIEC a récemment publié sa synthèse de plus de 34 000 papiers scientifiques autour du dérèglement climatique. Ce sixième rapport, publié le 1er mars 2022, aborde les effets du changement climatique sur les sociétés humaines et les écosystèmes. Il révèle qu’environ un milliard de personnes seront menacées par des aléas climatiques côtiers, à moyen terme, et dans tous les scénarios. Énième avertissement, ce rapport fait état d’une situation « terrible » pour l’avenir dont les prémisses impactent  déjà votre entreprise, en commençant par le cœur de cette dernière : l’Humain. 

  

Éco-anxiété quand tu nous tiens : un esprit préoccupé dans un monde VUCA

L’éco-anxiété est un concept qui ne connaît pas encore de définition en France. En effet, il n’existe pas de consensus, notamment d’un point de vue médical, sur ce que recouvre ce terme initialement apparu à l’étranger. D’après les définitions existantes, l’éco-anxiété réunit toujours deux caractéristiques : un sentiment de préoccupation, d’inquiétude, d’anxiété et d’angoisse ressenti par certains individus et qui est provoqué par des bouleversements actuels ou bien par des menaces qui pèsent sur l’environnement, liés en particulier au dérèglement climatique. 

 

Selon une enquête en ligne de Charline Schmerber, praticienne en psychothérapie, auprès de 1200 personnes (non-représentative de ce que pense l’ensemble de la population française), 90 % des répondants affirment que la dégradation de l’environnement crée chez eux un sentiment d’anxiété. Cette anxiété n’est pas uniquement liée à l’environnement ou au dérèglement climatique. C‘est une anxiété qualifiée de « systémique », liée également aux guerres, aux violences, aux risques économiques ou sanitaires et donc, du risque d’un « effondrement » de la société telle que nous la connaissons. L’enquête révèle également que 80 % des répondants estiment que les problèmes environnementaux ont diminué leur confiance en l’avenir. 

 

Si le dérèglement climatique n’a pas encore de conséquences visibles et directes sur votre entreprise, elle impacte directement ce qui la fait vivre, c’est-à-dire les collaborateurs qui la constituent. Si ces derniers souffrent d’ un sentiment d’anxiété et de préoccupation face au monde, ils peuvent rapidement perdre leur motivation et leur engagement dans leur travail. Beaucoup vont vouloir remettre en question leur place dans la société et le sens de leur emploi, et si les managers ne prennent pas rapidement conscience de ces enjeux pour les accompagner, les collaborateurs concernés peuvent rapidement se désengager au quotidien. 

 

 

À la recherche du sens perdu 

Selon un sondage IFOP pour Philonomist, 82% des salariés français considèrent que l’entreprise est responsable de leur bonheur. Cependant, 49% se disent parfois amenés à agir contre leurs valeurs et 37% seraient prêts à gagner moins en échange d’un travail qui ait un sens. Les attentes des salariés français évoluent et ainsi, la prise en compte des valeurs et de l’impact d’une entreprise sur la société est aujourd’hui un facteur crucial d’engagement. Les actifs mettent aujourd’hui un point d’honneur à rendre compte de l’impact de leurs actions. Les collaborateurs veulent pouvoir débattre de la finalité de leurs actions, et plus seulement à exécuter.

 

Une étude conduite par l’institut de sondage OpinionWay pour le compte de Factorial démontre également une profonde remise en question du rapport des actifs français au travail. Ainsi, 33% des Français ont annoncé avoir perdu tout sens dans leur activité professionnelle depuis le début de la crise. Ces derniers sont nombreux à considérer que le travail n’est pas une source de plaisir ou d’intérêt, mais plutôt, qu’il s’agit avant tout d’une nécessité alimentaire (68%) et que si cela leur était possible sur un plan financier, ils arrêteraient complètement toute activité professionnelle (62%).

 

Ainsi, il est crucial pour les entreprises de prendre en compte ces nouvelles attentes et de se transformer pour répondre aux aspirations des collaborateurs. L’entreprise et les humains qui la composent sont interdépendants et ne peuvent exister l’un sans l’autre. Si les collaborateurs ne retrouvent pas ce sens perdu, alors le désengagement augmentera et les entreprises n’auront plus d’autres choix que de se réinventer. Pourquoi attendre ce point de non-retour, lorsqu’il est possible d’initier le changement dès aujourd’hui ?

  

Rebattre les cartes ou perdre la partie

Nous l’évoquions dans l’introduction de cet article, le sixième rapport du GIEC est alarmant. En effet, pour les experts, il reste encore une chance d’améliorer la situation, qui se réduit d’années en années. Il faudrait atteindre la neutralité carbone et agir immédiatement.  

 

Les entreprises ont donc toutes les cartes en mains pour initier – ou accélérer – leur transition écologique, et elles ont toutes les raisons de le faire. À la fois pour préserver l’environnement, mais également pour assurer leur pérennité. En effet, les entreprises ne pourront survivre dans le monde décrit par le rapport du GIEC si les efforts ne sont pas fournis. Si elles ne le font pas pour elles, elles devront au moins le faire pour garantir la productivité de leurs équipes, pour préserver leurs talents et engager les collaborateurs. Avec la formation, nous voulons changer les règles du jeu, pour transformer durablement l’entreprise et ainsi jouer plus longtemps. 

 

 

En conclusion, le processus de prise de conscience par rapport à l’état de la planète est enclenché. Néanmoins, ce processus doit être encouragé et initié par les entreprises. Pour transformer l’entreprise, la formation à grande échelle est essentielle. Elle permet de former massivement les collaborateurs sur les sujets cruciaux en matière de développement durable, et de sensibiliser sur les conséquences que nos activités humaines peuvent engendrer sur les écosystèmes. Apprendre, c’est avant tout comprendre, ce qui permet d’agir. 

Pour aller plus loin, découvrez Coorpecology, la plateforme de formation en ligne dédiée à la transformation durable 👉 https://www.coorpacademy.com/formation-en-ligne/coorpecology/ 

 

Online Degree désigne Coorpacademy comme l’un des meilleurs Learning System pour 2022

Coorpacademy a le plaisir d’annoncer que son système de gestion de l’apprentissage a été inclus dans la liste des « meilleurs Learning Systems  pour 2022 » publiée chaque année par le principal site Web d’éducation des consommateurs, OnlineDegree.com.

Cette année, l’accent a été mis sur la « facilité d’utilisation », ce qui témoigne du travail effectué par les équipes de Coorpacademy pour résoudre les problèmes les plus importants auxquels les utilisateurs sont généralement confrontés lorsqu’ils utilisent un Learning System. Le résultat final est un produit plus intuitif et plus convivial qui permet une meilleure utilisation dans les organisations à travers le pays.

« Nous sommes heureux d’être inclus dans ce classement comme l’un des meilleurs Learning System en termes de facilité d’utilisation. Nous sommes impatients de partager les nouvelles innovations que nos équipes préparent pour 2022. » Antoine Dumont, directeur marketing.

OnlineDegree.com est une plateforme éducative fondée par des vétérans de startups edtech et des universitaires de l’enseignement supérieur. Le site est apparu dans des centaines de médias et de publications pour son travail d’éducation des actifs et des professeurs et administrateurs universitaires sur les différentes façons d’améliorer l’accessibilité à l’enseignement supérieur.

Découvrez le classement en cliquant ici.

