Vous avez des collaborateurs en chômage partiel ? Découvrez le dispositif exceptionnel FNE Formation. En savoir plus

Les voyages à l’étranger forment les soft skills

 

Le mois d’août s’achève et avec, le goût des vacances. Ce mois-ci, nous vous avons exposé les vertus formatrices du voyage. Dans cet article, c’est à un autre type de voyage – peut-être l’un des plus formateurs – auquel nous voulons faire référence. Que l’on soit étudiant ou salarié, il est souvent conseillé d’acquérir une expérience internationale. D’ailleurs, vous connaissez peut-être quelqu’un qui prépare l’année d’échange Erasmus de l’un de ses enfants ou encore, quelqu’un qui s’expatrie dans un pays au fuseau horaire décalé. Mais même quand il ne s’agit que d’une courte période, les voyages à l’étanger sont extrêmement utiles pour développer ses soft skills ! 

 

Mieux interagir avec ses collègues

Entre individus de cultures différentes, communiquer est parfois difficile. Dans le monde du travail, la culture d’entreprise diffère considérablement selon les pays, et si vous voulez réussir à nouer des relations, travailler dans différentes régions ou simplement rendre visite à une filiale ou un collègue à l’étranger, il est essentiel d’être à l’aise avec les différences culturelles !

En voyageant à l’étranger, vous vous confrontez à l’inconnu, au sens propre comme au sens figuré. Vous découvrez les comportements d’une société différente de celle que vous connaissez, et vous êtes témoins des coutumes qui la régissent. Pour interagir de façon fluide avec les habitants de ce pays, en évitant les quiproquos, vous identifiez alors l’attitude, le vocabulaire et l’approche de communication les plus adaptés à votre interlocuteur. C’est ainsi que, dès votre retour de voyage, vous êtes prêts pour échanger avec des personnes d’horizons culturels différents.

Pour aller plus loin : La communication interculturelle

 

Entraîner sa mémoire

Partir en voyage demande beaucoup d’organisation, et nous partons souvent avec plusieurs choses en tête. Billets de train, check ; nuit d’hôtel réservée, check ; savoir dire merci en italien, check ; autant d’informations qui mettent notre mémoire à contribution, surtout quand on se retrouve devant le serveur et qu’on finit par bafouiller un timide “grazie”.

Ainsi, en voyage, nous stimulons une partie spécifique de notre cerveau : le lobe préfrontal et plus particulièrement l’hippocampe, cette partie du cortex qui permet de passer d’une mémoire à court terme à la mémoire à long terme. L’hippocampe reçoit l’ensemble des informations décodées dans les différentes aires sensorielles du cortex, pour les renvoyer d’où elles viennent. Un sorte de centre de tri qui comparerait des sensations nouvelles avec celles déjà enregistrées. L’hippocampe renforce les liens entre les différentes caractéristiques d’une chose, et à force de répéter les liens entre ces nouveaux éléments, le cortex aura appris à lier lui-même les différentes caractéristiques pour en faire ce qu’on appelle un souvenir.

Ainsi, lorsque vous êtes en voyage à l’étranger, votre hippocampe est fortement stimulé, ce qui améliore vos capacités à mémoriser des informations sur le long terme ! 

Pour aller plus loin : Boostez votre mémoire  

 

Améliorer son anglais 

Well, l’anglais est toujours la langue internationale la plus parlée au monde, avec 1,348 milliard de locuteurs, que ce soit leur langue maternelle ou secondaire. La maîtrise de l’anglais est essentielle pour la réussite professionnelle et pour interagir dans des milieux multiculturels. Pourtant, la France se classe 28ème sur les 100 pays étudiés dans la dernière édition de l’English Proficiency Index publié par Education First

Partir à l’étranger, c’est pratiquer son anglais – sauf si vous êtes un as des langues et que vous maîtrisez la langue nationale du pays où vous partez – et améliorer son élocution.  Prendre la parole dans une langue étrangère n’est pas toujours facile. Cela peut être stressant et impacter la façon de délivrer une information, de décrire une situation ou d’exprimer un sentiment. De fait, le voyage permet de se confronter à ce défi et de s’habituer à parler une langue qu’on ne pratique pas assez souvent. 

Pour aller plus loin : Animer des réunions en anglais

Apprendre en voyageant (Jeu Concours #ShowUsWhereYouLearn)

 

Trouvant ses origines du latin classique commeatus, et en particulier de commeo qui désigne l’action de circuler, le mot “congé” est dérivé de l’infinitif commeare qui s’apparente aux verbes «voyager, partir». Mais globalement, les vacances sont aussi l’occasion de prendre du temps. 

 

D’appuyer sur pause ⏸

 

*inspirez*

*expirez*

 

On reprend ? ▶️

 

Les départs en vacances sont souvent propices à l’attente : on prend le train, on fait des longs trajets en voiture ou on patiente dans un hall d’aéroport et on répond à l’incontournable « Quand est-ce qu’on arrive ? ».  Or, les situations où nous patientons sont l’occasion idéale pour apprendre – surtout en s’amusant – tout comme le voyage est propice à la découverte et à l’apprentissage. D’ailleurs, le meilleur exemple pour illustrer cette similitude, c’est le cahier de vacances, souvenir qui ne nous rend pas si nostalgique que ça.

 

Apprendre, découvrir de nouveaux concepts, s’imprégner de nouveaux sujets, s’adapter à un mode d’apprentissage, retenir les informations essentielles. Voyager, découvrir de nouvelles cultures, s’imprégner de nouvelles coutumes, s’adapter à un autre rythme de vie, retenir les informations essentielles. 

 

Finalement, apprendre, c’est voyager. 

On vous l’accorde, ce rapprochement est plutôt facile et optimiste. Mais quand on y réfléchit, ces deux notions ne sont pas si éloignées. Être en mouvement favorise la rétention d’information, car cela permet de stimuler la plupart de nos sens et différentes régions de notre cerveau. De plus, le voyage, c’est se confronter à l’inconnu, sortir de sa zone de confort. D’après les réflexions du philosophe Montaigne concernant le rapport aux voyages, relaté par Thibaut de Saint-Meurice sur France inter le 24 mai 2021, “la beauté du voyage, c’est de partir à la découverte de ce que l’on ne connaît pas encore. Le voyage est formateur, car il dépayse au sens strict, parce qu’il décale, parce qu’il bouscule, parce qu’il renverse l’ordre habituel de notre perception des autres, de nous-mêmes et des paysages que l’on connaît”. 

 

Plus on apprend, plus on se confronte à ce qu’on ne connaît pas, et plus on progresse. 

 

Dans l’épisode “L’éducation au voyage” diffusé en juin 2019 dans “Être et savoir”, émission produite par Louise Tourret et disponible sur France Culture, le docteur en sciences de l’éducation et professeur de philosophie Thibault Vian relève la “dimension inhérente à l’éducation qui relève du voyage”. Selon le voyageur en grande itinérance, le voyage et l’éducation sont “comme frère et soeur”.

 

Emmanuelle Peyvel, maître de conférences en géographie à l’université de Brest (UBO), qui a dirigé l’ouvrage collectif L’éducation au voyage – Pratiques touristiques et circulations des savoirs (PUR / Presses universitaires de Rennes, 2019) explique le parallèle qui lie ces deux notions : “Le tourisme est éducation de multiples manières : il apprend à gérer une foule de situations, à régler des problèmes, à négocier, à se repérer, à faire équipe etc.

 

Ces situations, nous les rencontrons tant dans notre vie personnelle que professionnelle. En développant des compétences dites douces – soft skills – les apprenants acquièrent des clés essentielles pour progresser dans leur emploi, mais aussi en tant qu’humain. La particularité du voyage, c’est aussi ça : revenir grandi. 

