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Comment le top management de Manor SA se forme aux soft skills et à la culture digitale – Interview de Graziella Ribic

 

Manor est la plus grande chaîne de grands magasins de Suisse. Elle possède son propre site d’e-commerce et est leader du secteur avec 60 % de parts de marché. L’entreprise emploie environ 9 750 personnes au sein de ses 60 grands magasins, 28 restaurants Manora, 31 supermarchés Manor Food, 4 centrales de distribution et de son siège social à Bâle. Créée en 1902, l’entreprise est le fruit d’une rencontre entre tradition et innovation, qui a toujours su se réinventer, car le changement est et restera une constante immuable. C’est dans cet esprit de dynamisme et d’innovation que Manor a annoncé en octobre 2018 la signature d’un partenariat avec Coorpacademy, principalement dans le but de faciliter le processus d’acculturation digitale pour ses collaborateurs.

Le partenariat avec Coorpacademy s’articule autour du principe suivant : pas de création de contenu, mais une volonté de former les collaborateurs de Manor à différentes thématiques, comme la culture digitale, l’avenir du retail, le management et le leadership. À l’occasion du lancement de ce partenariat, nous avons rencontré Graziella Ribic, directrice du programme Leadership et responsable de ce projet.

Comment l’entreprise Manor met-elle en œuvre sa stratégie d’innovation au quotidien, en particulier dans le domaine des ressources humaines et du développement personnel des collaborateurs ? Quelles sont les initiatives concrètes mises en place par l’entreprise à cet effet ?

Nous proposons dans quatre domaines (les fondamentaux, les ventes, le leadership et les achats) l’accès à des formations qui répondent à l’évolution des besoins de l’entreprise et du marché ; ces formations sont régulièrement mises à jour pour refléter tous les changements éventuels constatés dans chaque domaine concerné. Nous proposons par exemple à nos cadres une formation « Leading Change », qui se compose d’une formation en ligne donnée par Coorpacademy suivie de cours donnés en ateliers présentiels. Au-delà, les cadres peuvent, s’ils souhaitent poursuivre leur démarche de développement personnel, accéder directement et de façon indépendante à toutes les formations proposées par Coorpacademy.

Vous disposez déjà d’un processus de création de contenu de formation. Quel était le besoin initial et qu’est-ce qui a retenu votre attention dans la proposition de Coorpacademy au point d’ajouter son catalogue à votre propre corpus de formations ?

Nous étions principalement à la recherche de contenus et de méthodes susceptibles de nous aider à avancer sur les sujets de la transformation numérique et du leadership et l’offre de Coorpacademy correspondait à nos critères. Nous avons également apprécié son approche ludique : dans nos propres formations en ligne, nous veillons toujours à ce que les contenus soient transmis de la façon la plus agréable possible, en vérifiant la bonne acquisition des connaissances au moyen de petits quizzes. Par ailleurs, la possibilité de profiter d’une pause ou d’un trajet de cinq minutes pour poursuivre la formation est très pratique. Dans un contexte où il est souvent difficile de libérer ne serait-ce qu’une heure dans la journée, la proposition de modules de formation de courte durée est forcément un plus.

Pourquoi, selon vous, l’acculturation digitale et les compétences comportementales (soft skills) sont-elles un enjeu majeur du XXIe siècle ?

Les nombreuses innovations apportées chaque jour par le digital influent directement ou indirectement sur notre quotidien. Peut-on désormais s’imaginer vivre sans un smartphone ? Toutes ces nouveautés, il faut apprendre à les connaître et à les maîtriser. Si l’on est incapable de suivre le rythme, on risque de se retrouver tôt ou tard complètement démuni devant une machine inconnue, cherchant désespérément du regard les équipes d’assistance technique qui auront disparu du paysage. Mais je ne pense pas qu’il s’agisse de faire un choix exclusif entre l’homme ou la machine, mais plutôt de la coexistence des deux. Dans certains domaines, les machines seront prédominantes, tandis que dans d’autres secteurs, l’humain restera aux commandes. Pour pouvoir continuer à avancer dans notre quotidien, il faut nous engager pleinement dans la réalité du monde numérique, car elle est là pour durer.

Merci beaucoup !

Merci !

Découvrez l’interview vidéo de Graziella Ribic (en allemand) !

L’entreprise face à la Révolution des Compétences : quelles solutions concrètes ?

 

Le 23 mai 2019, Coorpacademy s’associe à FuturSkill – ManpowerGroup pour vous proposer un Learning Breakfast inédit sur la Révolution des Compétences.

Face à la mutation des métiers et des compétences liée à la 4ème révolution industrielle et la pénurie mondiale de talents qui a atteint son plus haut niveau depuis 12 ans (*), une montée en compétences massive des salariés est pour la première fois envisagée par les entreprises : 84% des entreprises annoncent en effet vouloir renforcer les compétences de leurs effectifs d’ici à 2020 (**).

Réservez votre jeudi 23 mai, de 8h15 à 10h30, pour échanger et identifier des solutions concrètes face aux défis posés par la révolution des compétences !