 

Le glossaire du Digital Learning

 

Adaptive Learning, ATAWAD, serious Game, entertraining… Vous êtes souvent perdus dans le jargon de la formation en ligne et du numérique ? Pas de panique, pour vous y retrouver, nous vous avons concocté un petit glossaire du Digital Learning !

 

Adaptive Learning (Apprentissage adaptatif)

Grâce aux données récoltées sur les plateformes, nous pouvons faire émerger des profils d’apprenants, afin d’adapter l’apprentissage à leur chaque apprenant. Ainsi, les parcours de formation sont personnalisés et individualisés, pour fournir à l’apprenant des contenus et modalités en conformité avec son profil et ses besoins. Chaque apprenant suit un cheminement différent selon sa manière de répondre aux questions posées, et le rythme d’apprentissage s’accélère ou se ralentit pour s’adapter à son niveau.

 

Audio Learning (Apprentissage audio)

L’audio learning désigne des leçons sous la forme de courts podcasts narratifs pour apprendre où l’on veut, quand on veut.

 

Apprenant 

Les apprenants sont les personnes en situation d’apprentissage. Ce terme générique regroupe tous les individus en action d’apprentissage, en présentiel ou à distance.

 

Apprentissage actif

L’apprentissage actif vise à engager les apprenants dans leur apprentissage, en les impliquant dans les activités du cours. Ainsi, l’apprenant n’est plus seulement un réceptacle pour l’information, mais bien un acteur dans sa formation.

 

Apprentissage immersif (ou immersive Learning)

L’apprentissage immersif consiste à plonger l’apprenant dans un environnement virtuel, souvent à travers des outils tels que des lunettes, casque ou écran, permettant la simulation d’une situation donnée.

 

ATAWAD

Cet acronyme anglais correspond à la phrase “Any Time, Any Where, Any Device” (au moment, au lieu et à partir du support de votre choix) et il illustre la tendance de flexibilité des dispositifs pédagogiques numériques modernes qui s’adaptent aux particularité de chaque apprenant.

 

Blended Learning

Le Blended Learning- ou formation mixte – est une approche qui réunit à la fois de la formation en présentiel et de la formation à distance. Ce dispositif permet de bénéficier des avantages différents qu’apportent ces solutions complémentaires.

 

Cockpit

Cockpit est notre outil de création et de publication de cours. Il permet à nos clients de construire l’architecture de leurs cours, d’ajouter leurs propres supports (vidéos, PDF, SCORM, podcast, pages web), de traduire le contenu et de sous-titrer leurs vidéos en 23 langues, tout cela en totale autonomie.

 

Cours custom (Cours sur-mesure)

Les cours custom – à l’inverse des cours sur étagère- sont des contenus dits « sur-mesure ». Ils sont spécifiquement créés pour répondre à un besoin précis de l’entreprise. Pour créer vos contenus custom, Coorpacademy met à disposition des clients un outil de création de cours appelé Cockpit.

 

Collaborative Learning (ou Apprentissage Collaboratif)

L’apprentissage collaboratif consiste à apprendre avec et par les autres. Avec le développement de solutions de formation en ligne, le partage collaboratif autour des contenus d’apprentissage vont favoriser l’engagement des apprenants. Par exemple sur Coorpacademy, chaque cours est accompagné d’un forum pour laisser son avis, poser des questions, et ajouter des précisions. 

 

Cours sur étagère

Les cours sur étagère sont des contenus de formation déjà réalisés. Il s’agit en général de cours sur des sujets transversaux tels que la bureautique ou les langues. En théorie, ils s’opposent aux contenus dits « sur-mesure » c’est-à-dire ceux créés spécifiquement pour répondre à un besoin précis de l’entreprise. Dans le cas de Coorpacademy, les contenus sur étagère sont réalisés par nos ingénieurs pédagogiques, ou en collaboration avec nos plus de 60 éditeurs partenaires.

 

Digital Learning

Le digital learning et l’e-learning ne correspondent pas aux mêmes procédés de formations. Le digital learning est un format d’apprentissage digital qui permet aux participants d’acquérir de nouvelles compétences en ligne, et ce, de façon autonome. La technologie permet de nombreuses interactions et dispositifs, tels que la vidéo, les quiz ou les dispositifs ludiques (Serious Game, réalité immersive) et le social Learning, qui propose un apprentissage avec les autres et par les autres.

 

Engagement

Pour booster l’efficacité d’une formation, il faut avant tout engager les apprenants ! Cet engagement peut être favorisé par des dispositifs pédagogiques innovants ou des fonctionnalités sur la plateforme. Par exemple chez Coorpacademy, les apprenants peuvent s’envoyer des « battles » entre utilisateurs et donc, se défier sur le sujet de leur choix.

 

Expérience apprenante

L’expérience apprenante désigne le ressenti des apprenants – de l’utilisateur – durant son expérience sur la plateforme. Améliorer l’expérience apprenante permet notamment un meilleur engagement de leur part.

 

Entertraining

Contraction d’entertaining (divertissement en anglais) et de learning (apprentissage en anglais), l’entertraining désigne les dispositifs mis en place dans la formation en ligne visant à apprendre en s’amusant.

 

Formation asynchrone

Le temps asynchrone fait référence à des temps d’apprentissage ou à des temps d’échange qui sont réalisés en différé (avec le formateur ou entre pairs). L’utilisation d’outils de communication asynchrones sont hautement recommandés dans les formations à distance car ils permettent à l’apprenant d’organiser son temps d’apprentissage comme il le souhaite.

 

Formation individualisée

La formation individualisée désigne la possibilité de répondre spécifiquement aux besoins des apprenants grâce aux plateformes intelligentes de formation en ligne. Ainsi, chaque parcours d’apprentissage est individualisé, c’est-à-dire qu’il correspond au profil de l’apprenant.

 

Gamification

La ludification en formation est le fait d’introduire des activités et/ou codes utilisés dans les jeux, de type jeux de sociétés ou plus récemment, les jeux vidéo. L’apprenant se retrouve face à une interface tel un véritable jeu vidéo, reprenant les mêmes codes comme le scoring, les “vies”, les défis…mais dans le but d’acquérir des savoirs “sérieux”. Sur Coorpacademy, beaucoup d’éléments sont inspirés des jeux vidéos ! Par exemple, vous commencez chaque cours avec 3 vies et perdez une vie à chaque mauvaise réponse.

 

Hard skills

Ce sont les compétences techniques qui sont généralement acquises par l’expérience sur le lieu de travail.

Voici quelques exemples :

  • La maîtrise d’un logiciel (design, traitement de texte, facturation…)
  • La maîtrise d’un langage technique (médical, programmation, droit…)
  • La maîtrise d’une langue (anglais, allemand, italien…)
  • La maîtrise d’une tâche (rédaction, community management …)
  • La maîtrise d’un domaine (mathématiques, physique, comptabilité, marketing…)

 

Ingénierie pédagogique

L’ingénierie de formation comprend toutes les étapes et actions nécessaires pour mettre en oeuvre une action de formation. Dès lors, l’ingénierie pédagogique revient à concevoir un dispositif de formation. Elle comprend toutes les étapes d’analyse et de choix des méthodes pédagogiques à articuler. Ainsi, chez Coorpacademy, l’équipe pédagogique est constituée de plusieurs ingénieurs pédagogiques qui construisent les contenus de cours.