 

Alors, si le voyage est formateur, la formation part en voyage avec vous, partout où vous en rencontrez le besoin, grâce à l’application mobile Coorpacademy.

 

Apprendre à portée de main

L’édition 2021 du Baromètre du numérique parue en juillet indique que le smartphone est devenu indispensable dans le quotidien des Français (84% des personnes âgées de douze ans et plus en utilisent un, +7 points en un an). L’utilisation accrue des téléphones portables et/ou de la tablette mobile témoigne d’une vraie évolution dans les usages, qui a favorisé une réflexion sur les nouveaux supports éducatifs. Aujourd’hui, alors que les modes de travail ont évolué, l’innovation technologique dans le milieu de la formation professionnelle permet de répondre aux nouvelles attentes des apprenants. Apprendre quand on en rencontre le besoin, au travail ou en déplacement

 

Dans sa réflexion sur la mobilité dans l’apprentissage, Chantal Charnet, Professeure à l’Université Paul Valéry et Directrice de l’ITIC (Institut des Technosciences de l’Information et de la Communication), explique : “l’usage du numérique a engendré une plus grande mobilité : on peut bouger et continuer à faire des choses” et c’est le même principe pour les sciences éducatives. 

 

Aujourd’hui, il est possible de se former de partout dans le monde et à n’importe quel moment grâce à l’usage du numérique, mais également grâce au développement de solutions de digital learning qui fournissent des contenus de cours premium, en accès direct sur n’importe quel support. Ainsi se former, apprendre, progresser devient une habitude quotidienne, et la formation un outil pour monter en compétence en continu. 

 

Show us where you learn

Parce qu’apprendre se fait aussi en voyageant, nous organisons le jeu concours “Show us where you learn!”. Le principe est simple : du 1er août au 15 septembre 2021, partagez-nous une photo de l’endroit où vous apprenez sur Instagram et faites nous voyager à travers votre apprentissage ! 

 

Pour participer et tenter de gagner un week-end pour deux personnes, il faudra suivre les étapes suivantes :

1 – Suivre @coorpacademy sur Instagram.

 

2 – Nous envoyer en message privé sur Instagram, une photo de la plateforme Coorpacademy, utilisée sur mobile ou tout autre support, de l’endroit où vous l’utilisez (la plateforme est accessible sur coorpacademy.com – le lien est dans la bio). Nous la relayerons sur le compte officiel Coorpacademy si elle respecte ces deux critères (plateforme et lieu) ; l’esthétique et l’originalité seront également prises en compte !

 

3 – Commenter la publication de l’annonce du concours, en utilisant la mention #mylearningspot et en taggant la personne avec qui vous aimeriez partir pour un super week-end à deux ! 

À la fin du concours, le 15 septembre, les photos gagnantes seront choisies par un jury et les gagnants avertis par messages privés. 

Retrouvez le règlement du concours en cliquant ici.

 

À l’issue du concours “Show us where you learn!”, 3 récompenses sont à gagner : 

🥇 Le premier prix est un week-end surprise pour deux d’une valeur de 230€, pour continuer à apprendre de partout !

 

🥈 Le deuxième prix est un Escape Game pour deux personnes, afin de diversifier les façons d’apprendre et de s’amuser !

 

🥉 Enfin, le troisième gagnant pourra faire comme Yann et Lya de la série de podcast Cybercafé et se former à l’histoire du Web grâce à une Google Home mini

 

Nous avons hâte de découvrir vos meilleurs spots pour apprendre, et de voyager à travers vos photos. En attendant, nous vous souhaitons bon voyage sur les plateformes Coorpacademy !

 

Le futur de la formation : retour sur la table ronde entre Coorpacademy, OpenClassrooms, Simbel et Brighteye Ventures

 

A la sortie de cette période de pandémie, le secteur de la formation a retenu des leçons essentielles. Salles de formation fermées, interdiction de se rassembler, confinement, télétravail rompant le lien entre les collaborateurs et motivation des salariés, les enjeux engendrés par cette crise ont été nombreux pour les fonctions RH. Comment ont-elles relevé le défi ? Quel futur pour le secteur de la formation ? Retour sur la table ronde entre les co-fondateurs et investisseurs des entreprises leader du secteur EdTech en France : Coorpacademy, OpenClassrooms, Simbel et Brighteye Ventures.

 

La formation face aux défis de la COVID19

 

Le webinar LearnEverywhere “La nécessité de se former en temps de crise” nous éclaire sur la manière dont certaines organisations ont dû s’adapter en un très court terme. Début 2020, le dispositif des formations présentielles a connu un vrai bouleversement. La crise soudaine a contraint les entreprises à réagir très rapidement pour gérer l’annulation des sessions présentielles prévues. L’un des premiers enjeux rencontrés était donc de gérer l’urgence immédiate en annulant et en communiquant sur ses changements inédits. Par conséquent, 97% des formations dans le secteur public ont été affectées par la crise, ainsi que 80% des formations présentielles françaises. (1)

 

La deuxième phase de réaction face à la crise, c’est la période d’adaptation. Une fois que l’urgence a été gérée sur le court terme, et que l’avenir de la crise est un peu mieux défini, les organisations revisitent le plan de formation et font des choix entre ce qu’il faut annuler pour de bon, ce qu’il faut reporter et ce qu’il faut convertir en distanciel, à travers le digital learning. Cette étape demande un lourd travail de re-design des supports de cours et un véritable accompagnement des animateurs sur la prise en main des outils technologiques. Ainsi, la crise marque une véritable révolution dans la formation, qui se digitalise à une vitesse exponentielle. D’ailleurs, 85,2 % des responsables de formation européens considèrent que la crise a accéléré la digitalisation des formations. (1)

 

Paradoxalement, en temps de crise, la formation devient encore plus indispensable. Surtout lorsque la crise nous contraint à nous organiser différemment, à utiliser de nouveaux outils et qu’elle bouleverse nos modes de vie. Il faut alors accompagner les collaborateurs pour qu’ils s’approprient les nouveaux outils et en comprennent le fonctionnement, l’utilité, et l’enjeu. Ainsi, pour assurer la formation des équipes, certaines entreprises ont opté pour les classes virtuelles (73%), pour les plateformes LMS de l’entreprise (54%) et pour des plateformes digitales tierces de contenus sur étagère (28%). Parmi les sujets à couvrir, on retrouve la prise en main des outils grâce à l’acculturation au digital, des formations sur comment travailler à distance, mais aussi comment manager à distance, et enfin, des formations plus tournées vers le bien-être des collaborateurs, essentielles dans cette période difficile.

Sans surprise, la pandémie a causé une rupture encore jamais inégalée dans l’ensemble du secteur de la formation professionnelle, bouleversant nos habitudes, pour nous donner l’occasion de tout reconstruire.

 

Le futur de la formation en ligne

Mais alors que le mot reprise est sur toutes les communications, quel futur voulons-nous façonner pour la formation, qui est cruciale pour le bon fonctionnement des entreprises ? 