Programme

8:15 – 9:00 : Accueil, petit-déjeuner et networking

9:00 – 9:20 : Pénurie de talents : mettre en place une stratégie d’acquisition et de développement des compétences innovante
Sébastien Mallet, directeur du développement, FuturSkill – ManpowerGroup

9:20 – 9:40 : Le Smart Content au service de la montée en compétences
Armelle Lavergne, directrice du contenu, Coorpacademy
Frédérick Bénichou, co-fondateur, Coorpacademy

9:40 – 10:00 : Quelles solutions pour positionner les compétences au coeur de vos processus RH ?
François Neveu, account executive, Clustree

10:00 : Q&A et conclusion

10:30 : Fin

Nb : Cet événement est réservé aux décideurs RH / formation ou aux responsables de programmes transverses (talent management, transformation digitale). Le nombre de places étant limité, nous vous invitons à vous inscrire rapidement.

Pour vous inscrire, c’est ici !

Sources : Études réalisées par ManpowerGroup
(*) Enquête mondiale menée auprès de 40 000 entreprises en 2018
(**) Étude Revolution 4.0 – Humans wanted : Robots need you, parue en février 2019.

À très vite,
Les équipes Coorpacademy et FuturSkill !

2019 avec les Éditions DUNOD – Interview d’Éric Pommat, Directeur Digital et Business Development

Début 2018, au début de notre collaboration avec les Éditions DUNOD, nous avions eu l’occasion de rencontrer Eric Pommat, Directeur Digital et Business Development de la célèbre maison d’éditions française à l’occasion du démarrage de notre partenariat de contenu (pour lire cette interview, c’est ici).

Après la sortie de déjà 4 cours conjoints, c’est l’occasion de refaire le point avec lui. Sur ce qui est sorti, mais aussi sur ce qui va sortir. En 2018, nous avions eu l’occasion de découvrir la technique de la pleine conscience au travail, une pratique de méditation qui trouve parfaitement sa place dans le cadre professionnel pour retrouver son énergie et éviter les « voleurs d’attention », sources de stress. Nous avions pu développer notre créativité avec le mind mapping, une technique de cartographie mentale pour faire foisonner nos idées au service de l’innovation et de la performance en entreprise. Vous vous sentiez parfois peu productifs ou même peu efficaces au travail ? Vous avez pu découvrir les 9 outils et méthodes à connaître pour être efficace dans votre job, dont la matrice Eisenhower et la méthode GTD, « Getting Things Done ». Enfin, vous avez (re)découvert l’inbound marketing et et le growth hacking, ces techniques de marketing efficaces, rapides et à faible coût. 4 nouvelles compétences, entre compétences comportementales et boîtes à outils pour se sentir mieux au travail, qui ont ravi les apprenants de Coorpacademy en 2018 (les chiffres le prouvent !)

Retour donc avec Eric Pommat sur les 4 sujets abordés, la consultation des cours des Editions Dunod et les perspectives en 2019.

Bonjour Eric, merci de nous recevoir.

Tout d’abord, qu’avez-vous pensé de la co-édition de cours avec Coorpacademy ? Comment la maison d’éditions Dunod assure les communications entre les créateurs de contenu et les ingénieurs pédagogiques de Coorpacademy dans la conception de ces cours ?

La co-édition des 4 premiers cours Dunod by Coorpacademy fut fluide et efficace !

Il faut noter que Dunod est un partenaire de contenu relativement atypique pour Coorpacademy. Fin 2017, notre maison d’édition, et c’est assez original pour le souligner, a recruté sa propre équipe d’ingénieurs pédagogiques. Le développement d’une nouvelle activité de Digital Learning, constituait en effet l’une des étapes de notre transformation digitale.

Aujourd’hui, Dunod, au-delà de son activité historique d’éditeurs de livres, met son  savoir-faire éditorial, son expertise pédagogique et digitale ainsi que la profondeur de son catalogue de contenus au service des entreprises et organisations pour les conseiller et les accompagner dans leurs projets de communication, d’édition sur mesure et de digital learning. Nous sommes naturellement datadockés.

Ces 4 premiers cours ont ainsi été créés par nos ingénieurs pédagogiques maison, avec la contribution d’experts métier, et en lien avec les équipes Coorpacademy : en somme, tout était réuni pour concevoir des contenus engageants et pédagogiques au service des apprenants !

Et quelques mois après, les statistiques de consultations parlent d’elles-mêmes : les cours Dunod by Coorpacademy comptent parmi les plus consultés et les plus appréciés de la plateforme !

Comment les sujets à aborder dans le cadre de formations digitales sont-ils définis ?

Nous procédons de façon « collégiale » en croisant les propositions faites par les équipes Dunod et Coorpacademy.

L’équipe Coorpacademy nous soumet des thématiques qui font l’objet de demandes clients ou repère dans le catalogue Dunod les titres inspirants.

Dunod, de son côté, s’appuie sur son savoir-faire éditorial, son réseau d’experts, ses chiffres de vente pour proposer les sujets les plus porteurs et Coorpacademy-friendly !

A partir de ces différents inputs, l’intelligence collective des équipes fait ensuite son œuvre pour définir les sujets qui seront lancés !

Quels sont, pour vous, les sujets à aborder en 2019 dans le cadre de nouveaux cours en ligne sur la plateforme Coorpacademy ? En 2019 Dunod proposera 4 nouveaux cours.