 

Learning analytics

Les learning analytics sont toutes les données recueillies sur la plateforme d’apprentissage en vue d’analyser le comportement des apprenants – les cours suivis, le taux de complétion, le nombre de questions répondues, etc. – afin d’établir leur profil.

 

Learning in the flow of work

L’apprentissage dans le cadre du travail consiste à accéder, rapidement et facilement, à une réponse ou à un court contenu d’apprentissage pendant que vous travaillez. Cette expression a été inventée par Josh Bersin. Les recherches montrent que l’apprentissage dans le cadre du travail stimule la productivité, accroît l’engagement envers l’apprentissage formel et améliore la rétention des connaissances.

 

Learning Management System (LMS)

Le LMS est un logiciel permettant le « management » du ou des dispositifs de formation. C’est une plateforme de formation, soit un logiciel web dédié au stockage, à l’organisation et à la distribution de contenus pédagogiques, en vu de dispenser des apprentissages ciblés à une communauté d’apprenants.

 

Microlearning

Le microapprentissage est une modalité de formation ou d’apprentissage en séquence courte de 30 secondes à 5 minutes, utilisant texte, images et sons. Ces microlearning sont souvent centrés sur une notion précise avec un objectif défini.

 

Mobile Learning

Le mobile learning consiste à introduire des activités d’apprentissage qui s’adaptent parfaitement aux petits formats des écrans de smartphones ou des tablettes. Chez Coorpacademy, 30% des formations se font sur mobile. Notre application est disponible sur tous les supports, permettant ainsi à l’apprenant de se former d’où il veut, quand il veut.

 

Module de formation

Un module de formation correspond à une unité autonome d’une action de formation, c’est à dire qui répond à un ensemble d’objectifs pédagogiques qui doivent être abordés conjointement. Plusieurs modules peuvent former un parcours de formation.

 

MOOC

Le Mooc est un dispositif de formation (course) en ligne (online) ouvert (open) – l’inscription est gratuite – et qui peut supporter un grand nombre d’inscrits (massive). Avec les MOOCs, l’apprenant est libre de s’organiser comme il le souhaite, excepté lors de séances d’échanges synchrones ou de travail en sous groupe.

 

Multi-supports

Lorsqu’on qualifie une formation digitale de « multi-supports » cela veut dire qu’elle s’adapte à tous types de supports, c’est-à-dire aux différentes tailles d’écrans, de l’ordinateur au smartphone. La technique utilisée pour s’adapter est liée directement au code programmé et est appelée “responsive”.

 

Organisation apprenante

Une organisation apprenante est une organisation mettant en place une culture, des comportements et des process qui favorisent le développement des compétences de chacun, en continu.

 

Pédagogie inversée

En pédagogie inversée (flipped learning) l’apprenant prend connaissance des contenus théoriques après avoir répondu à la question de cours. Cette pédagogie propre à Coorpacademy prend la forme de quiz et permet aux apprenants d’apprendre seulement ce qu’ils ne savent pas déjà !

 

QCM, Quiz, QCU

Les Quiz sont des questionnaires utilisés pour vérifier l’acquisition de connaissances et compétences. Différents types de Quiz existent, dont les plus utilisés sont les questionnaires à choix multiples (QCM) dans lesquels plusieures solutions exactes doivent être choisies pour valider la question ou les questionnaire à choix unique (QCU).

 

Soft skills

Les soft skills – ou compétences douces – désignent les qualités humaines ou relationnelles, qui sont généralement développées par la pratique. La particularité des soft skills sont leur transversalité : elle n’est ne sont pas liées à un métier ou à un contexte technique particulier. C’est ce qui les distingue des hard skills.

Ces qualités sont par exemple :

  • le sens de la communication
  • l’initiative
  • l’esprit d’équipe
  • les capacités d’adaptation
  • la créativité…

Ces compétences sont capitales, et c’est souvent elles qui rendent optimale la mise en oeuvre des compétences pratiques.

 

SCORM

SCORM est l’acronyme anglais de Sharable Content Object Reference Model. Littéralement, cela signifie : Modèle de référence d’objet de contenu partageable. C’est une norme destinée principalement aux plateformes LMS (Learning Management System) pour la formation à distance. La création des modules normes répondant aux SCORM permet de les importer ou de les exporter d’une plateforme LMS à une autre afin de les réutiliser. Ces contenus (Content Object) sont ainsi partageables (Sharable), permettant l’interopérabilité des différentes plateformes LMS.

 

Serious Game

Le Serious Game est un anglicisme désignant l’intégration d’éléments pédagogiques dans un univers de jeu. Le but est de reproduire l’interface d’un véritable jeu, en reprenant ses codes et son principe. Par exemple chez Coorpacademy, le cours inspiré du jeu Cluedo plonge l’apprenant dans la peau du colonel Moutarde, qui doit faire preuve d’esprit critique afin de découvrir qui a tué Mr. Lenoir !

 

Social Learning

Le social learning désigne l’échange entre pairs autour de contenus pédagogiques. Il permet grâce à des outils synchrones (chat, messagerie instantanée, audio et visio conférence) ou asynchrones (wiki, réseau social) d’échanger avec ses pairs et de partager des informations complémentaires.

 

Story Learning

Dans un contexte marketing, le storytelling est le plus souvent le fait d’utiliser le récit dans la communication publicitaire. Cela consiste à utiliser une histoire plutôt qu’à mettre classiquement en avant des arguments marque ou produit. La technique du storytelling doit normalement permettre de capter l’attention, de susciter l’émotion, de travailler la personnalité de marque et, selon certaines études, de favoriser la mémorisation.

 

Taux de complétion 

Le taux de complétion est un indicateur de réalisation d’un dispositif de digital learning. 100% de complétion signifie que la totalité des apprenants ont suivi l’intégralité d’un dispositif ; ce qui est différent du taux de réussite, qui ne juge que ceux qui ont validé leur apprentissage grâce à des tests. Sur les plateformes Coorpacademy, le taux de complétion est en moyenne de 84%.

Découvrez la playlist Empow(her)

 

L’empowerment féminin fait référence à la capacité des femmes de s’émanciper par elles-mêmes en vue d’obtenir l’égalité hommes-femmes.  C’est un concept sociétal qui encourage les femmes à prendre conscience de leurs capacités et à agir pour participer au monde et le changer.  

 

La crise sanitaire a retardé de plus d’une génération le temps nécessaire pour parvenir à l’égalité homme-femme, selon l’étude annuelle publiée par le Forum économique mondial en 2021. En France, les femmes ont perdu plus de 64 millions d’emplois en 2020, soit une perte de 5 %, contre 3,9 % pour les hommes. La crise sanitaire a eu de nombreuses répercussions sur l’ensemble de la société, mais elles ont été plus sévères pour les femmes qui ont été nombreuses à perdre leur emploi, notamment car elles sont sur-représentées dans les secteurs liées à la consommation qui ont été les plus directement affectés par les mesures de confinement. 

 

La COVID a également eu des répercussions directes sur leur bien-être psychologique, dû à la double charge des femmes entre le travail et les responsabilités de la maison. Tâches ménagères, garde des enfants et soins aux personnes âgées, autant de responsabilités qui incombent aux femmes de manière disproportionnée et entravent à la réussite de leurs carrières professionnelles. Ainsi,  39 % des dirigeantes de PME-ETI doivent piloter leur entreprise la journée et gérer la vie de famille avant et après leurs horaires de bureau , pointe une étude de bpifrance Le Lab.

