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« Le E-Learning, levier incontournable de la formation des équipes » :  le webinar en 4 points clés

 

Le 28 avril 2022, vous étiez près de 60 participants lors du webinaire « Le E-Learning, levier incontournable de la formation des équipes », organisé par le Gouvernement de Monaco en partenariat avec le Monaco Economic Board, la Fédération des Entreprises Monégasques et le Syndicat des Ressources Humaines. 

 

Lors de ce webinar, les intervenants, Jean-Marc Tassetto, CEO de Coorpacademy by Go1, et Nicolas Sosso, DRH adjoint du Gouvernement Princier, ont apporté de précieux éclairages sur la formation comme avantage concurrentiel, et sur les solutions mises à disposition des entreprises, salariés, fonctionnaires et étudiants, en Principauté.

 

Vous pouvez visionner, dès à présent et en intégralité, le replay de la conférence sur la plateforme Extended Monaco pour l’Entreprise ou un extrait ci-dessous :

 

Selon une étude, 95% des dirigeants estiment que la formation est cruciale pour l’avenir de leur entreprise. C’est pour cela que la plateforme Extended Monaco pour l’Entreprise s’appuie sur un plateau de e-learning, développé avec Coorpacademy by Go1.

 

Le webinar “Atelier du numérique” en 4 points clés :

 

1 )  Dans le digital learning, l’obsession, c’est d’engager.

Créée il y a 9 ans, Coorpacademy est une plateforme de Digital Learning dont le but était de réinventer l’ennuyeux e-learning historique. “Je dirigeais Google à l’époque, et même chez Google, on utilisait des solutions extrêmement ennuyeuses où l’on restait 50 minutes devant un écran à passer des slides Powerpoint” explique Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy.  Il a donc fallu réinventer toute cette expérience du Digital Learning, pour la rendre plus engageante. Depuis, Coorpacademy est utilisée par des centaines d’entreprises, et propose des formations à plus d’1 million d’apprenants à travers le monde. Fort de son expérience, son co-fondateur rappelle l’obsession du Digital Learning qui est d’engager, de donner envie – aux salariés, aux collaborateurs – de se former. 

 

2 ) Des collaborateurs mieux formés sont des collaborateurs plus efficients, moins stressés et prêts à affronter l’avenir incertain. 

Quasiment 100% des dirigeants qui ont déployé des programmes de montée en compétences constatent des effets bénéfiques. Lors de ce webinar, Jean-Marc Tassetto est revenu sur les avantages de la formation en ligne. Un des premiers effets bénéfiques porte sur la productivité. En effet, des collaborateurs mieux formés sont des collaborateurs plus efficaces dans leurs tâches. Il y a également des effets qui, suite à la crise sanitaire, sont très importants. Notamment l’amélioration de l’acquisition et de la rétention des talents. C’est-à-dire que la formation a un impact très positif sur le recrutement et sur la rétention des meilleurs talents. De plus, des collaborateurs mieux formés sont des collaborateurs qui sont plus à même d’aborder l’avenir incertain. Si l’avenir a toujours été incertain, le nôtre l’est particulièrement, tout comme il est complexe. Ainsi, la formation est un outil crucial pour soulager le niveau de stress et d’angoisse des collaborateurs en les formant mieux aux enjeux d’aujourd’hui et aux enjeux de demain qui, par définition, sont moins bien maîtrisés.

 

3)  Le Digital Learning, c’est tout sauf une vidéo posée sur une étagère digitale.

Pour mesurer l’efficacité d’une solution de digital learning, c’est avant tout l’engagement. Eh oui, encore faut-il que les apprenants se connectent et aillent sur la plateforme ! Il y a 10 ans, le e-learning européen représentait moins de 10% d’apprenants connectés. Le e-learning était tellement ennuyeux, tellement péjoratif, que les responsables de formation ne le proposaient plus aux cadres dirigeants. Jean-Marc Tassetto rappelle qu’aujourd’hui, dans nos entreprises – Coorpacademy réunit une soixantaine de collaborateurs et vient d’être racheté par un groupe australo-américain de 600 collaborateurs – il y a eu un vrai tournant positif : de plus en plus de gens dont la culture digitale c’est le smartphone,  WhatsApp, ou encore les jeux. C’est ici que tout réside. Il faut que le Digital Learning s’appuie sur la culture digitale réelle des collaborateurs d’entreprise. C’est pourquoi Coorpacademy s’appuie sur cette culture du jeu, du smartphone, des battles, des chats, des micro-vidéos, du microlearning, pour réécrire une pédagogie. Ainsi, le Digital Learning est tout sauf une vidéo posée sur une étagère digitale. Ça, ce serait un apprentissage passif, et ça ne marche pas.

 

4) Qu’est-que Extended Monaco Entreprises ? 