En 2019, nous poursuivrons notre développement sur les soft skills avec 4 nouveaux thèmes essentiels :

  • 1h chrono pour arrêter de stresser et rester zen.
  • Lean management.
  • Intraprenariat et change makers
  • Apprendre à apprendre

Ressentez-vous, dans votre métier de tous les jours, l’importance que prennent les compétences comportementales, douces, plus communément les soft skills, par rapport aux compétences dures, hard skills.

Bien entendu. La nécessite de développer ses softskills est une réalité palpable au quotidien dans notre métier … Les techniques de vente changent, les usages de nos lecteurs changent, la technologie s’immisce partout dans nos vies.

« …nous sommes entrés dans l’ère de l’obsolescence programmée des compétences (durée de vie entre 6 mois et 5 ans)… », comme l’explique très bien Jérémy Lamri dans son dernier livre Les compétences du 21eme siècle : comment faire la différence ? « …ainsi la capacité à apprendre à apprendre devient la compétence centrale d’un individu pour lui permettre de maintenir la qualité de son portefeuille de compétences, continuer à se perfectionner et ainsi sécuriser son adaptabilité et donc son employabilité ».

C’est une évidence : il y a une incertitude face aux évolutions du marché du travail, aux avancées technologiques toujours plus rapides et à la disparition ou la création d’emplois. Comment les publications Dunod s’adaptent à ce monde changeant très rapidement ?

Nous apprenons et nous nous réinventons chaque jour, en nous appuyant sur notre triple expertise, éditoriale, pédagogique et digitale, et sur notre catalogue de contenus (7 000 titres rédigés par 5 500 auteurs experts, enrichi de 365 nouveautés par an, en version papier et numérique).

Quelques exemples ?

Fin 2016, pour faire face à la décroissance structurelle de nos marchés spécialisés, nous avons amorcé notre transformation en créant un pôle grand public.

En 2017, nous avons commencé à nous développer sur le marché du digital learning. D’abord avec des programmes soft skills (Gestion du stress/Confiance en soiManagementGestion du temps) développés pour un groupe d’écoles privées, puis pour Coorpacademy.

En 2018, nous avons lancé un service innovant de formation en ligne pour les professionnels de la Petite Enfance avec le site Les Pros de la Petite Enfance.

En 2019 : nous venons de lancer l’Atelier Dunod, un nouveau service BtoB d’édition sur mesure !

Quel a été votre cours préféré co-édité avec Coorpacademy ? Et pourquoi ?

 « Pleine Conscience au travail », « Boostez ma créativité avec le Mind-Mapping , «  Efficace dans mon job : les 9 outils à connaître» et « Inbound Marketing et Growthhacking »… et la liste s’allongera bientôt !

Chaque nouveau cours est en fait notre préféré. Nous sommes dans un processus d’amélioration continue, nous apprenons et nous faisons mieux chaque fois. C’est très motivant. Vivement la sortie du prochain cours ! »

Merci Éric !

Merci !

Interview BNP Paribas Asset Management : Digit’learning, un outil d’expertise pour nos conseillers avec du gaming

 

Pour accélérer la montée en compétences des conseillers en agences et « délivrer sur le long terme des retours sur investissement durables à ses clients« BNP PARIBAS ASSET MANAGEMENT, la branche d’activités spécialisée en gestion d’actifs du groupe BNP Paribasa fait le choix de compléter son dispositif de formation (présentiel, e-learning) par une solution innovante de digital learning : la plateforme Digit’learning.

Développée par Coorpacademy et co-créé avec le département marketing de l’entreprise, la plateforme propose plusieurs parcours de formation sur les produits financiers de BNP Paribas Asset Management. 6000 conseillers ont déjà utilisé la plateforme depuis mai 2018 pour développer leur expertise.

À la pointe de l’innovation, l’entreprise dirigée par Frédéric Janbon vient d’annoncer le renforcement de son engagement en faveur de l’investissement durable. Nous avons rencontré Sylvie Vazelle-Tenaud, Head Of Marketing For Individuals, Advisors and Online Banks, et Camille Lafon, E-Marketing Manager, qui ont bien voulu répondre à nos questions.

Quelles sont vos principales fonctions au sein de BNP Paribas Asset Management ?

Notre rôle est d’assurer la promotion des produits BNP Paribas Asset Management au sein des réseaux de distribution du Groupe BNP Paribas et auprès des clients particuliers. Nous mettons également à disposition de nos équipes commerciales présentes dans différents pays, des solutions de marketing digital innovantes pour les accompagner dans leurs actions de formation et d’information auprès des conseillers des agences bancaires.

Quelle était la problématique que vous souhaitiez résoudre avec Coorpacademy ? Et à quel enjeu souhaitiez-vous répondre ?

Nous souhaitions accroître l’expertise des conseillers en agences sur les produits BNP Paribas Asset Management. Compte tenu de la masse de personnes ciblées (près de 12 000 collaborateurs), il nous fallait une solution qui vienne en complément des actions de formations et d’information des commerciaux de BNP Paribas Asset Management sur le terrain. La solution digitale développée par Coorpacademy était le moyen le plus efficace pour atteindre rapidement l’objectif souhaité.