 

Les femmes ont donc encore beaucoup à gagner. Initié par la newsletter féministe “Les Glorieuses”, le mouvement #5Novembre16H47 encourage les Françaises à quitter leur travail mardi 5 novembre, à 16h47, afin de dénoncer les inégalités salariales entre les hommes et les femmes. Rappelons également qu’en 2021, le mouvement s’est intéressé aux différences entre les femmes blanches et les femmes racisées, qui selon les statistiques, auraient dû s’arrêter de travailler dès le mois de juin… Cinq mois avant les femmes blanches. 

 

Et qu’en est-il des grandes oubliées du monde du travail ? Le taux d’accès à l’emploi des personnes handicapées qui disposent d’un diplôme supérieur est de 66,9% pour les hommes – contre 22,8% pour les femmes, selon un rapport sur l’emploi des femmes en situation de handicap. A cela s’ajoute une précarité de l’emploi plus importante pour les femmes en situation de handicap. Près de la moitié des travailleuses handicapées est embauchée à temps partiel (47%), contre seulement 16% des hommes.

 

Au-delà de l’égalité salariale, il est donc crucial de rétablir l’égale répartition des tâches dans le foyer, de dénoncer les discriminations sexistes, d’encourager la prise de parole, de prendre conscience des effets du genre, de l’origine et de la validité, bref, de tout mettre en œuvre pour combattre les inégalités femmes/hommes, et toutes les autres. Pour entamer ces grands travaux, il est aussi crucial de se former, à la fois pour développer des compétences nécessaires pour que les femmes s’affirment et prennent conscience de leurs  capacités mais aussi pour comprendre les racines de ces inégalités afin d’y mettre un terme. 

 

Nous sommes tous concernés par ces enjeux, alors le 8 mars – Journée Internationale des Droits des Femmes –  sera disponible la playlist “Empow(her)” sur toutes nos plateformes !

La playlist “Empow(her)” est donc constituée des cours suivants :

 

Testez votre mode de rapport au travail !

 

Confinements, télétravail, mesures sanitaires et bouleversements du lien social : la crise du COVID a bousculé les besoins des collaborateurs. Aujourd’hui, les salariés remettent en question les modes de fonctionnement, expriment de nouvelles attentes et peuvent même démissionner sans que vous n’ayez pu l’anticiper… Engager les collaborateurs est donc devenu un enjeu majeur pour les managers pour maintenir la productivité des équipes et la performance de l’entreprise. 

 

Encourager l’engagement au travail, c’est le sujet du dernier cours co-édité par somanyWays. Dans ce cours, découvrez le Workoscope® : une grille de lecture qui permet de mieux comprendre son rapport au travail – sa vision, ses besoins et ses attentes au travail. Il a été développé en 2018 par somanyWays, après plus de 3 ans de R&D auprès d’individus en questionnement professionnel. 

 

Faites le test et découvrez quel type de rapport vous entretenez avec votre travail !

 

1 ) Vous venez de recevoir une proposition de promotion. Tout d’abord félicitations ! Votre première réaction est…

a ) D’accepter sans hésiter et d’immédiatement changer le titre de votre poste sur LinkedIn pour informer votre réseau

b ) De prendre le temps de réfléchir aux changements que ce nouveau poste pourrait impliquer avant toute décision 

c ) D’être enthousiaste à l’idée de découvrir de nouvelles missions et de questionner mon interlocuteur sur la possibilité de formations associées à cette promotion 

d) De me réjouir à l’idée de découvrir de nouveaux projets et sortir de ma zone de confort ! 

e) De m’assurer que cette promotion me permettra de contribuer largement aux évolutions de l’entreprise sur des sujets clés à impact fort car c’est ce qui m’anime

 

2 ) Un nouveau projet est évoqué en réunion d’équipe. Vous…

a) Vous renseignez sur les intervenants et personnes impliquées dans le projet

b) Prenez les devants pour établir un plan d’action bien défini et clair pour avancer sur le projet 

c) Proposez votre aide pour avancer sur une partie du projet qui vous intéresse et dans lequel vous pourrez déployer de nouvelles compétences 

d) Sautez sur l’occasion pour organiser une réunion brainstorming d’idées pour innover sur ce nouveau projet 

e) Rappelez à l’équipe l’importance d’inscrire ce projet dans une démarche RSE et respectueuse de l’environnement 

 

3) Une nouvelle recrue vient d’intégrer l’entreprise ! Au petit-déjeuner d’accueil, vous…

a) L’interrogez sur ses expériences professionnelles et son éducation, à la recherche de connaissances en commun ! 

b) Lui souhaitez la bienvenue et l’invitez déjà à prendre un café pour parler projets en commun ! 

c) Êtes ravis et vous intéressez à la personnalité de ce nouveau talent ! 

d) Lui proposez de se présenter en 3 fun facts, ça change ! 

e) Vous renseignez sur ses valeurs et les raisons pour lesquelles elle a rejoint l’entreprise 

 

4 ) Vendredi, 18h, vous quittez le travail… Sur le chemin du retour, vous…

a) Ouvrez LinkedIn pour voir les réactions à votre dernier post !

b) Vous dépêchez pour ne pas arriver en retard à votre cours de danse, c’est votre passion et vous révisez déjà les pas dans votre tête. 

c) Vous connectez sur l’application Coorpacademy pour faire un cours et développer vos compétences ! 

d) Pensez encore à ce projet en cours sur lequel vous rencontrez un défi, lundi vous aurez la solution, c’est sûr. 

e) Êtes déjà parti un peu plus tôt, vous aviez une mission de bénévolat prévue ce soir-là !

 

5 ) Pour vous, le manager idéal…

a ) Vous fixe des objectifs ambitieux et vous confie des responsabilités !

b) Est attentif à ce qui compte pour vous et privilégie la relation. 

c) Adopte une posture de coach et vous pousse à vous surpasser ! 

d) Vous donne carte blanche et vous confie des projets d’innovation.

e) Vous invite à vous saisir des sujets environnementaux ou sociaux dans l’entreprise et comprend vos causes ! 

 

Résultats

Vous avez une majorité de a)

Vous êtes en mode Ascension. Vous cherchez avant tout à évoluer dans votre carrière et à avoir des responsabilités. Votre statut et votre titre sont importants pour vous. Votre profil Linkedin est toujours à jour, vous êtes ouverts aux opportunités d’évolution et cherchez la visibilité auprès de personnes influentes. Proactif, vous savez ce que vous voulez et osez l’exprimer. 

Votre point  d’amélioration : avoir parfois tendance à oublier les autres au profit de vos objectifs personnels.

 

 

Vous avez une majorité de b)

Vous êtes en mode Équilibre. Pour vous, il y a le travail d’un côté, les passions et centres d’intérêt de l’autre. Vous cherchez à préserver votre vie personnelle et appréciez un rythme de travail régulier dans un cadre précis, avec un climat agréable. 

Votre point d’amélioration : vous apportez à l’entreprise de la constance, mais attention à ne pas vous montrer réticent au changement.