 

La crise aura eu plusieurs impacts positifs pour le secteur de la EdTech. En contraignant les entreprises à opérer en distanciel, elles ont été contraintes d’investir le digital learning et finalement de l’adopter. Suite à la crise, les formations en ligne ont pu faire leurs preuves, et les responsables de formation ont pu tester et découvrir l’outil, alors qu’ils ne l’auraient peut-être pas fait auparavant. Dû à l’annulation des sessions présentielles, le budget qui était préalablement destiné à cet effet a pu être redistribué pour financer la transformation numérique. Le futur de la formation est donc bel et bien digital, ou tout du moins hybride, pour conserver des sessions en présentielles lorsque le sujet s’y prête, ou pour diversifier les formats. Ainsi, après la crise, 73,8% des entreprises vont augmenter la part de la formation en ligne dans les offres de formation. (1)

 

Une autre conclusion de cette crise est celle de la nécessité de diversifier les formats. Pour engager les apprenants dans leur apprentissage, il est crucial d’innover et de proposer différentes manières d’apprendre, à travers divers supports. Par exemple, chez Coorpacademy, nous accordons une grande importance à l’innovation pédagogique. De ce fait, nous avons élaboré de nombreux formats comme des Escape Game, de l’audiolearning ou d’autres formats inspirés de jeux comme Trivial Pursuit. Diversifier les formats est une clé pour que la formation devienne un pilier de votre entreprise, car cela permet d’engager mais surtout, de favoriser la rétention d’informations. C’est pourquoi après la crise, 58,5 % des entreprises affichent leur volonté d’innover dans les formats de formation. (1)

 

Finalement, ce qui va définir le futur du secteur de la formation, c’est aussi l’évolution du marché du travail qui demandera une évolution dans les compétences. Le World Economic Forum en parle déjà, en 2025, le marché de l’emploi aura connu deux grands bouleversements : des pertes d’emplois liées à l’automatisation accrue et des répercussions économiques entraînées par la pandémie de la COVID19.

 

Ces deux bouleversements combinés pourraient provoquer un déplacement d’environ 85 millions d’emplois. Ainsi, le World Economic Forum dresse les 10 compétences clés à acquérir pour faire face à cette profonde perturbation. Ces compétences, à majorité des soft skills (compétences comportementales), constituent le futur de l’emploi, mais aussi le futur de la formation. Parmi ces compétences, nous retrouvons la résilience, l’agilité, le leadership, la créativité, etc. Il est donc décisif pour les acteurs du digital learning, mais aussi pour les fonctions RH en charge de la formation, de tout mettre en œuvre pour accompagner les collaborateurs à développer les compétences du monde de demain.

En conclusion, l’avenir de la formation sera digital et varié. Entre l’hybridation de la formation, proposant des sessions en présentiel combiné d’une plateforme digitale de formation, et la nécessité de diversifier les formats, la formation est à l’aube de sa métamorphose. C’est à nous, acteurs de la EdTech, responsables de formation, et collaborateurs, d’accompagner ces changements, de les intégrer et de définir la meilleure stratégie possible pour avancer sereinement ensemble, en apprenant en continu pour garantir l’employabilité de tous !

 

Sources 

(1) Étude Talentsoft – L’impact du COVID-19 sur les Départements Formation

Learn Everywhere #6 : La nécessité de se former en temps de crise
SNCF x Coorpacademy : L’essor du digital learning 

Blog Coorpacademy – Les 10 compétences clés à développer d’ici à 2025

 

Jeu concours « Show us where you learn » – Pour apprendre en continu pendant l’été, avec Coorpacademy !

Et si l’été était la période la plus propice pour apprendre et se former ? Ralentissement de l’activité, vacances et atmosphère plus détendue, le mois d’août est une occasion d’enrichir ses compétences, en totale mobilité. 

L’apprentissage à distance a toujours profité des technologies pour se développer. Les pratiques éducatives ont évolué en un temps record, s’adaptant aux usages des apprenants. Chez Coorpacademy, notre mission est d’accompagner les collaborateurs dans leur apprentissage en continu, dans l’objectif de favoriser leur employabilité. Ainsi, notre catalogue de contenus premium est disponible partout, tout le temps, notamment grâce à l’application mobile Coorpacademy !

 

Cet été, Coorpacademy organise un jeu concours Instagram pour vous faire découvrir le plaisir et la liberté d’apprendre de partout dans le monde !

 

Montrez-nous où vous apprenez

Engager les apprenants dans la formation, c’est avant tout les rendre actifs dans leur apprentissage. Cette philosophie est un fondement de notre pédagogie. Rendre un catalogue de contenus premium disponible de n’importe où, à n’importe quel moment, sur tous les supports, pour qu’apprendre soit un réflexe au quotidien. 

Cet été, tentez de gagner un weekend pour deux personnes d’une valeur de 230€, ainsi que d’autres gains, en prenant 5 minutes pour vous former sur votre plateforme Coorpacademy !

Mais alors, en quoi consiste ce jeu-concours Instagram et comment y participer ? 

Le jeu concours “Show us where you learn!” se tiendra sur le compte Instagram de Coorpacademy. Dans l’objectif de démocratiser l’usage de l’application mobile et favoriser la continuité de votre apprentissage, nous vous invitons à nous partager une photo de l’endroit où vous apprenez cet été ! 

 

Pour participer et tenter de gagner un week-end pour deux personnes, suivez les étapes suivantes :

1 – Suivre @coorpacademy sur Instagram.

2 – Nous envoyer en message privé sur Instagram, une photo de la plateforme Coorpacademy, utilisée sur mobile ou tout autres supports, de l’endroit où vous l’utilisez (la plateforme est accessible sur coorpacademy.com – le lien est dans la bio). Nous la relayerons sur le compte officiel Coorpacademy si elle respecte ces deux critères (plateforme et lieu) ; l’esthétique et l’originalité seront également prises en compte !

3 – Commenter la publication de l’annonce du concours, en utilisant la mention #mylearningspot et en taggant la personne avec qui vous aimeriez partir pour un super week-end à deux ! 

À la fin du concours, le 15 septembre, les photos gagnantes seront choisies par un jury et les gagnants avertis par messages privés. 

Retrouvez le règlement du concours en cliquant ici.

Et qu’est-ce que je peux gagner en participant ? 

Chez Coorpacademy, on aime la compétition et les récompenses ! Avec les battles entre apprenants et les étoiles à accumuler pour augmenter dans le classement de la plateforme, nous rendons l’apprenant actif et partie intégrante de la formation. Il peut se fixer des objectifs personnels, au-delà des objectifs pédagogiques communiqués par les fonctions RH. 

 

À l’issue du concours “Show us where you learn!”, 3 récompenses sont à gagner : 

🥇 Le premier prix est un week-end surprise pour deux d’une valeur de 230€, pour continuer à apprendre de partout !

🥈 Le deuxième prix est un Escape Game pour deux personnes, afin de diversifier les façons d’apprendre et de s’amuser !

🥉 Enfin, le troisième gagnant pourra faire comme Yann et Lya de la série de podcast Cybercafé et se former à l’histoire du Web grâce à une Google Home mini

 

La date finale du concours : 15 Septembre 2021. Ce concours n’est en aucun cas sponsorisé par Instagram ou par Google. En participant, vous confirmez que vous avez plus de 18 ans.

Besoin d’inspiration ? 

Pour stimuler votre créativité, n’hésitez pas à consulter les participations au concours « Show us where you learn » de l’année 2018 !

 

En a-t-on assez de la résilience ?

 

C’est le timing parfait. Suite à la crise, on ne parle plus que du concept de résilience, et plus particulièrement dans la culture des entreprises. Introduit par Boris Cyrulnik, la résilience est le concept selon lequel il est possible de surmonter un événement traumatique, de tirer une force de ses malheurs, et de “naviguer à travers les torrents” (Boris C). Souffrir et panser ses blessures, pour cicatriser plus rapidement. Voici une analogie adéquate pour qualifier la résilience, qui nous rappelle aussi le contexte actuel de reprise, compromis par une pénurie de main-d’œuvre. 