Comment se familiarisent les conseillers des agences aux produits BNP Paribas Asset Management ?

Deux manières sont utilisées pour leur permettre de développer leur expertise sur les produits BNP Paribas Asset Management.

La première, est réalisée en présentiel sur le terrain ou par web-conférence avec les équipes de vente de BNP Paribas Asset Management, ceci dans tous les pays où BNP Paribas a un réseau de distribution.

La deuxième est en distanciel, avec des vidéos pédagogiques, des modules d’e-learning et des jeux sur plateformes digitales déployées à l’ensemble du réseau mondial (challenges de construction de portefeuilles d’allocations virtuels par exemple).

Qu’est-ce que la plateforme Coorpacademy a apporté en plus ?

La plateforme Coorpacademy a apporté l’innovation et de la pédagogie. Elle se distingue du e-learning traditionnel avec une dimension « gaming » en plus. Elle propose aussi une flexibilité d’apprentissage non consommatrice de temps, un parcours complet dure en moyenne 20 minutes. Les collaborateurs améliorent leur expertise en un temps record et en s’amusant !

La population qui se forme semble joueuse et encline à utiliser les fonctionnalités de gaming (plus de 70 000 battles ont déjà été jouées). Pensez-vous que la gamification soit un véritable facteur clé de succès dans l’acquisition de l’expertise ?

Oui, très clairement. Nous présentons la plateforme comme un outil d’expertise avec du gaming. Dans notre communication nous mettons principalement en avant la fonctionnalité des “vies” (pour compléter un niveau de cours, un collaborateur dispose de 3 vies, matérialisées par des coeurs sur la plateforme ; une mauvaise réponse et il perd une vie/coeur, après 3 mauvaises réponses, il doit recommencer et un nouveau quiz lui est proposé). Nous valorisons également les gains d’étoiles (récompensant la réussite d’un cours : le classement des collaborateurs est ensuite défini en fonction des étoiles gagnées), cette fonctionnalité nous permet ainsi de créer de l’émulation entre collaborateurs et leur donner envie de refaire les cours. En revanche, nous n’avions pas énormément communiqué sur les battles (une fonctionnalité de la plateforme Coorpacademy qui permet de challenger ses pairs sur un cours, avec des étoiles à la clé pour la personne qui a le plus de bonnes réponses) mais les collaborateurs ont découvert cette fonctionnalité par eux-mêmes et ont adoré !

Quels sont les principaux résultats observés ?

Beaucoup d’engouement ! Les retours utilisateurs sont un bon indicateur :
– « Excellente initiative digitale ! Très bonne approche pédagogique. »
– 
« Je trouve la plateforme conviviale avec les battles, beaucoup mieux que les e-learning classiques ! »
– « Très clair, bel appui visuel des vidéos, durée juste comme il le faut ! »
– « Une façon de réviser rapidement et efficacement – contenu très synthétique – plateforme conviviale. »

Et une fois que les gens se connectent, il y a un bon taux d’activation, les parcours d’expertise sont souvent réalisés jusqu’au bout, les collaborateurs sont même demandeurs de nouveaux parcours. Les fonctionnalités gamifiées sont très exploitées et participent à cet engouement.

Comment créez-vous vos cours sur-mesure sur la plateforme Coorpacademy ?

Nous travaillons en fonction du plan d’action commercial de chaque pays et créons les parcours d’expertise destinés à soutenir l’atteinte des objectifs commerciaux définis.

Au marketing, nous définissons conjointement avec les équipes de vente BNP Paribas Asset Management le contenu du parcours qui est ensuite validé par le réseau de distribution concerné. Cette étape achevée, l’équipe Marketing prend en charge le processus de rédaction des scripts, de propositions d’animation des vidéos, qui sont envoyés ensuite en production chez Coorpacademy.

Nous lançons en général un parcours par trimestre pour chaque pays. Nous en avons déjà terminé 10, et nous en avons déjà une dizaine d’autres dans le pipeline pour 2019 !

Merci beaucoup ! 

Merci à vous.

 

 

Quand la difficulté permet d’apprendre : les mécanismes de l’échec productif

 

Coorpacademy vous fait profiter, chaque mois, de ses collaborations R&D avec le Centre LEARN (Centre des Sciences de l’Apprentissage) de l’EPFL (École Polytechnique Fédérale de Lausanne, Suisse).

Jessica Dehler Zufferey, directrice opérationnelle du Centre LEARN, précédemment responsable R&D chez Coorpacademy, démarre cette série d’articles par une réflexion sur l’échec productif, ou quand la difficulté nous fait apprendre.


Les meilleurs apprentissages ne peuvent-ils survenir que dans un contexte culturel où les erreurs sont non seulement acceptées, mais également perçues comme des occasions précieuses d’améliorer ses compétences ?

Lorsqu’ils se forment à un nouveau sujet sur la plateforme Coorpacademy, les apprenants ont toujours le choix : ils peuvent soit commencer par répondre à des questions, soit accéder aux supports pédagogiques (vidéos de cours).