 

Vous avez une majorité de c)

Vous êtes en mode Introspection. Vous cherchez à développer les compétences qui vous intéressent et à évoluer personnellement. Vous questionnez votre place, votre rôle dans l’entreprise et demandez de la diversité. Vous attendez de votre travail qu’il vous permette d’exprimer votre singularité, d’exercer vos passions et vos centres d’intérêt. Votre goût pour l’apprentissage vous permet d’explorer de nouvelles voies. 

Votre point d’amélioration : attention toutefois à ne pas oublier les enjeux collectifs.

 

Vous avez une majorité de d)

Vous êtes en mode Transformation. Vous cherchez à innover, à inventer, à faire bouger les choses dans votre organisation. Vous êtes animé par le fait de laisser votre trace. Enthousiaste à la nouveauté, vous aimez sortir de votre zone de confort et demandez de l’autonomie. 

Votre point d’amélioration : Moteur dans les moments de changements, vous pouvez toutefois avoir tendance à réinventer la poudre !

 

Vous avez une majorité de e)

Vous êtes en mode Impact. Vous cherchez à avoir un impact positif sur l’environnement, les autres et la société. Cela peut s’exprimer par une sensibilité à la raison d’être et aux valeurs de votre entreprise, par un intérêt pour la RSE, les instances de représentation du personnel ou la transmission. Votre engagement contribue à faire évoluer l’entreprise sur des sujets clés.

Votre point d’amélioration : Prenez garde à ne pas délaisser vos tâches quotidiennes au profit de vos causes.

 

Pour aller plus loin et comprendre ce qu’attendent vos collaborateurs pour les engager durablement, découvrez le cours Encourager l’engagement au travail co-édité par somanyWays.

Encourager l’engagement au travail

 

A propos de somanyWays

Nouvelles aspirations, nouveaux métiers, obsolescence rapide des compétences, contexte d’incertitude… le travail se transforme au rythme des mots et des maux de l’époque. Dans un monde en mouvement, somanyWays contribue à l’émergence d’une nouvelle culture du travail, plus vertueuse et plus en accord avec les besoins et la singularité de chacun. Notre mission ? Accompagner, former et outiller les individus et les entreprises pour que chacun puisse (re)trouver du sens, du plaisir et donc de l’engagement au travail.

 

Dis-moi comment tu télétravailles je te dirai de quel pays tu es

 

Depuis le 2 février, le télétravail n’est plus obligatoire en France mais toujours fortement recommandé. Bien que cette contrainte légale soit maintenant levée pour les entreprises, les collaborateurs ont adopté cette pratique qui s’est rapidement normalisée depuis le premier confinement. 

Une récente étude de PwC révèle que 68 % des dirigeants déclarent que les employés doivent être présents au bureau au moins 3 jours par semaine pour maintenir une culture d’entreprise unique. Si la situation est plutôt favorable à l’adoption du travail hybride en France, qu’en est-il pour les entreprises et les collaborateurs chez nos voisins Européens ?  Ces réponses, nous les trouverons dans une enquête menée par l’Ifop pour la Fondation Jean Jaurès auprès d’actifs issus d’échantillons représentatifs en Allemagne, en France, en Espagne, en Italie et au Royaume-Uni.

 

Combien de jours êtes-vous en télétravail dans la semaine ?

Si vous êtes en France, il se pourrait que vous ayez un “accès plus restreint” au télétravail. En effet, selon l’enquête, seuls 29% des actifs français déclarent télétravailler « au moins une fois par semaine » , contre 51% des Allemands, 50% des Italiens, 42% des Britanniques et 36% des Espagnols. Globalement, le télétravail est présent, mais pas dans les mêmes mesures et recouvre alors un désir d’équilibre entre travail en présentiel et travail à distance.

 

Quelle est votre catégorie socioprofessionnelle ?

Le télétravail n’est pas accessible à tous. En effet, même chez nos voisins européens, les inégalités d’accès au travail à distance selon la catégorie socioprofessionnelle (CSP) est visible. Tous les pays concernés par l’enquête ont démontré que les CSP+ ont davantage accès au télétravail que les CSP-. Cet écart se renforce en France, avec un différentiel de 39 points (56% des CSP+ et 17% des CSP- ont accès au télétravail) alors que l’écart entre les deux catégories n’est « que » de 8 points en Italie, pays où l’accès au télétravail est donc le plus homogène socialement (avec des taux hebdomadaires qui concernent 56% des CSP+ et 48% des CSP-).

 

Combien de jours aimeriez-vous télétravailler, idéalement ?

Au moins 2 jours ? Pensez-vous déménager ? En moyenne, le nombre de jours “souhaités” en télétravail est de 2,7 en Espagne, 2,4 en Italie, 2,2 en Allemagne, 2 au Royaume-Uni et… 1,8 jour par semaine en France. 

 

Quel âge avez-vous ?

En Europe, une majorité des actifs âgés de moins de trente-cinq ans télétravaillent, contrairement aux actifs de plus de cinquante ans. En France, cette variable discriminante est plus homogène. 31% des moins de trente-cinq ans travaillent à distance au moins une fois par semaine contre 28% des cinquante ans et plus. Comme quoi, “digital native” ou “boomer” ne sont pas aussi différents qu’on essaie de vous le faire croire ! 

 

Avez-vous des enfants ?

Selon une étude du cabinet Valoir, le télétravail a entraîné une baisse de productivité globale de seulement 1 %. Néanmoins, une nuance apparaît ! Chez les parents, pour qui l’équilibre vie personnelle et vie professionnelle est plus difficile à garantir, la productivité est de 2%. Un taux plus bas que les salariés qui n’ont pas d’enfant chez qui la productivité a baissé de 3% depuis qu’ils sont en télétravail. Peut-être plus habitués à jongler entre plusieurs tâches et à organiser leur emploi du temps, les parents ont également des raisons évidentes de vouloir mettre les bouchées doubles pour pouvoir gérer les autres tâches du quotidien !

 

Quels avantages à télétravailler ?

La pratique comme le souhait de télétravail diffèrent selon les pays. Néanmoins, ses représentations associées y sont partout plutôt homogènes et positives. En effet, trois avantages reviennent systématiquement : les économies financières (trajets, repas, garde d’enfants…), l’autonomie supplémentaire en matière d’organisation et la meilleure conciliation entre vie personnelle et vie professionnelle. Les pays qui ont davantage recours au télétravail voient la motivation de leurs actifs augmenter. Tout du moins en Europe. Au Japon, une étude révèle qu’alors que le télétravail a concerné jusqu’à 25% des salariés japonais (contre 6% avant la crise), il a paradoxalement débouché sur une baisse de productivité d’environ 20% en moyenne. Ainsi, le télétravail n’est pas accueilli et vécu de la même manière selon les cultures :  il existe des spécificités et exceptions.

 

Nous ne sommes qu’à l’aube des transformations managériales et organisationnelles que la mise en place du télétravail implique. Si c’est une pratique de plus en plus courante pour certains, il serait faux de penser qu’elle concerne l’intégralité des actifs en France. Pourtant, conscients des avantages apportés par ces nouveaux modes de travail, ces chiffres ne peuvent qu’évoluer positivement. Dès lors, accompagner les entreprises dans ces évolutions est une priorité afin de leur donner les clés qui permettront de répondre aux attentes de leurs collaborateurs et d’assurer leur engagement au travail. 