Lors de ce webinar, Diego Bonaventura, responsable de l’économie numérique de la Principauté de Monaco, est revenu sur la  volonté du Gouvernement de former les entreprises monégasques. En effet, dans un monde qui est dynamique, qui est en perpétuelle mutation, il faut apprendre et ré-apprendre à vendre, à acheter, à gérer ses clients, et où la technologie façonne les nouveaux usages et les modes de consommation qui impactent nos modèles économiques, il est indispensable de comprendre comment tout cela fonctionne.Il est donc indispensable de se former et comme tout va vite, il faut se former de façon continue. C’est pour cela que le Gouvernement Princier de Monaco a voulu ouvrir un accès à la plateforme Coorpacademy disponible sur le plateau Extended Monaco Entreprise. Comment en bénéficier ? Sur le site eme.gouv.mc, il vous suffit d’aller sur la rubrique « Se former au numérique ». Il vous sera proposé deux parcours différents en fonction de la typologie. Si vous êtes un actif monégasque, c’est-à -dire de la Principauté de Monaco, donc vous êtes salariés en Principauté, dans ce cas vous pouvez tout simplement faire une demande par la rubrique de contact. Votre demande sera traitée dans les 48h, durant lesquelles nous reviendrons vers vous pour ouvrir une licence et vous faire profiter des formations dispensées sur la plateforme Coorpacademy. Si vous êtes un entrepreneur et que vous n’avez toujours pas ouvert votre compte sur la plateforme Extended Monaco Entreprise, il vous faudra alors créer un compte et répondre à un questionnaire d’auto-diagnostic qui vous permettra de comprendre quel est votre niveau de maturité numérique. Suite à ce test, vous serez redirigé de façon très personnalisée vers la plateforme Coorpacademy qui, en fonction de votre niveau, vous proposera tout un panel de formations. 

 

Il faut également rappeler que ce programme est gratuit. “Toujours dans la volonté d’accessibilité et avec ce motto fort de vouloir placer la formation au centre de notre programme de transformation numérique, le Gouvernement finance ces formations” rappelle Diego Bonaventura. Ces formations sont donc accessibles gratuitement pour l’ensemble des salariés de la Principauté et bien sûr, tous les actifs et sans limites de licences. Par exemple, un entrepreneur qui a 10 salariés peut tout à fait inviter ses salariés à aller sur eme.gouv.mc et les orienter vers la plateforme Coorpacademy qui est ouverte gracieusement et financée par le Gouvernement ! 

 

Avec un accès gratuit pour tous les professionnels en Principauté, la plateforme Extended Monaco est une opportunité à ne pas manquer pour monter en compétences et être en mesure d’affronter les défis de demain !

 

Pour en savoir plus sur les formations mises à votre disposition, rendez-vous sur la rubrique « Se former au numérique » du site eme.gouv.mc.

 

Les bienfaits de la méthode Yogist® – Well at Work en entreprise : interview de Anne-Charlotte Vuccino

 

🧠 « Notre corps et notre cerveau sont encore, jusqu’à preuve du contraire, nos premiers outils de travail »

🧑‍💻 Le travail hybride s’intensifiant, nos métiers sont devenus de plus en plus sédentaires. Ainsi, la qualité de vie au travail est devenue une vraie priorité, à la fois pour la performance des équipes mais aussi pour l’attraction et la rétention des talents !

🎬 Découvrez l’interview de Anne-Charlotte Vuccino, CEO de YOGIST® – Well At Work, qui nous partage son retour d’expérience sur les bienfaits de la méthode Yogist en entreprise et nous explique sa perception de l’évolution de la QVT.

 