De façon intuitive, on pourrait penser qu’une personne possédant déjà une bonne connaissance du sujet en amont doive commencer par les questions, tandis qu’une autre  n’ayant aucune connaissance ou une connaissance réduite doive commencer par le contenu pédagogique avant de répondre aux questions. Mais est-ce vraiment le cas ? Des recherches s’intéressant à la méthode dite de « l’échec productif » parviennent à la conclusion inverse.

Comment cela fonctionne-t-il ?

Initialement développé à Singapour par Manu Kapur, aujourd’hui professeur à l’ETH Zürich (École Polytechnique Fédérale de Zürich) et reconnu dans le monde entier, le concept d’échec productif met en avant les bénéfices de devoir faire face à des obstacles au cours d’un apprentissage. Lorsque des apprenants se plongent dans de nouveaux sujets, ils passent par une phase initiale de « brainstorming » créatif et conceptuel avant de se plonger dans le contenu , les informations et les explications. Si vous souhaitez en savoir plus sur la science des données (data science), par exemple, vous devriez d’abord vous amuser avec des données, inventer des mesures à appliquer et faire des expériences avec les résultats obtenus. La qualité des idées que vous générez n’a que peu d’ importance car même les mauvaises idées peuvent engendrer le phénomène d’échec productif. D’après Kapur, l’échec productif « est la préparation à l’apprentissage ». Ce n’est pas l’apprentissage lui-même.

Quel impact cela a-t-il ?

La littérature qui existe sur cette approche montre que non seulement votre compréhension conceptuelle sera améliorée si vous commencez par échouer, mais que votre intérêt pour le sujet et votre motivation en seront également accrus. Autre effet secondaire intéressant : cela vous forme à la persévérance. Le nombre d’idées générées est également supérieur si l’on commence par échouer, donc cette méthode stimule aussi la créativité.

Pourquoi est-ce que ça marche ?

Il se trouve que les mécanismes cognitifs de l’apprentissage derrière le phénomène d’échec productif sont plutôt bien compris. Premièrement, toute stimulation cognitive est bénéfique pour l’apprentissage car elle met le cerveau en « mode actif ». Deuxièmement, tout apprentissage est contextualisé ; de ce fait, en développant leurs propres idées, les apprenants créent le contexte dans lequel ils pourront intégrer tout apprentissage futur. Troisièmement, en élaborant des idées avant la phase réelle d’apprentissage, les apprenants développent une intuition concernant les types de problèmes associés. Ils sont ainsi plus susceptibles d’appliquer le contenu de l’apprentissage dans des situations futures et donc d’améliorer leurs performances grâce à l’apprentissage.

Qu’est-ce que cela signifie pour vous en tant qu’apprenant tout au long de la vie ?

Lorsque vous vous lancez dans l’apprentissage d’un nouveau sujet, ne vous tournez pas directement vers le contenu pédagogique en pensant que vous devez commencer par acquérir les connaissances de base. Exploitez plutôt cette phase initiale d’« ignorance » et élaborez plusieurs idées, qu’elles soient justes ou fausses. Ce n’est qu’à ce moment-là, lorsque vous serez impliqué, que vous pourrez vous pencher sur le contenu et apprécier l’apprentissage.

L'auteur de l'article Jessica Dehler Zufferey

 

Montre-moi comment tu apprends et je te dirai qui tu es !

 

Nous apprenons tous de façon différente ! Or peu de plateformes d’apprentissage en ligne, notamment dans le domaine de la formation professionnelle, prennent aujourd’hui en compte cette diversité de comportements… Il est temps que les formateurs se dotent d’outils d’analyse comportementale !

Découvrez le nouvel article de Frédérick Bénichou, co-fondateur de Coorpacademy, publié dans le Journal du Net. Pour le lire dans sa version originale, c’est ici !

Extraits choisis :

« En allant deux fois plus vite dans l’acquisition de nos compétences douces (soft skills), telles que la capacité à résoudre des problèmes, la créativité ou encore l’intelligence émotionnelle, la part des emplois menacés par l’automatisation pourrait être réduite d’un tiers voire de moitié (étude d’Accenture Strategy Harnessing Revolution: Creating the Future Workforce) !

Alors qu’attendons-nous pour accélérer le rythme de la formation en entreprise et engager les salariés sur le développement de leurs soft skills ?

Le Digital Learning est un outil puissant quand il est fluide, personnalisé, et omnicanal, à la manière d’une expérience client réussie. Et tout comme l’expérience client, la formation commence par une connaissance approfondie de ses utilisateurs. Un responsable RH, un responsable de formation ou un manager doit donc commencer par connaître et comprendre la manière d’apprendre de ses équipes ! »

[…]

« Nous apprenons tous de façon différente. Le processus est complexe, évolutif et dépend de différents facteurs qui nous sont propres ou liés à notre environnement, par exemple, notre état émotionnel, le contexte, le sujet ou tout simplement le moment de la journée choisi pour apprendre. Une expérience de formation réussie passe donc par la prise en compte de nouveaux indicateurs qui reflètent ces variantes et comportements d’apprentissage.