En effet, dans un précèdent article, nous qualifions la pénurie de main d’œuvre d’opportunité. Une opportunité de miser sur la formation, pour surmonter cette problématique à laquelle les entreprises font face. Tirer une force de ses malheurs, voir le verre à moitié plein, il existe mille et une façons de décrire la résilience. Ce terme, qui au fond concerne l’épanouissement personnel, fait parfois débat. Ne serait-ce pas trop beau pour être vrai ? Peut-on vraiment faire abstraction des difficultés, du traumatisme, pour aller de l’avant ? Serait-ce une disposition innée ou peut-on initier la résilience au sein d’un groupe ? Dans cet article, décryptage sur ce phénomène pour enfin répondre à la question : En a-t-on assez de la résilience ?

 

Un terme qui fait débat

Faire des difficultés une force paraît être une notion admirable. C’est vrai que, sur le papier, nous aimerions tous et toutes être capable de résilience, tant au niveau de notre vie personnelle que professionnelle. Réaliste, mais optimiste, la résilience c’est la perspective d’un avenir meilleur, sans pour autant nier la réalité et la dureté des aléas de la vie. Pourtant, certains critiquent cette notion, qu’ils jugent infondée, voire futile. Dans “Carnet de Philo”, Géraldine Mosna-Savoye, productrice de l’émission et conférencière, décrypte le phénomène et affirme “Tout le monde déteste la résilience” (i.e Titre de l’épisode du 25/02/2021). Selon Mosna-Savoye, les critiques se forment sur le postulat suivant : la résilience, c’est un cadeau empoisonné mais bien emballé qui nous dit “débrouillez-vous, faites preuve de résilience, misez sur votre capacité à rebondir tout seul et vous verrez, tout ira bien, vous parviendrez bien à surmonter toutes les épreuves du monde”. Et c’est vrai que dit comme ça, c’est un peu trop facile. La résilience est une notion à la mode, qu’il “suffit de placer pour se donner une contenance morale, empathique et solidaire, et tant pis si les faits, les actes politiques ou éthiques, ne suivent pas” selon Mosna-Savoye. Alors, la conférencière, elle, opte pour l’espoir, qui serait “la joie, même inconstante » opposée à “la certitude niaise et fadasse de toujours s’en sortir” que serait la résilience. Mais le dilemme est-il si manichéen entre ces deux notions ?

 

La joie d’avoir la certitude de toujours s’en sortir

Si espoir et résilience ne vont pas de pair, alors évidemment, la notion de résilience ne peut être concrètement applicable. Opposer ces deux notions revient à nier la finalité du phénomène de résilience : tendre vers une situation meilleure. Certes, quand on parle de résilience, on aura tendance à se focaliser sur la réaction face à la crise, car c’est ici que tout se joue. Mais sur la durée, la résilience nous permet d’œuvrer vers un futur meilleur, un objectif vers lequel se diriger, tout en s’épanouissant. L’espoir lui, repose sur l’attente d’une situation meilleure à celle existante. Attendre, ce n’est pas agir. Et c’est bien là qu’espoir et résilience sont finalement indissociables. La résilience, qui incite à l’action, ne peut être effective que si l’on cultive l’espoir, qui donne aux individus la passion nécessaire pour croire à un avenir meilleur, et tout faire pour y parvenir.

 

Apprendre à vivre avec l’incertitude, ou simplement à anticiper

Être résilient, faire preuve de résistance, de ténacité, être capable d’absorber les chocs, rebondir, etc. Il faut le reconnaître, le champ lexical de la résilience se focalise majoritairement sur l’acceptation du traumatisme et l’endurance, que sur l’épanouissement qui est censé en découler. Ce que nous dit la résilience, c’est que pour conjuguer avec l’adversité et surmonter les crises, accepter la situation est un premier pas vers l’action. C’est “se retrousser les manches” ; “ne jamais baisser les bras” ; “se dépasser”. Dès lors, accepter l’incertitude, vivre avec l’imprévu, permet d’en minimiser les conséquences, pour ne pas finir paralysé, incapable de prendre une décision. 

Pour que la résilience soit constante et pas seulement une réponse à chaque traumatisme rencontré, l’anticipation est clé. Certaines villes, comme Londres, ont ainsi initié des programmes de résilience préventifs. Avec son site London Resilience Partnership, la capitale anglo-saxonne diffuse des conseils pour visiter la ville en toute sécurité. Elle propose par exemple une section qui “identifie les risques potentiels pour la capitale et l’impact que ces urgences peuvent avoir sur les Londoniens”.

 

La positive attitude

Développer sa résilience, c’est peut-être simplement changer d’angle de vue, ouvrir nos interprétations, et modifier notre perspective d’une situation. En tant qu’individu, ou en tant qu’organisation, nous pouvons choisir d’appréhender plus ou moins positivement une situation donnée. Nous avons le choix, face à un événement traumatique, une crise, de l’interpréter comme une catastrophe insurmontable ou comme une opportunité d’amélioration, tel un niveau difficile qu’on répétera en boucle dans un jeu vidéo, jusqu’à passer au niveau supérieur. La pensée positive est un pilier de la résilience, être capable de positiver une crise passée nous aide à affronter une crise actuelle, tout en relativisant son caractère catastrophique. Faire preuve de résilience, c’est saisir l’occasion d’apprendre dans chaque situation, dans les bonnes, mais surtout dans les mauvaises. Cette notion, c’est finalement un état d’esprit qui se cultive, s’apprend et se transmet.  

 

Les pièges de la résilience 

Le risque de la résilience serait de penser que tout échec est synonyme de traumatisme. En France, nous avons souvent tendance à redouter l’échec, l’assimilant à la personne qui échoue. Notre perception de cette notion est particulièrement négative, et nous considérons à tort qu’échouer est synonyme d’incapacité. Dans son article LinkedIn “La culture de l’échec n’est qu’une question de perception”, Clara Kindt décrit l’échec comme “une profonde déception face à des attentes insatisfaites” et propose de changer notre perception de ce phénomène. “Lorsqu’on ne sait pas, on apprend et ensuite seulement on sait. Finalement il n’y a que les gens qui ne tentent pas qui n’échouent pas.” résume-t-elle. En développant sa résilience, on apprend aussi à échouer et à développer une “culture de l’échec”, inspirée des mentalités anglo-saxonne, scandinave ou latino-américaine par exemple, qui prônent le fait d’assumer les erreurs et les imperfections. L’enjeu n’est pas de valoriser l’échec, mais bel et bien de le relativiser, pour en tirer les bonnes conclusions qui guideront nos actions futures. 

Une autre critique souvent formulée autour de la notion de résilience est la suivante : elle valoriserait la souffrance des uns, comme une sorte de compétition à qui rebondira le plus haut, le plus vite ou encore le plus habilement possible. Pourtant, nous traversons toutes et tous des obstacles et sommes, tant au niveau personnel que professionnel, tous confrontés à des difficultés. Le but de la résilience n’est donc pas de déterminer qui souffre le plus, ni qui sera le plus résistant. C’est avant tout une philosophie qui, en entreprise, se traduit par une culture qui prône le droit à l’erreur, la capacité de conjuguer avec l’adversité et qui stimule l’espoir des collaborateurs. 

 

Mais sommes-nous tous capables de rebondir ?

Prenons l’exemple de deux balles : l’une rebondit, l’autre pas. L’une est rebondissante, l’autre est constituée d’un matériau qui ne lui permet pas de rebondir. Finalement, c’est un peu la même chose pour les individus. Inné pour certains, d’autres auront plus de mal à encaisser les chocs. Néanmoins, et c’est ce qui nous différencie des deux balles citées précédemment, il est possible de travailler sa capacité à rebondir, car la résilience s’apprend et s’entretient. De nombreux facteurs peuvent favoriser, ou non, le développement de cette notion. Par exemple, l’environnement qui nous entoure peut renforcer ou diminuer notre force de résilience. Notre entourage joue un rôle crucial dans la perception que nous aurons d’une situation donnée. En entreprise, même constat. L’environnement dans lequel les équipes évoluent ainsi que les interactions entre collaborateurs sont déterminants pour développer la résilience collective des équipes, qui permettra à l’entreprise d’avancer à travers les difficultés. La recette de la résilience en entreprise est donc composée d’un ingrédient principal : les soft skills (compétences douces). Faire preuve d’écoute, laisser de la place aux émotions, se mettre à la place des autres, travailler avec autonomie, etc. Le manager joue un rôle central pour favoriser la résilience de ses équipes. 