 

Pour aller plus loin : 

Travail hybride : testez vos connaissances

5 conseils aux managers pour préserver la santé mentale de leurs équipes

 

En septembre 2020, le terme « anxiété » avait été recherché 40 500 fois sur Google, une requête qui a alors augmenté de plus de 50% par rapport à l’année précédente. Aujourd’hui, la tendance se confirme. Après deux ans à vivre sous le coup des restrictions sanitaires et des rebondissements vaccinaux, le climat anxiogène atteint la santé mentale des Français et donc, des collaborateurs.

 

Selon l’enquête la plus récente sur le sujet menée par CoviPrev, 26 % des Français souffriraient d’un état anxieux, soit un niveau de 12 points supérieur à 2020. L’étude souligne aussi que près de 3 Français sur 4 ont déclaré des problèmes de sommeil la semaine précédent l’enquête. 

 

Le confinement, s’il a eu un effet dramatique pour la santé mentale de certains, a également permis à d’autres de se recentrer sur eux, et de mieux prendre en compte leurs besoins personnels. D’après  Brigitte Joubert, psychologie et consultante pour la plateforme Positive You, « Le confinement a remis la quête de bien-être au premier plan »

 

Ce bien-être recherché a non seulement des conséquences positives pour les individus, mais également au niveau de l‘entreprise ! Si un individu est moins anxieux, plus serein alors le collaborateur qu’il est au travail sera plus efficace. Ainsi, la question du bien-être au travail, au-delà d’être un sujet social à prendre au sérieux, est aussi un véritable vecteur de croissance et de productivité.  Une étude du département d’économie de l’Université de Warwick, en Angleterre, conclut qu’être heureux au travail pourrait en moyenne augmenter la productivité des salariés de 12 %. 

 

Dès lors, découvrez 5 conseils à mettre en place en tant que manager pour préserver le bien-être psychologique de vos collaborateurs :

 

  • Adoptez une attitude quotidienne d’écoute 

 

La façon dont les personnes sont traitées et dirigées au quotidien est au cœur de leur bien-être mental et de leur engagement. Ainsi, il est important d’être à l’écoute de votre équipe. 

 

Maintenir un lieu de travail mentalement sain implique également de répondre en permanence aux problèmes de santé mentale et physique, de sécurité et de bien-être dans et en raison de l’environnement de travail. Parler de votre santé mentale est votre choix, et vous n’avez pas à en parler sur votre lieu de travail si vous ne le souhaitez pas. Cependant, si votre santé mentale affecte considérablement votre travail, il est préférable d’en informer votre employeur. Dans ce cas, c’est la même chose que de signaler un problème de santé physique.

 

  • Prendre soin de votre propre santé mentale

 

Il peut être utile pour les employés de voir leurs managers donner la priorité à leur propre santé mentale également. Cela crée une culture au sein de l’organisation où chacun a la permission de prendre soin de son bien-être. Les managers doivent adopter des comportements sains, tels que faire de l’exercice pendant la journée, exprimer ouvertement leur gratitude pour les choses qui fonctionnent bien et avoir leurs limites et inclure dans leur discours ou attitude une prise en compte égale des problèmes de santé physiques ou mentales.

 

  • Soyez disponible pour écouter vos collaborateurs

 

Si vous repérez des signes de mauvaise santé mentale, vous devriez entamer une conversation avec votre employé. Les questions d’ouverture pourraient inclure :

– « Comment allez-vous en ce moment ? »

– « Vous semblez un peu déprimé. Tout va bien ? »

– « J’ai remarqué que vous êtes arrivé en retard récemment et je me demandais si vous alliez bien ? »

– « Est-ce que je peux faire quelque chose pour aider ? « 

 

Demandez à la personne si elle aimerait parler – si elle refuse, dites-lui clairement que vous êtes disponible, si et quand elle a besoin de vous.

 

  • Ne présumez rien avant d’en avoir discuté avec la personne concernée

 

Posez des questions ouvertes et curieuses pour en savoir plus sur ce qui se passe pour cet employé. Ne présumez pas que vous savez quel est le problème et gardez à l’esprit que la première chose que l’employé dit n’est peut-être pas le « problème réel » de toute façon. Parfois, les gens prennent du temps (et ont besoin de se sentir en sécurité) pour vraiment parler de ce qui se passe.

 

  • Être proactif dans la recherche de solutions

 

Pour aider un employé ayant des problèmes de santé mentale, assurez-vous de vous concentrer sur ce qui peut être fait. Adoptez une approche proactive et positive.

 

Si vous n’êtes pas sûr de ce qu’il faut faire, discutez-en avec votre entourage, votre supérieur hiérarchique ou votre fournisseur de soutien en santé mentale pour partager des idées sur ce qui est possible et comment vous pourriez apporter votre aide.

 

Pour retrouvez toutes les bonnes pratiques à adopter pour veiller au bien-être psychologique de vos collaborateurs, découvrez le cours éponyme co-édité par Video Arts. 

Veiller au bien-être psychologique de ses collaborateurs

 

Un youtubeur fait son entrée au sein de notre liste exclusive d’éditeurs premium !

 

Tous les contenus de formation ne se valent pas. En effet, comme l’expliquait déjà en mai 2020 Arnauld Mitre, co-fondateur de Coorpacademy,  « un des gros problèmes de l’industrie du learning et de la formation, qui est une industrie de contenu, c’est de penser qu’un contenu qui a le même nom qu’un autre vaut la même chose. »

 

Chez Coorpacademy, notre catalogue de cours sur étagère contient plus de 1700 cours qui sont mis à jour régulièrement et ce catalogue s’enrichit mensuellement de nouveaux cours. Afin de proposer des contenus de cours premium, nous travaillons en collaboration avec des experts pour co-éditer nos cours.

Nous avons récemment intégré des nouveaux partenaires à notre catalogue, tels que Mandarine Academy pour la formation aux outils bureautiques, 7-Shapes pour aborder le Lean Management ou encore tout dernièrement le youtubeur Florian Manicardi, champion de France de mémoire et de lecture rapide, fondateur de Memorallune société qui met à disposition des formations sur les techniques de mémorisation, de lecture rapide et de mind-mapping.

L’intégration de nouveaux partenaires nous donne l’occasion de refaire le point sur les différents types de co-éditeurs de cours avec qui nous enrichissons notre catalogue de formation premium.

 

Éditeurs

Bescherelle est une marque des éditions Hatier, qui publient de nombreux ouvrages scolaires, parascolaires et jeunesse. Aujourd’hui la gamme Bescherelle propose, en plus des références, des ouvrages autour de l’histoire, des langues, des subtilités de la langue française, mais aussi des jeux familiaux. Avec 1 million d’ouvrages vendus chaque année, Bescherelle est la référence en langue française.

 


1er éditeur business en France, avec des signatures fortes comme Mercator, Strategor, Communicator et des collections emblématiques comme La Boîte à outils, les 5 Clés ou 2h chrono, Dunod n’a jamais cessé d’innover. Du livre au digital learning, Dunod accompagne avec succès vos collaborateurs dans leurs besoins de formation, sur des thématiques métier mais aussi sur des soft skills, avec une pédagogie éprouvée et un objectif d’engagement fort. Dunod s’appuie aujourd’hui sur l’expertise de ses meilleurs auteurs pour vous proposer des formations digitales exclusives avec CoorpAcademy. Dunod est un éditeur du groupe Hachette Livre.