Comme la curiosité par exemple. La curiosité est associée à des capacités supérieures, y compris en ce qui concerne l’apprentissage. La curiosité est en réalité une caractéristique issue de notre évolution. Les individus dotés de curiosité avaient en effet un avantage en termes évolutifs par rapport aux autres. Des recherches montrent que la curiosité des apprenants à propos d’un sujet est plus forte lorsqu’ils ont certaines connaissances mais manquent d’assurance. Il faut donc prendre cela en compte dans le choix des contenus de formation. »

[…]

« Les entreprises ont accès à toutes sortes de nouveaux enseignements : non seulement ce qu’une personne a effectivement appris, mais aussi comment l’apprenant en est arrivé là et quelle est l’approche d’apprentissage pour laquelle il a opté, et ainsi proposer des recommandations au plus proches de ses besoins. L’avantage pour le salarié est de l’aider à s’autonomiser pour qu’il devienne réellement maître de son employabilité et pour cela, il est important qu’il puisse décrypter sa manière d’apprendre. « 

Découvrez la tribune complète ici !

Pour retrouver d’autres publications ou interviews de Frédérick Bénichou, co-fondateur de Coorpacademy, c’est ici :

Instruire n’est pas synonyme d’apprendre.

Frédérick Bénichou interviewé par DLM News en partenariat avec BFM Business, pour l’émission « La vision des experts » lors du salon Learning Technologies France 2019.

Coorpacademy dans le Global EdTech Landscape 3.0 de Navitas Ventures !

 

Coorpacademy est fière d’avoir été reconnue dans le Global EdTech Landscape 3.0 de Navitas Ventures, une branche de Navitas, un des acteurs majeurs de l’éducation dans le monde qui a aidé des millions d’apprenants à transformer leurs vies grâce à l’éducation.

Cette cartographie définit 8 étapes dans le cycle d’apprentissage « nouvelle génération » : créer, gérer, découvrir, connecter, expérimenter, apprendre, certifier, avancer. Ces 8 étapes sont elles-mêmes divisées en 26 groupes qui bâtissent le futur de l’éducation.

Coorpacademy est référencée dans le groupe « Open Online » à l’étape « Apprendre » du cycle d’apprentissage. Une étape où « les anciennes et les nouvelles méthodes d’apprentissages se rejoignent pour répondre aux besoins toujours plus pointus des apprenants tout en changeant les priorités sur le lieu de travail. »

 

Mapping Coorpacademy Navitas Ventures

Nous sommes fiers de cette nouvelle reconnaissance !

Vous pouvez télécharger le rapport complet ici.

Si vous souhaitez découvrir d’autres reconnaissances pour Coorpacademy, c’est ici : Learning Experience de Coorpacademy : ils en récemment parlé… 6 faits marquants à la loupe !

Journée Internationale des Droits des Femmes : formez-vous !

 

En ce 8 mars 2019, à l’occasion de la Journée Internationale des Droits des Femmes, nous vous avons sélectionné 3 cours à découvrir (ou redécouvrir) pour que cette journée se traduise en actions concrètes pour chacun d’entre-nous.

Les biais cognitifs – Anne Mikolajczak & Luc de Brabandere.

Selon les chercheurs de Yale qui ont mené l’étude, pour un poste de manager de laboratoire et à CVs équivalents, un homme a plus de chances d’être reçu en entretien qu’une femme. Pourquoi ? À cause des biais cognitifs de genre, des raccourcis effectués par le cerveau, qui a plus l’habitude d’associer des hommes à de hautes fonctions. Pour mieux comprendre ces biais, et donc pour s’en prémunir, à l’occasion de la Journée Internationale des Droits des Femmes ce 8 mars, découvrez notre cours co-édité par Anne Mikolajczak & Luc de Brabandere. Mieux les comprendre, c’est mieux les éviter.

Les biais cognitfis : pièges de la pensée

Les émotions au travail – aufeminin

La femme est un leader comme les autres. Mais alors pourquoi des études montrent qu’un homme en colère au travail sera mieux perçu qu’une femme, soupçonnée de ne pas savoir gérer certaines situations professionnelles ? À l’heure où l’intelligence émotionnelle est tout aussi importante que le quotient intellectuel dans le monde du travail, les émotions sont une force à cultiver et peuvent devenir un atout pour votre carrière ! Apprenez-en plus avec cette vidéo de 2 minutes sur l’intelligence émotionnelle issue de notre cours « S’affirmer au féminin » co-édité avec aufemenin.

Parentalité et vie professionnelle – Management

Comment concilier travail et vie parentale ? Partagé par la majorité des salariés, le manque de temps est encore plus prononcé pour les salariés ayant des enfants, et notamment les femmes. Il existe cependant des solutions organisationnelles, managériales ou pécuniaires que les entreprises peuvent mettre en place pour aider ces parents à mieux concilier vie personnelle et professionnelle. Découvrez ces solutions dans cette vidéo co-éditée par Management issue de notre cours « Équilibre vie personnelle et vie professionnelle. »

 

La Face B de… Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy, sur BFM Business

 

BFM Business s’intéresse à la face B des chefs d’entreprises ou des entrepreneurs. Ceux qui font bouger les lignes. Qui sont-ils ? Qu’est-ce qui les inspire ? D’où vient cette envie de changer les choses ?

Mardi 26 février 2019, Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy et ancien directeur général de Google France, était l’invité After Business et interviewé présenté par Stéphanie Coleau, sur BFM Business.