 

En conclusion, la résilience individuelle est une force incroyable. Sans pour autant faire de miracle, être résilient permet de tendre vers une situation meilleure, ou en tout cas, elle permet une amélioration suffisante pour avancer sereinement, et pour trouver du plaisir dans son travail. Toutefois, cette compétence douce est avant tout un état d’esprit, à l’inverse d’un outil que l’on peut utiliser ponctuellement, la résilience se nourrit de nos expériences et de la manière dont nous interprétons les situations auxquelles nous faisons face. Dans « Autobiographie d’un épouvantail », Boris Cyrulnik écrit : « ceux qui mettent longtemps à se remettre du trauma ou ne s’en remettent jamais sont ceux qui ont été abandonnés par le groupe ». La résilience est aussi contagieuse. Un groupe résilient n’est pas uniquement composé d’individus parés à toute épreuve et ultra-résistants. En revanche, suite à une crise, la cohésion de groupe renforce la résilience, car aussi banal que cela puisse paraître, l’union fait la force. 

La résilience individuelle est un outil d’épanouissement des collaborateurs, mais la résilience organisationnelle est une des conditions indispensables pour avancer collectivement dans un monde incertain.  

Pour passer de la résilience individuelle à la résilience organisationnelle, découvrez le cours éponyme co-édité avec Management Magazine.

Pourquoi votre solution de formation en ligne doit-elle impérativement s’intégrer à votre LMS ?

En technologies de l’information et de la communication, un learning management system (LMS) ou learning support system (LSS) est un logiciel qui permet de gérer et centraliser les parcours de formation pour l’ensemble des collaborateurs.

Ces systèmes de gestion de l’apprentissage permettent aux entreprises de gérer, fournir et évaluer leur programme de formation en ligne. Ainsi, grâce à un LMS, il est possible de concevoir, de développer et de mettre à disposition des collaborateurs, des cours directement accessibles sur le logiciel. Les cours peuvent être à distance, c’est-à-dire qu’ils ne sont pas nécessairement en ligne mais sont accessibles de manière désynchronisée, les apprenants peuvent obtenir les cours au moment où ils le désirent, et ce, par e-mail, courrier ou via un autre support. La formation peut aussi prendre la forme d’un e-learning, qui signifie réaliser une formation, un cours ou un apprentissage à travers une plateforme numérique, via un ordinateur connecté à Internet.

 

Les LMS ont l’avantage d’être des outils centraux dans l’entreprise et sont donc souvent utilisés par tout le groupe. Ils sont complets, mais pas spécialisés en digital learning … contrairement à nous.

 

Dès lors qu’une organisation investit dans la formation et met à disposition de ses collaborateurs des systèmes indépendants de formation autour d’un LMS, les apprenants ont accès à une diversité de contenus, à travers différents supports. Néanmoins, intégrer ces contenus de cours à une même plateforme améliorerait l’expérience d’apprentissage des collaborateurs et faciliterait l’accès à la formation.

 

Mais alors, qu’est que l’intégration à un LMS et pourquoi c’est  utile pour engager les apprenants dans la formation ?

Pour rendre l’apprentissage toujours plus fluide, accessible et continu, il est possible d’intégrer des plateformes de formation en ligne – aussi appelées LXP (Learning Experience Platform) – à un système de gestion de l’apprentissage, tels que les LMS. Ainsi, l’intégration à un LMS consiste à fusionner le  système de gestion de l’apprentissage et les applications de formation en ligne déjà utilisées dans l’entreprise.

 

Aujourd’hui, le secteur de la formation est confronté à de nouveaux besoins. La digitalisation et les nouvelles organisations de travail façonnent de nouveaux usages. Pour y répondre, la formation doit s’intégrer dans les systèmes déjà existants à l’organisation. 

 

L’apprentissage à portée de clic

Dans nos environnements connectés, nous avons pris l’habitude de voir nos usages facilités, et les expériences utilisateurs toujours plus adaptées au comportement des usagers. Le premier avantage d’intégrer une solution de formation à son système de gestion de la formation, c’est avant tout la facilité d’accès. Grâce à l’authentification unique (single sign on – SSO), les apprenants peuvent se connecter et accéder à leur programme de formation sans avoir à utiliser des informations d’identification distinctes (noms d’utilisateur et mots de passe). Comme quand vous utilisez votre compte Facebook ou Google pour vous connecter à un site, l’authentification unique permet aux utilisateurs d’accéder, en un clic, au contenu de la plateforme ou du site en question. Pour la formation, permettre à ses apprenants d’accéder plus facilement et rapidement aux contenus de formation est un enjeu crucial pour les engager dans leur apprentissage. L’intégration de vos applications de digital learning à un LMS permet d’avoir une seule porte d’entrée, ce qui est plus facile à comprendre pour tout le monde

 

Une expérience améliorée pour tous les utilisateurs !

L’intégration aux LMS n’est pas uniquement bénéfique pour l’expérience utilisateur des apprenants. Elle améliore aussi considérablement l’utilisation et le suivi des solutions de formation pour les responsables de l’apprentissage dans les départements RH et Learning & Development (L&D). En effet, en intégrant directement une plateforme de formation en ligne au sein du LMS de votre organisation, les profils d’apprenants sont créés automatiquement,  le déploiement sur plusieurs filiales ou BU est ainsi simplifié. Les données d’activité des apprenants, commes les complétions de cours, remontent aussi automatiquement dans le LMS, ce qui facilite les reportings (cf. De meilleurs indicateurs de performance et de suivi ). L’intégration à un LMS promet un gain de temps considérable pour les équipes de formation. 

 

Intégrer pour engager

En facilitant l’accès à votre solution de formation en ligne grâce à son intégration dans votre système de gestion de l’apprentissage, vous permettez d’augmenter le trafic et le nombre de connexions.. Au-delà d’améliorer les résultats de vos indicateurs clés de performance, ces hausses  indiquent surtout que la formation est suivie, et appréciée de vos équipes ! Apprendre en continu, cela veut dire apprendre au quotidien et donc, apprendre sur le lieu de travail, in the flow of work. La montée en compétences peut être effective que si la formation est accessible partout, tout le temps, par le biais des intégrations. 

 

De meilleurs indicateurs de performance et de suivi 

Avec l’intégration, le suivi des performances de la plateforme est largement amélioré. Les rapports et évaluations sont générés automatiquement et accessibles directement sur votre LMS. Vous pouvez ainsi retrouver facilement et rapidement, toutes les mesures dont vous avez besoin pour suivre le progrès et l’engagement de vos apprenants dans leur apprentissage. Ces données sont essentielles pour améliorer votre solution de formation, et mieux répondre à vos besoins. L’intégration vous permet donc de retrouver en un clic également, toutes les données de formation dont vous avez besoin, tout ça sur la même plateforme. 

 

Une interface et une pédagogie pensée pour donner l’envie de se former

Améliorer l’expérience utilisateur ne réside pas seulement dans l’accessibilité. C’est aussi une question d’interface et donc, de design. Pour investir les apprenants dans leur formation, il faut intégrer une plateforme de formation en ligne répondant à leurs besoins mais aussi à leurs attentes. Cela est valable à la fois pour le design de la plateforme que pour la manière dont le cours est délivré. L’intégration à un LMS, c’est surtout pouvoir offrir aux apprenants une expérience utilisateur web digne de ce nom, pour rendre la formation plus agréable et renforcer les usages des plateformes d’apprentissage en ligne.