 

Groupe familial et indépendant depuis sa création en 1925, Eyrolles figure dans le top 20 de l’édition française. À la fois éditeur et libraire, le groupe Eyrolles propose aujourd’hui des formations e-learning en partenariat avec Coorpacademy. Ces formations sont issues des ouvrages les plus emblématiques écrits par les meilleurs auteurs de la maison d’édition.

 

Wolters Kluwer France est connu et réputé en France avec les signatures Lamy et Liaisons Sociales. Spécialisés dans le droit, fiscalité, finance, comptabilité, risques, compliance, santé et leurs applications en entreprise, les experts accompagnent leurs 100 000 clients professionnels dans leurs prises de décisions stratégiques et quotidiennes. Ils proposent des éditions juridiques en version papier et online, des logiciels de gestion pour les cabinets d’avocats, des offres de formations et de conférences, ainsi qu’un service d’annonces et formalités légales.

Presse

 

Challenges est un magazine hebdomadaire économique français, traitant des principaux événements économiques portés par l’actualité en France et à l’étranger. Toute l’actualité économique est dans Challenges : budget, consommation, finances publiques, conjoncture, fiscalité, croissance. Dossiers, analyses des plus grands économistes, stratégies, conseils pratiques d’investissements, de placements, le magazine Challenges rend l’économie claire et passionnante !

 

Marque media-caution, Capital aide à mieux comprendre et vivre l’économie d’aujourd’hui. Capital rapproche le monde de l’économie de la vie quotidienne des Français. Capital décrypte, dévoile, conseille pour permettre à ses lecteurs de faire les bons choix dans une société où tout est économie.

 

 

Forbes est un magazine trimestriel digital et papier dédié aux entrepreneurs et décisionnaires qui veulent suivre l’actualité business, finance, management , technologie.

 

Management est la marque média référente pour celles et ceux qui sont acteurs de leur vie et veulent progresser selon leurs envies. C’est à la fois un magazine, des hors-série, des livres, des communautés et des cours en ligne. Leur mission : aider à redonner du sens au travail pour y prendre plus de plaisir et faire en sorte qu’il ne soit plus un but, mais un moyen.

 

Premier magazine européen de l’actualité scientifique, Science & Vie s’attache à livrer une explication claire lisible dans les domaines de la science et de la technique. Science & Vie enquête, s’enthousiasme pour les vraies découvertes, dénonce les fausses vérités. Science & Vie propose des clefs pour comprendre le présent, explorer le monde, rêver le futur.

 

Magazine trimestriel français créé en 2010 par Jérôme Ruskin, Usbek & Rica explore le futur. Le progrès technique est-il toujours synonyme de progrès humain ? Comment rester un humain dans le monde ultra-technologisé qu’on nous promet ? En jouant de l’étonnement cher aux personnages des Lettres persanes de Montesquieu, dont son titre est directement tiré, Usbek & Rica interroge les bouleversements les plus rapides et les plus vertigineux de notre histoire.

Spécialistes produit

 

7-Shapes propose des parcours de formation au Lean Management et à la Supply Chain basés sur une simulation interactive d’entreprise. Apprendre en s’immergeant, en interagissant, en se trompant puis en réussissant, telle est notre devise ! Plusieurs milliers de personnes se sont déjà formé·e·s avec la 7-Shapes School, alors, à vous de jouer !

 

FABERNOVEL est une agence d’innovation fondée en 2003 et implantée à Paris, San Francisco, New York, Shanghai et Lisbonne. FABERNOVEL INSTITUTE développe la culture numérique et entrepreneuriale des cadres dirigeants et des collaborateurs des grandes entreprises. FABERNOVEL INSTITUTE a pour mission d’enclencher le changement de posture des collaborateurs et d’en faire des acteurs de la transformation de leurs métiers et de leur organisation.

 

GlobalExam est la start-up EdTech leader pour la mobilité et l’employabilité des étudiants, salariés et demandeurs d’emploi. Nous proposons à chacun de valoriser ses compétences en langues en obtenant le meilleur score aux certifications reconnues à l’international. Les formations sont préparées par des professionnels avec des programmes spécialisés, évaluations et mises en situations dans 5 langues (espagnol, anglais, allemand, français et chinois). Aujourd’hui, GlobalExam a permis à plus de 300 000 utilisateurs de passer leur certification linguistique et accompagne plus de 450 écoles du supérieur et organismes de formation en France et dans 20 pays.

 

IBM se positionne depuis plus de 100 ans comme le partenaire privilégié des entreprises en mettant à leur disposition la palette de ressources la plus complète – compétences, systèmes, logiciels, services, financement, technologies – pour les aider à se différencier sur leur marché et leur permettre de devenir des entreprises innovantes grâce à leurs données et aux systèmes cognitifs, dans le cloud, autour de l’expérience client. Depuis plus d’un siècle en France, IBM bâtit les fondations d’un monde basé sur des systèmes intelligents et interconnectés et sur de nouvelles architectures informatiques, contribuant ainsi à la transformation de l’économie française et de la société.

 

L’Institut François Bocquet organise chaque année en Europe plus de mille formations en développement des talents. Plus de 150.000 professionnels ont été formés (et parfois transformés) par l’Institut depuis 1986.

 

Learn Assembly est une entreprise apprenante qui conçoit des expériences d’apprentissage innovantes pour une employabilité saine et durable et propose aussi des formations B2C en ligne sur de nombreux sujets : digital learning, animation d’une classe virtuelle, marketing de la formation…

 

MySezame est un organisme de formation spécialisé sur les sujets du business à impact. Nous sommes des experts du business à impact : nous engageons et formons les dirigeants et leurs équipes aux transformations et innovations business liées aux enjeux sociétaux. Notre ambition est de créer une bascule des individus dans l’entreprise pour les engager à refondre collectivement les modèles d’affaires et de réussite, afin de rendre l’économie soutenable, durable et inclusive. MySezame est l’une des 100 entreprises françaises à être certifiée «B Corp», le label des entreprises engagées pour le bien commun.

 

NUMA est l’équivalent de School of future dans le monde du travail. La société propose des expériences d’apprentissage continu stimulantes aux particuliers et aux entreprises à travers le monde. Créée en 2000, l’entreprise NUMA a établi la première association entrepreneuriale à Paris, le premier espace de coworking, le premier accélérateur de startups et le premier programme d’open innovation. NUMA est désormais un acteur clé de la culture startup et de l’innovation mondiale grâce aux formations. Cette formation présente Jeff Gothelf, auteur de renommée mondiale et coach exécutif, et Claudio Vandi de chez NUMA.

 

The Data Touch contribue à la réussite des entreprises en leur fournissant des résultats tangibles issus de l’exploitation de données Internet. The Data Touch propose également des formations data en entreprise pour accroitre les compétences des collaborateurs. Les produits et services offerts comprennent: la production de prototypes de machine learning visant à prédire des résultats centrés autour des objectifs de l’entreprise, la création d’une culture de la data au sein des entreprises, la mise en place d’initiatives data autour du comportement des consommateurs en ligne et des performances sur Internet en général.

 

L’apprentissage est souvent conçu pour remplir les apprenants de faits et d’informations. C’est très bien si vous voulez augmenter leur compréhension d’un sujet, mais que se passe-t-il si vous avez réellement besoin de changer leur comportement ? En termes simples, la vidéo permet de faire passer des idées complexes sur le comportement humain en un court laps de temps. Et Video Arts fait passer le message d’une manière que vos apprenants n’oublieront pas. Depuis que l’entreprise a été fondée en 1972 par John Cleese, notre contenu d’apprentissage est devenu célèbre pour stimuler, engager et divertir les gens, les incitant à penser, ressentir et faire les choses différemment.