Stéphanie Coleau : « Chaque soir, dans After Business, nous découvrons la Face B d’un chef d’entreprise, qu’est-ce qui lui donne envie d’entreprendre, qu’est-ce qui l’inspire et lui donne envie de changer les choses. Ce soir, je reçois Jean-Marc Tassetto, bonsoir !

Jean-Marc Tassetto : « Bonsoir. »

Stéphanie Coleau : « Alors vous êtes l’ancien patron de SFR, plus récemment de Google en France, et vous avez décidé il y a quelques années de cela de tout quitter pour créer votre propre startup qui s’appelle Coorpacademy, une startup de formation en ligne. Pourquoi ce changement ? C’est rare, un grand patron qui quitte tout pour une petite structure… »

Jean-Marc Tassetto : « Alors, tout quitter pour une petite structure mais pour un grand projet. Le grand projet, c’est la transformation de l’éducation ; en l’occurrence de la formation continue, de l’apprentissage, et c’est au fond participer à la révolution des compétences. Cette 4ème révolution industrielle qui transforme toutes les organisations, comme ici avec ce magnifique studio totalement numérisé et digitalisé par exemple,  impacte toutes les organisations mais aussi tous les individus qui ont à faire face à ces nouveaux enjeux, à cette nouvelle révolution des compétences. Donc j’ai eu envie avec mes deux associés, Arnauld Mitre et Frédérick Bénichou, de lancer un projet de plateforme digitale de formation. »

Stéphanie Coleau : « Mais comment on décide de quitter Google par exemple ? Qu’est-ce qu’il se passe dans votre tête à ce moment-là ? »

Jean-Marc Tassetto : « Beaucoup d’inconscience, beaucoup d’envie, des rencontres comme toujours et puis ce sentiment que, au fond, tout est congruent, tout converge. Le fils d’institutrice que je suis, l’ancien professeur, le manager confronté à des enjeux de médiocres compétences face à la compréhension de ce qu’il est en train de se passer, une rencontre en Californie avec un professeur de Stanford, Peter Norvig, qui me dit : « je viens de donner un cours à 165 000 étudiants, » donc la découverte des plateformes de formation massives en ligne, et des échanges avec Arnauld et Frédérick sur ce qu’on pourrait faire pour impacter, transformer la formation continue et l’apprentissage. C’est un peu tout au même moment, et ce sentiment qu’on a qui est : « il faut le faire. » Une pulsion. »

Stéphanie Coleau : « J’ai reçu il y a quelques jours Guillaume Poitrinal, l’ancien patron d’Unibail-Rodamco qui est parti pour créer Woodeum. Il m’a confié : « il y a un moment où je me suis dit que je n’apprends plus, que cela devient trop confortable, il n’y a plus de contradictions, il n’y a plus de défis. » C’est ce que vous avez ressenti ? »

Jean-Marc Tassetto : « Il y a effectivement cet appel de l’adrénaline, c’est-à-dire que dans les organisations, il y a un moment où on se dit qu’il y a trop de gens qui ont le pouvoir de dire non. Dans les grandes organisations, prendre une décision, ce sont souvent des cycles de 4 mois, 6 mois, il faut mettre beaucoup de personnes autour de la table. C’est un peu un tue-l’amour quand on a envie de bouger les lignes, d’être un intrapreneur ou un entrepreneur, et c’est vrai que quand on lance son projet, c’est l’adrénaline, voire même le premier jour, un petit mouvement de panique. Vous vous retrouvez chez vous face à votre ordinateur, le Powerpoint, le smartphone, et là, tout commence ! »

Stéphanie Coleau : « Comment s’est passée cette première journée ? »

Jean-Marc Tassetto : « Une panique. Cela ne m’était jamais arrivé. J’avais plus de 50 ans, j’avais deux associés qui accompagnent, qui sont extrêmement enthousiastes sur le projet, nous sommes très complémentaires. Et bien malgré cela le premier jour vous êtes seul, le deuxième jour vous goûtez à la liberté, et le troisième jour l’adrénaline est là et rien ne vous fera jamais revenir en arrière car vous abordez un vrai projet, avec des gens que vous appréciez qui vous portent. Et là tout est parti ! »

Stéphanie Coleau : « Et vous êtes le seul maître à bord ? »

Jean-Marc Tassetto : « Alors, le seul maître, avec des associés, avec des collaborateurs, avec des banquiers, avec des clients. Mais oui, il y a ce sentiment d’être un entrepreneur, c’est-à-dire d’avoir un niveau d’autonomie probablement plus élevé que celui que j’avais dans les grands groupes. »

Stéphanie Coleau : « Qu’est-ce qui vous a donné envie de lancer Coorpacademy ? Vous êtes fils d’institutrice, c’est un retour aux sources finalement ? »

Jean-Marc Tassetto : « Ce n’est pas tellement un retour aux sources, c’est une projection dans le futur. Cette quatrième révolution industrielle transforme les organisations, il faut repenser la formation. Il faut tout réinventer. Il faut réinventer une pédagogie, il faut réinventer des outils, il faut réinventer une expérience intégrée entre des contenus et des plateformes, il faut massifier, il faut déployer très rapidement, donc non c’est plutôt une projection vers l’avenir, et la certitude que, face à l’incertitude, la formation reste un des facteurs clés de l’évolution personnelle, de l’épanouissement, de l’employabilité. Donc c’était plutôt la volonté d’avoir un projet impactant. »