 

Au niveau de l’interface, notre plateforme de formation Coorpacademy s’inspire des codes du jeu vidéo : quiz, battles entre apprenants, quota de vies pour valider – ou non – un module de cours, etc. Les apprenants bénéficient d’une vraie expérience d’apprentissage ludique, digitale et qui les rend actifs dans leur formation. Parce que nous sommes persuadés que la formation doit s’adapter aux nouveaux usages, nous proposons également des contenus premium, élaborés à travers une pédagogie inversée : nous posons les questions à l’apprenant, avant de lui présenter la leçon. Et la leçon, sous forme de vidéo pour la plupart du temps – n’excède pas plus de 5 minutes, pour que les apprenants restent actifs pendant le cours. Nous inventons aussi des formats innovants comme l’Escape Game digital ou plus récemment, le podcast Cybercafé, qui répondent encore une fois aux usages du monde actuel. 

 

Qu’attendez-vous pour intégrer Coorpacademy à votre LMS ?

La formation se digitalise, non seulement dû aux précédents confinements, mais aussi parce que la transformation digitale des entreprises implique de maximiser l’utilisation d’outils numériques. Aujourd’hui, l’enjeu réside à faciliter encore plus les processus autour de la formation. Accessibilité, expérience utilisateur, suivi des performances, les plateformes de formation en ligne sont un formidable levier pour optimiser votre LMS et votre offre de formation globale. En intégrant Coorpacademy à votre LMS, donnez accès à vos apprenants à des cours co-édités avec des éditeurs de renom, et faites de la formation un moment divertissant, instructif et collaboratif !

Pénurie de main d’œuvre : la formation, outil crucial pour la reprise

Alors que la reprise économique se confirme, nous sommes déjà témoins des conséquences de la pandémie sur le marché de l’emploi. Face à la réouverture, de nombreuses entreprises sont confrontées à une pénurie de main d’œuvre qualifiée. Selon la Dares, Direction de l’Animation de la recherche, des Études et des Statistiques, bien que le marché de l’emploi soit reparti en flèche dès la sortie de la crise sanitaire, de nombreux postes restent vacants faute de candidats. Cette problématique soulève alors un enjeu de formation pour les organisations, si elles souhaitent participer à ce regain d’activité.

“L’an dernier, nous avons fourni 35.000 formations. On voudrait monter à 45.000 cette année pour aider la population active à trouver le bon emploi »

En réaction aux difficultés à trouver de la main d’œuvre, Frank Ribuot, Président de Randstad France, explique lors d’une interview BFM Business du 25 juin 2021, que les employeurs sont contraints de “recruter du personnel moins expérimenté ou issu d’un autre secteur”. La formation est un pilier essentiel pour surmonter cet obstacle à la reprise, car elle permettra de former efficacement une main d’œuvre certes moins qualifiée, mais prête à monter en compétences rapidement.

 

Selon Alain Griset, ministre chargé des petites et moyennes entreprises, «Les pénuries de main-d’œuvre étaient le sujet de préoccupation numéro 1 des entrepreneurs avant la crise – c’est désormais la pérennité de leur activité – et ce sujet revient fort avec la reprise de l’activité». Les PME seraient donc encore plus touchées par ces difficultés. Néanmoins, l’ensemble des secteurs connaissent des difficultés de recrutement, et plus particulièrement au sein des secteurs de la construction, des services à la personne comme la propreté ou l’aide aux personnes âgées, dans le numérique mais aussi dans certaines filières industrielles, selon François Asselin le président de la CPME, la Confédération des petites et moyennes entreprises. Ainsi, les métiers du BTP (charpentiers, couvreurs) et les métiers de la santé et de l’action sociale (médecins, aides à domicile, aides ménagères) sont les métiers majoritairement concernés par la pénurie, selon l’Enquête Pôle Emploi « Besoin en Main d’œuvre » 2021.

Partout dans le monde, le phénomène s’accentue. Début juin aux États-Unis, la Banque centrale américaine (Fed) alerte que les entreprises peinent à recruter suffisamment pour satisfaire la demande.

« Il est difficile pour de nombreuses entreprises d’embaucher de nouveaux travailleurs, en particulier des travailleurs à bas salaires horaires, des chauffeurs (…) et des commerciaux qualifiés. Le manque de candidats à l’emploi a empêché certaines entreprises d’augmenter leur production, les contraignant même parfois à réduire leurs heures d’ouverture »

Ainsi, les géants de la distribution dopent les bas salaires, mais misent aussi sur les avantages sociaux comme Walmart, qui décide de prendre en charge les frais de scolarité de l’ensemble de ses salariés – à plein temps ou temps partiel.

En Allemagne, même constat. Dans une étude de KfW Research qui analyse la pénurie actuelle de compétences et la manière dont elle pourrait évoluer jusqu’en 2040, Dr Fritzi Köhler-Geib, Économiste en chef de KfW Bankengruppe – une des quinze premières banques du pays – explique :

“L’économie allemande peut répondre à la pénurie de compétences et à la faiblesse de la productivité principalement par davantage d’investissements, d’innovation, de formation et de mesures de qualification. Notre économie a également besoin de ces ingrédients pour surmonter le plus rapidement possible la crise du coronavirus et ses conséquences. Nous avons donc besoin d’une initiative de croissance et d’investissement à long terme des secteurs public et privé pour les années à venir – non seulement en Allemagne mais aussi en Europe. Les principaux domaines d’action sont la résistance à la crise, l’action climatique et la croissance de la productivité par l’innovation et la numérisation.”

 

Et chez nos cousins Québécois, la pénurie de main-d’œuvre atteint des sommets. Selon Statistiques Canada, le nombre de postes vacants sur le territoire québécois a connu une augmentation de 18 500 (+14,4 %) par rapport à un an plus tôt. L’un des secteurs les plus touchés est celui du bâtiment. Un peu plus du tiers (33,8 %) des entreprises en construction ont affirmé avoir du mal à recruter et à garder en poste des employés qualifiés, selon l’Enquête canadienne sur la situation des entreprises. Ainsi, les entreprises du Québec continuent de s’adapter au contexte de la pandémie de COVID-19 et prévoient à l’avenir d’investir dans la formation en ligne de manière permanente, selon l’enquête Attentes des entreprises du Québec pour le second trimestre de 2021.

 

Comme nous pouvons le constater, l’enjeu de cette reprise réside dans la montée en compétences et la capacité d’adaptation des entreprises et des travailleurs. Le constat est clair, les talents disponibles se font globalement rares dans la plupart des secteurs. Mais cette période difficile peut aussi s’avérer être une opportunité. L’opportunité d’investir dans le développement des compétences, en continu, pour mieux appréhender cette problématique à l’avenir. La formation apparaît alors comme un remède à la pénurie de main-d’œuvre qualifiée, et peut également accompagner les diverses transformations des entreprises par la même occasion. Le défi consiste alors à planifier les besoins, à appréhender les enjeux et donc, à s’y préparer. C’est en identifiant au préalable les compétences cruciales à l’avenir que les entreprises pourront initier le changement, et faire face aux prochaines difficultés. C’est donc une vraie stratégie de formation que les organisations doivent mettre en place pour favoriser la reprise d’activité et surmonter la pénurie de main d’œuvre actuelle. Les ressources humaines doivent initier une vraie réflexion sur les talents disponibles et les talents requis, pour mettre en place des plans de formation stratégiques qui répondent aux nouveaux besoins : accessible à distance, formats innovants et variés, fonctionnalités pour engager les apprenants et retenir leur attention, etc.