 

Personnalités

 

Olivier Sibony est professeur affilié de stratégie à HEC Paris. Auparavant, il était associé principal de McKinsey & Company, où il a passé 25 ans à conseiller les dirigeants de sociétés mondiales. Il est l’auteur d’articles dans diverses publications, notamment Harvard Business Review, McKinsey Quarterly et California Management Review.

 

 

François Fourcade a travaillé près de 15 années au sein d’un grand équipementier automobile international. Après une thèse de doctorat en stratégie et management de l’innovation réalisée au Centre de Recherche en Gestion de l’école polytechnique à Paris, il quitte l’industrie pour revenir à l’une de ses passions : l’enseignement et la pédagogie. Il occupe depuis le poste de professeur associé au sein du département Contrôle et Pilotage des Organisations du Campus Paris d’ESCP Europe. Il expérimente nombre d’innovations pédagogiques, entre autre sur la plateforme de formation continue de HEC Executive Education. François Fourcade a également participé à l’écriture d’un ouvrage collectif intitulé « Pour en finir avec le management efficace » (Pearson, 2015).

 

André Tordjman est le président fondateur des magasins Little Extra depuis 2005. Little Extra est une enseigne art de vivre à petits prix. Dans un cadre de style loft, les magasins sont dédiés aux objets de tous les jours pour la cuisine, la salle de bain et les enfants. Little Extra compte aujourd’hui 18 magasins en France et un site internet marchand. Avant de se lancer dans l’entrepreneuriat, André Tordjman a été professeur de marketing à HEC pendant plus de 15 ans et directeur marketing du groupe Auchan pendant 7 ans. André Tordjman a écrit plusieurs livres et a eu plusieurs articles publiés dans des magazines internationaux. Il a reçu le prix Paul Nicolas de l’Académie des Sciences Commerciales pour son livre Stratégies de concurrence dans le commerce, ainsi que la « Thèse d’Or » pour ses recherches en distribution.

 

Serial entrepreneur en Europe, en Chine et aux États-Unis, Grégoire Sentilhes apporte une vision innovante et globale sur le rôle transformateur de l’entrepreneur dans cette 3e révolution industrielle qui redessine le monde. Depuis 2002, basé à Paris, il est le président et le cofondateur de NextStage AM, l’un des plus grands acteurs du capital-développement, qui s’est vu décerner en 2015 le Gold Award du meilleur Growth Equity Fund en Europe.

 

Divertissement

 

A-t-on encore besoin de présenter le très emblématique et quarantenaire Trivial Pursuit ? Inventé en 1979 et sorti en 1982, le jeu Trivial Pursuit a traversé des générations compétiteurs et a été vendu à plus de 100 millions d’exemplaire à travers le monde (dans plus de 30 pays). A travers une série de cours abordants les 6 thématique emblématiques du jeu, Hasbro, Trivial Pursuit et Coorpacademy proposent une vision partagée de l’apprentissage : donner accès à la culture générale – une soft-skill, précieuse lors d’une réunion ou d’un déjeuner de travail – de manière amusante, engageante et divertissante.

TRIVIAL PURSUIT, the associated logo, the distinctive design of the game board, trivia cards, game tokens, and scoring wedges are trademarks of Hasbro and are used with permission. © 1981, 2020 Hasbro. All Rights Reserved. Licensed by Hasbro.

 

Un manoir, six personnages… un meurtre ! Cluedo, le plus célèbre des jeux de déduction, imaginé par Anthony Pratt et sa femme Elva, est mis en vente pour la première fois en 1949. Des décennies – et de multiples versions et déclinaisons (cinéma, série, jeux vidéo, bande dessinée…) – plus tard, son succès ne se dément pas. À travers l’enquête pédagogique Cluedo : Meurtre sur Skill Island, Cluedo, Hasbro et Coorpacademy s’associent afin de proposer un format d’apprentissage divertissant où votre esprit critique sera mis à l’épreuve.
Cluedo and related characters are trademarks of Hasbro and are used with permission. © 2021 Hasbro. All Rights Reserved. Licensed by Hasbro.

Le Digital Learning chez FDJ : découvrez en vidéo les coulisses d’un succès

 

Dans cette interview vidéo, Dora Mosalo, Responsable Learning et development et Jérôme Pesenti, Chef de projet RH sur la formation digitale chez FDJ , nous racontent les succès de la plateforme Coorpacademy « Digilearn » au sein du groupe leader français des jeux d’argent et de hasard, partagent les bonnes pratiques à connaître et les défis à venir pour la formation en ligne chez FDJ !

 

 

Quels sont les succès de la formation en ligne « Digilearn » chez FDJ ?

Dora Mosalo : Deux succès. Le premier évidemment c’est la mise en place de cette plateforme d’apprentissage qui est connue par tous nos collaborateurs. Le deuxième succès chez nous, c’est la création de contenus purement FDJ. Des contenus qui sont soit légaux, obligatoires mais aussi culturels, sur la culture FDJ.

 

Les 3 avantages de Digilearn et notamment pour les apprenants ?

Jérôme Pesenti : Le premier avantage de Digilearn, c’est le côté ATAWAD : Any Time, Any Where, Any Device. C’est à dire que le collaborateur peut se connecter quand il le veut, où il le veut, sur n’importe quel outil (smartphone, PC ou tablette).

Le deuxième avantage, c’est la rapidité. En effet, nous avons des modules de cours rapides qui utilisent la pédagogie inversée, c’est à dire que le collaborateur commence par les questions et si il ne connaît pas le sujet, il peut regarder le cours.

Dernier avantage, la gamification de la plateforme. En effet, plus les collaborateurs réalisent des cours, plus ils gagnent des étoiles et font partie du classement général de l’entreprise. Nous avons également des battles où les collaborateurs peuvent s’affronter sur un sujet et découvrir qui est le meilleur.

 

Un chiffre clé et une bonne pratique à retenir ?

Dora Mosalo : Le chiffre clé ce sera 93.

Parce que 93% de nos collaborateurs se sont connectés au moins une fois sur la plateforme.

La bonne pratique, et nous la pratiquons de plus en plus, c’est de créer du contenu FDJ en s’appuyant sur ce qui existe dans le catalogue Coorpacademy en le mêlant à du sur-mesure avec nos experts.

 

Les apprenants se prennent-ils au jeu ?

Jérôme Pesenti : Même si le jeu est notre métier, nous sommes toujours surpris de découvrir le côté compétiteur de nos collaborateurs. C’est-à-dire que lorsque nous réalisons des challenges sur la plateforme, nous observons une augmentation des battles réalisées.

 

Les prochains grands défis pour la formation en ligne chez FDJ ?

Dora Mosalo : Cette rentrée, nous avons deux grands défis. Le premier c’est d’utiliser le catalogue Coorpacademy comme pré-requis pour nos formations présentielles dans le cadre de la ré-ingénierie de ces formations. Ce sera une offre beaucoup plus intéressante.

Et notre deuxième défi, comme nous venons de le faire pour la prise de fonction managériale, ce sera de créer des parcours qui vont permettre une vraie progression et un approfondissement de notre offre de formation.

Voir l'étude de cas