Stéphanie Coleau : « Et c’est la rencontre avec un professeur de Stanford qui a déclenché cette envie ? »

Jean-Marc Tassetto : « C’est un facteur déclencheur qui m’a fait me dire que c’était possible. C’est surtout la rencontre avec Arnauld et Frédérick. Nous nous sommes vus dans un petit bureau en janvier 2013 en se disant : « est-ce qu’on saute le pas ? » Frédérick est un serial-entrepreneur du web, Arnauld travaillait avec moi chez Google, et nous nous sommes dit que si nous sautions le pas, c’était pour faire quelque chose d’ambitieux. Et ça aussi, c’est un peu la patine Google, les fameux Moon shots, les fameux Big Bets, les grands paris, si on fait des choses, autant que ce soient des choses ambitieuses, qui ont de l’impact. Puis on a décidé de partir ensemble ; et depuis 6 ans, je crois que nous ne le regrettons à aucun moment. »

Stéphanie Coleau : « Vous en êtes où aujourd’hui, Coorpacademy, qu’est-ce que cela représente aujourd’hui ? »

Jean-Marc Tassetto : « Coorpacademy, c’est plus de 800 000 apprenants, dont 40% hors Europe, c’est 71 collaborateurs, nous sommes très fiers de la qualité de notre équipe, de ces jeunes collaborateurs qui ont décidé de participer, très exigeants, qui veulent du sens à leurs projets professionnels, qui ont décidé de participer à l’aventure avec nous. C’est aussi plus de 40 partenaires éditeurs, plus de 1000 cours sur la plateforme, un leadership européen dans l’entreprise qui est notre terrain de jeu, et tout cela nourrit encore plus d’ambition pour l’avenir. »

Stéphanie Coleau : « Justement, votre ambition aujourd’hui ? Vous êtes passé par les grands groupes, vous avez créé votre propre structure, votre startup avec vos associés, qu’est-ce que vous souhaitez aujourd’hui ? Quelle est votre ambition ? »

Jean-Marc Tassetto : « Notre ambition, c’est d’asseoir un leadership européen. Il y a un grand mouvement aux États-Unis avec des grands acteurs comme LinkedIn Learning, ce n’est pas rien, c’est Microsoft. Jack Ma, en Chine, a dit qu’il quittait les opérations d’Alibaba pour se consacrer à – devinez-quoi – l’éducation. Nous nous disons qu’il y a quand même un enjeu géostratégique. Est-ce qu’il y existe des géants européens ? Nous aimerions bien être le géant européen de la formation en ligne pour les entreprises. »

Stéphanie Coleau : « Qu’est-ce qui vous plaît dans le fait d’être entrepreneur, c’est le fait d’être plus libre ? »

Jean-Marc Tassetto : « Je suis un homme de Marketing, j’ai appris mon métier chez Danone, et j’ai toujours voulu mettre le client, en l’occurrence l’apprenant, au cœur. J’ai aussi toujours adoré passer de la vision stratégique à l’exécution. Seulement réfléchir, ce n’est pas très intéressant. Là nous avons une vision que nous partageons, que nous nourrissons, du terrain, de nos contradictions, de nos complémentarités, et puis, jusqu’à l’exécution, et de voir que des clients signent avec notre plateforme, voir que des apprenants sont très engagés, vont jusqu’au bout des cours, ça c’est un plaisir fou ! »

Stéphanie Coleau : « Merci beaucoup Jean-Marc Tassetto ! »

Jean-Marc Tassetto : « Merci ! »

Coorpacademy dans le Top 5 des startups les plus prometteuses de Suisse !

 

Coorpacademy dans le Top 5 des startups de technologie les plus prometteuses de Suisse selon The Next Web !

TNW sélectionne les 5 startups les plus prometteuses des pays européens et d’Israël en fonction de leur performance, leur croissance et leur potentiel. Ces entreprises seront présentes à la Conférence TNW à Amsterdam le 9 mai 2019.

La Suisse est le « pays le plus innovant du monde » pour la 8ème année consécutive selon le Global Innovation Index et propose le 2ème meilleur écosystème de startups au monde selon le Global Entrepreneurship Index. Coorpacademy est fière de pouvoir se développer et prospérer dans ce cadre privilégié.

Selon The Next Web, Coorpacademy est « une des entreprises EdTech à la plus forte croissance en Europe. La plateforme permet aux entreprises de former leurs collaborateurs par le biais de cours en ligne fun et interactifs et d’un catalogue sur étagère. La startup est au coeur de la recherche dans les nouvelles manières d’apprendre et excelle à adapter les contenus de formation de ses clients aux nouvelles méthodes d’apprentissage. Depuis sa création, Coorpacademy a levé 14 Millions d’euros, propose ses services à plus de 150 entreprises et a signé des partenariats éditoriaux de contenu avec plus de 40 partenaires. Coorpacademy s’étend actuellement à l’international en attaquant le marché britannique et consolide sa présence en France et en Suisse. »

Découvrez l’article complet qui en parle (en anglais) sur le site de The Next Web. 

Voir l'étude de cas