 

La pénurie de main-d’œuvre n’est pas synonyme de pénurie de travailleurs. Les salariés sont toutes et tous capables de monter en compétences, d’apprendre, et d’évoluer. Ce à quoi nous assistons réellement, c’est finalement une pénurie de compétences qualifiées, au sein du vivier de travailleurs potentiels. Certes, certains nous diront que c’est une façon optimiste de concevoir cette problématique. Mais nous sommes persuadés que c’est en croyant au potentiel des travailleurs et que c’est en mettant à leur disposition les outils de la réussite, que les entreprises pourront surmonter toutes les épreuves actuelles et à venir.

Le management comme pilier de la transformation culturelle des entreprises

Suite à une année de confinement, la culture des organisations connaît un profond changement. La pandémie a modifié nos habitudes et nos comportements, au-delà de la sphère personnelle. Pour assurer la reprise, les entreprises sont résilientes et se préparent pour faire face aux transformations qu’elles traversent. Les nouvelles méthodes de travail, de gestion de management impliquent elles aussi, un changement en profondeur de la culture d’entreprise et cette transformation est primordiale pour accompagner les autres transformations à venir.

 

Les recherches Google autour de la Marque employeur ont doublé en trois ans, et 77% des adultes de quatres pays (USA, Royaume-Uni, France et Allemagne) disent se renseigner d’abord sur la culture d’une entreprise avant d’y postuler selon le sondage Mission et culture 2019 de Glassdoor

 

La culture d’une entreprise est aujourd’hui un facteur indissociable du bien-être des employés. Cette tendance ne fait que s’accentuer à mesure que les Millennials entrent sur le marché du travail. La nouvelle génération met les organisations au défi, exigeant une culture d’entreprise qui partage leurs valeurs et surtout, que ces valeurs soient portées par le management et bien ancrées dans le quotidien de l’entreprise. L’étude Glassdoor confirme ce nouveau paradigme puisque 73 % ont déclaré ne pas vouloir postuler auprès d’une entreprise s’ils ne partagent pas ses valeurs.

 

Mais l’arrivée des millenials sur le marché de l’emploi n’est pas le seul enjeu de la transformation culturelle. En effet, notre économie contemporaine fait émerger de nouvelles tendances, de nouveaux modes d’organisation, qui donnent lieu à des transformations. Les enjeux sont nombreux : passage d’un mode organisationnel vertical à une organisation plus horizontale et ouverte, passage d’une économie centrée produits à une stratégie qui est centrée sur le client, nouveaux fonctionnements et pratiques managériales (modèle start up, entreprise réinventée, émergence du manager coach). Les entreprises travaillent par ailleurs davantage avec des acteurs internationaux, très divers : fournisseurs, clients, collaborateurs… Pouvoir travailler, échanger, ou encore négocier, avec des personnes de nationalités et de profils différents, est une compétence désormais clé. Pour toutes ces raisons , l’entreprise doit aujourd’hui se transformer, pour répondre aux nouveaux besoins des talents qu’elle recrute, pour assurer une diversité et une richesse de ses équipes, pour consolider son fonctionnement à l’échelle de la planète et finalement, s’adapter au monde qui change. 

 

Transformer la culture d’une entreprise, c’est remettre en question l’ensemble des comportements dans l’entreprise, mais aussi la politique, les engagements et les processus, afin que tous ces éléments qui constituent l’organisation, reflètent les valeurs et les croyances des collaborateurs. Il ne s’agit pas seulement d’adopter des comportements et des phrases toutes faites, mais bien de déconstruire les “règles” tacites qui régulent la vie de l’entreprise et les comportements inconscients, l’informel, le non verbal de chacun. Ainsi, une transformation culturelle, c’est aussi une transformation individuelle, qui vient chambouler les manières de penser des collaborateurs, qui fait évoluer les valeurs que partage le collectif, et changent concrètement la manière dont agissent les salariés. 

 

La culture d’entreprise se définit avec des mots et se met en œuvre avec les actes. Les comportements sont le témoignage concret de la culture d’une organisation. Pour s’assurer que le changement soit réussi, que les attitudes soient alignées aux valeurs de l’entreprise, le coaching collectif et individuel est crucial. Le manager est un pilier de toutes grandes transformations, car il accompagne le changement en impliquant chaque employé dans la grande aventure qu’est la vie en entreprise. Dès lors, quelles compétences le manager doit-il développer pour assurer la transformation culturelle de son organisation ? 

 

Diversité et Inclusion

Nos organisations sont composées de personnes venant d’horizons différents et elles interagissent avec une multitude d’acteurs dans le monde. Le terme diversité, comme le souligne Dr Derrick Gay– éducateur international spécialiste des compétences interculturelles, de la diversité et de l’inclusion – est souvent utilisé pour désigner des personnes identifiées comme étant “différentes”. Mais différentes de qui, de quoi ? Ce terme insinue qu’il existe une normalité, or, il existe seulement une pluralité de personnalités, de cultures, de pratiques religieuses ; de façons de percevoir et de vivre le monde. Alors que l’entreprise est un lieu propice pour porter les changements sociétaux et les développer, savoir diffuser une culture de l’inclusion et réellement comprendre la diversité est crucial pour les managers d’aujourd’hui s’ils veulent accompagner la transformation culturelle de leur organisation, et favoriser l’épanouissement des collaborateurs. Évoluer dans une entreprise qui favorise différents points de vue, qui écoute les variétés d’expériences, et où chacun et chacune peut s’exprimer librement, à un impact positif sur la performance globale de l’équipe et de l’entreprise. 

Discriminations et Diversité

Adaptabilité et Résilience 

En physique, la résilience désigne l’aptitude d’un corps à absorber les chocs. En psychologie, la résilience est la capacité pour un individu à faire face à une situation difficile ou génératrice de stress. Alors que la crise du COVID19 nous a tous surpris et contraints à modifier nos processus, la résilience est devenue une aptitude à développer de toute urgence. En effet, les salariés et les organisations évoluent aujourd’hui à travers des perturbations, qu’il faut apprendre à surmonter sans se laisser déstabiliser ! C’est tout l’intérêt de développer la résilience en entreprise. Un individu résilient saura mieux gérer son stress, s’adapte plus facilement à une situation imprévue et reste optimiste quant il fait face à l’adversité. La résilience et l’adaptabilité sont deux soft skills très recherchées, selon une étude Ifop Lavazaa, l’adaptabilité est même l’une des soft skills les plus valorisées en entreprise. S’adapter, c’est savoir évoluer dans un environnement différent de celui que l’on connaît, sans se laisser conditionner ou influencer par ce nouveau contexte. En tant que manager, développer la résilience des équipes est clé pour favoriser la cohésion de groupe et pour accompagner la transformation culturelle de son organisation. Surmonter les épreuves, être résilient ensemble renforce le sentiment d’appartenance à un groupe, un groupe soudé dans lequel on peut compter les uns sur les autres. Savoir s’adapter, c’est aussi savoir travailler entouré de différentes manières de penser, de faire et de concevoir des projets, ce qui est clé pour les organisations qui souhaitent réussir leur transformation culturelle. 

De la résilience individuelle à la résilience organisationnelle

Créativité et Innovation 

Travailler en équipe, surtout lorsqu’elle est composée de profils divers, est un excellent moyen de favoriser la créativité et l’innovation. Pour accompagner la transformation culturelle des entreprises, les managers doivent privilégier la co-création et faciliter l’expression de chacun. La créativité est parfois innée, mais elle peut se cultiver et se développer à travers la formation. Pour stimuler les équipes, et créer une vraie collaboration multiculturelle, les managers doivent aussi stimuler leur propre créativité et faire rayonner ce climat de droit à l’erreur, d’imagination, etc. Tous les collaborateurs doivent se sentir légitime à exprimer leurs idées,  à tâtonner, mais surtout, à construire collectivement. L’enjeu de la créativité pour la transformation culturelle réside dans la capacité du groupe à travailler en collaboration, à s’exposer à différents raisonnements et à entendre les points de vue des autres collaborateurs de l’équipe. De plus, nos nouveaux modes de travail ont également fait émerger de nouvelles méthodes telles que le Design Thinking ou le Mind Mapping. Ces nouvelles méthodes connues des nouvelles générations favorisent la cohésion d’équipe, libèrent la créativité et font émerger des solutions novatrices. Finalement, dans une organisation où tout le monde se ressemble, les idées sont similaires, et la remise en question est plus compliquée. La créativité est donc un élément indispensable pour réussir sa transformation culturelle, car elle initie chacun et chacune à travailler ensemble et à imaginer des solutions diversifiées, à l’image de l’entreprise. 

Libérez la créativité qui est en vous

En conclusion, les organisations font face à de nouveaux défis concernant les collaborateurs. Nouvelles quêtes de sens, nouveaux paradigmes managériaux, nouvelles exigences, l’entreprise doit se transformer pour rencontrer les valeurs et les attentes des collaborateurs d’aujourd’hui et de demain. Pour favoriser la cohésion, la créativité et l’innovation, le manager doit insuffler cette culture de la diversité, en chacun, pour que tous la comprenne et favorise son inclusion. Nous sommes tous différents, et chacun est “anormal” selon une norme établie. L’entreprise doit se nourrir de cette pluralité, et doit aussi mettre en place les moyens d’y parvenir. C’est la transformation culturelle et le manager est un pilier pour que celle-ci soit un succès. 

 

Coorpacademy s’intègre dans Teams : quand travailler, collaborer, et se former se fait au même endroit

 

Nous assistons à l’émergence de nouveaux outils collaboratifs plus ergonomiques, pensés pour communiquer de manière plus rapide et mieux organisée. Les e-mails sont de moins en moins courant et l’expression “Tu me slack”, faisant référence à la plateforme de communication collaborative Slack, commence à se démocratiser, tandis qu’en septembre 2019, la plateforme dépassait 12 millions d’utilisateurs actifs chaque jour. Ces outils qui fluidifient la communication entre les équipes et qui améliorent la productivité globale remplacent peu à peu les anciens outils de travail plus segmentés. C’est à la fois une transformation digitale, qui favorise l’adoption de ces outils numériques, mais c’est aussi une transformation générationnelle des méthodes de collaboration au travail. Les collaborateurs vont privilégier des canaux de communication complets et interconnectés, ou des écosystèmes tels que Microsoft Teams, qui facilite le travail en équipe et le télétravail en regroupant messagerie instantanée, visioconférence et partage de fichiers sur sa plateforme collaborative éponyme. En 2020, la plateforme Teams dépassait plus de 115 millions d’utilisateurs actifs par jour. 

 

Sous la pression du confinement et de la généralisation du télétravail, les entreprises s’adaptent et adoptent ces nouveaux outils qui permettent de travailler ensemble sur des fichiers en simultané, d’organiser des réunions, des conversations et des appels, bref, collaborer – même à distance – depuis un seul endroit, commun à chacun. Autant vous dire qu’à côté de ce que permettent ces nouveaux outils, les services de messagerie type Outlook, ressemblent presque à des fossiles de la communication professionnelle. Aujourd’hui, nous avons la possibilité de tout avoir à portée de main sur la même interface, pensée pour faciliter et fluidifier la communication. C’est une avancée naturelle, à mesure que l’expérience utilisateur sur les plateformes s’améliore, les outils de travail deviennent aussi plus faciles à prendre en main, et répondent encore plus aux besoins d’une entreprise.

 

Mais alors, pour vraiment répondre à tous les besoins de vos collaborateurs et leur fournir tous les outils pour améliorer leur productivité, la formation doit elle aussi faire partie de cet écosystème pour s’intégrer naturellement dans le flux de travail des salariés. Parce qu’un outil ne sert à rien si personne ne l’utilise, les solutions digitales de formation doivent être accessibles directement sur ces nouveaux outils collaboratifs, car c’est à cet endroit que les employés sont actifs, mais c’est aussi là qu’ils rencontrent le besoin de se former. Il existe même un parallèle entre l’évolution dont nous sommes témoins concernant nos modes de travail, qui deviennent plus ergonomiques, digitaux, et qui répondent à un ensemble de besoin grâce à une même solution globale ; et la formation, qui se digitalise, innove pour créer des formats adaptés aux besoins des apprenants et propose des contenus à forte valeur ajoutée à un seul et même endroit. Notre ambition chez Coorpacademy est de rendre accessible la formation à tous vos collaborateurs et d’être là où ils travaillent. Ainsi, pour que la formation soit à la portée de tous, la plateforme Coorpacademy s’intègre à Teams ! En effet, sur la plateforme Microsoft Teams, vous pouvez vous former en 1 clic en intégrant l’application Coorpacademy, qui sera accessible directement sur votre environnement de travail une fois téléchargée.

 

 

Les outils de travail se transforment en écosystèmes et sont de plus en plus intégrés, pour garantir un partage sécurisé de l’information au sein de l’ensemble de l’organisation et favoriser la collaboration. Nous le mentionnons dans notre article Apprendre et travailler en même temps ou quand la formation se joue à un clic”, la formation doit s’intégrer aux espaces de productivité de votre organisation, pour permettre à vos collaborateurs d’avoir accès en un temps record à un catalogue de contenus premium de cours et ainsi, mettre en pratique immédiatement les connaissances acquises et optimiser la rétention d’informations. 

 

Coorpacademy favorise l’innovation et la montée en compétences au sein de Swiss Life France

 

Nos clients ont des besoins en formation et notre mission est d’y répondre. Chez SwissLife, l’enjeu de la formation est de donner aux collaborateurs la possibilité d’être plus que jamais acteur de leur vie professionnelle et de favoriser l’innovation en développant leurs compétences, selon leurs choix, leurs besoins et à leurs rythmes.

Afin d’atteindre ces objectifs, Swiss Life et le Département Formation et Développement des Compétences de l’entreprise enrichissent régulièrement leur catalogue d’offres d’apprentissage de formations digitales différenciatrices. Aujourd’hui, le Département Formation intègre la plateforme Coorpacademy, afin de stimuler la curiosité des salariés et leur envie d’apprendre ! 

Nous sommes très fiers de pouvoir accompagner les objectifs stratégiques du groupe SwissLife à travers 4 parcours de formation sur l’innovation et la transformation digitale, retenu pour le lancement mi-juin 2021 de la plateforme : « Culture entrepreneuriale », « Culture digitale », « Créativité et agilité », et « Anticiper le changement ».

À travers notre catalogue de contenus premium, les collaborateurs de SwissLife auront l’occasion de développer leurs compétences sur des sujets stratégiques à l’entreprise comme la transformation culturelle, digitale, ou durable et de faire émerger encore plus une culture d’innovation en phase avec la raison d’être de l’entreprise.

« L’enjeu est de permettre à chacun de vivre selon ses propres choix et nos objectifs stratégiques. Pour y parvenir, il nous faut allier créativité, méthode et rigueur. Une combinaison de comportements que nous nous devons d’adopter collectivement  »
Eddie Abecassis directeur Innovation chez Swiss Life France


En savoir plus sur la place de Coorpacademy dans l’innovation chez SwissLife

Voir l'étude de cas