Trop stressées, trop sédentaires, les temps sont durs… Comment soulager et prévenir les maux du bureau et du travail à distance ?
Anne-Charlotte Vuccino : Depuis les confinements avec le télétravail obligatoire, puis avec le passage au mode de travail hybride, on est devenu encore plus sédentaires. Assis, toute la journée, devant nos écrans, à ne pas bouger suffisamment et ne plus prendre de pause, ni mentale ni physique.
Aujourd’hui, la méthode Yogist en entreprise, que ce soit au bureau
ou chez soi, elle apprend aux travailleurs à travailler ou à télétravailler
sans s’abîmer, en bougeant, en respirant, en oxygénant leur corps et leur cerveau qui sont, jusqu’à preuve du contraire, encore leurs premiers
outils de travail.  
Se détendre n’est pas si facile… Comment l’apprendre à un maximum de collaborateurs ?
Anne-Charlotte Vuccino : Très clairement, le digital nous permet aujourd’hui de toucher énormément plus de gens que si l’on avait enseigné ces exercices, ces méthodes en présentiel dans un bureau. Ça nous permet évidemment de décupler l’effet et les bienfaits de ces enseignements, et surtout de mettre à la disposition des collaborateurs des contenus, des techniques immédiatement accessibles quand ils en ont besoin, qu’ils soient chez eux ou au bureau. Et ça, ça change évidemment la donne.
La Qualité de Vie au Travail : tendance de fond ou cerise sur le gâteau ?
Anne-Charlotte Vuccino : Depuis la crise du Covid, la prévention santé en entreprise est devenue centrale. Il a fallu protéger les collaborateurs contre cette maladie, mais ce que j’ai vu, c’est que la qualité de vie au travail est devenue aussi un enjeu majeur. Ce n’est plus seulement un accessoire, une cerise sur le gâteau quand tout va bien. C’est devenu une priorité au sommet de la pile des préoccupations, parce que c’est vraiment un levier d’attraction et de rétention des talents. Et puis évidemment que lorsqu’on est bien dans son corps, dans sa tête, lorsqu’on n’a pas de troubles, musculosquelettiques, d’hyper-connexion ou de stress, on travaille évidemment mieux. Donc ça doit devenir encore plus un enjeu de performance pour le collaborateur et pour l’entreprise.
Ta meilleure astuce pour recharger instantanément tes batteries ?
Anne-Charlotte Vuccino : Quand je suis en train de gérer beaucoup trop de choses en même temps, quand j’ai plein de fenêtres ouvertes dans mon ordinateur interne et bien je fais une pause. Une pause physique ou une pause mentale. Oxygéner le cerveau, c’est aussi lui permettre de repartir au combat avec les idées plus claires. Et pour ça, on a un exercice tout simple chez Yogist, ça s’appelle le compte à rebours. On utilise des chiffres pour respirer de vingt-cinq à zéro,  une inspiration et une expiration par chiffre, en fermant les yeux et en se concentrant uniquement sur ce chiffre-là. Si on perd le compte, ça veut dire qu’on a pensé à quelque chose d’autre, donc on repart de vingt-cinq et à la fin des vingt-cinq respirations, je vous assure que vous serez beaucoup plus calme avec les idées beaucoup plus claires, avec les énergies et les batteries complètement rechargées.

2050 : L’Odyssée RH – Épisode 2

 

Quelque part dans le monde, à une date dont vous n’avez toujours pas l’utilité, nous avons localisé une technologie poussée permettant de nous immiscer dans le quotidien des salariés. Ce voyage fantastique à travers les expériences de différents collaborateurs vous entraînera jusqu’aux confins du Future of Work et vous permettra de percer les enjeux de transformation des entreprises. Aujourd’hui dans notre odyssée, découvrez le quotidien d’Hélix…

 

“Le verdict est tombé mardi soir. Une grande entreprise leader du secteur industriel en France vient d’être jugée pour inaction climatique due à l’utilisation de charbon dans sa production. Pour rappel, depuis le 28 janvier 2037, l’ensemble de la production d’énergie et de chaleur, y compris industrielle, ne doit plus utiliser de charbon. En effet, depuis déjà 15 ans, de moins en moins de Français se chauffent au charbon. Ainsi, tous les industriels devaient sortir du charbon avant 2035. Suite à la loi de 2037, les entreprises n’ayant pas organisé cette transition devront répondre aux sanctions prévues. Au total, l’entreprise devra payer…” 

Hélix éteignit son casque de réalité virtuelle où il regardait les informations du jour. Il était 19h et son temps quotidien était atteint. Au-delà, sa consommation aurait  enfreint la loi sur la sobriété numérique. Hélix pensait à cette histoire de charbon. Lui-même référent écologique au sein d’une grande entreprise financière, il avait dû se battre dans les années 2030 pour faire reconnaître de manière large et uniformisée les impacts sur le climat et sur la biodiversité des projets financés. En effet, à cette époque, alors que son poste venait d’être créé, il avait initié un large programme de sensibilisation et d’information autour de ce sujet, pour accélérer la transition écologique de son entreprise. Le projet avait connu un grand succès grâce à son organisation. Il avait d’abord lancé le projet sur des petites communautés au sein de l’entreprise, pour finalement atteindre tout le groupe, jusqu’aux décideurs cruciaux qu’il était essentiel de convaincre. 

 

En y repensant, son entreprise avait bien failli y passer s’il n’avait pas entamé ce projet de transformation, et il regretta même longtemps de ne pas avoir entamé ce projet plus tôt. Heureusement, son action avait abouti. Certes il avait fallu du temps, faire preuve de beaucoup de persuasion, et investir – peut-être perdre – de l’argent, mais le jeu en valait la chandelle. 

 

Car aujourd’hui, tous les acteurs privés et publics prennent systématiquement en compte les risques liés au climat (anticipations des effets du changement climatique, perte de valeur d’un actif après son achat du fait des politiques climatiques telle que les actifs liés aux énergies fossiles) et les opportunités associées (investissements devenant rentables du fait de politiques climatiques comme le prix du carbone). 

 

Historiquement, le milieu de la finance investissait massivement dans  des secteurs adossés aux énergies fossiles et donc néfastes pour l’environnement. En bref, il a fallu se battre pour réinvestir dans des activités plus respectueuses du climat. Aussi, une grande campagne de sensibilisation des risques financiers liés au climat avait réussi à faire pencher les investisseurs encore réticents. Ces risques financiers d’origine climatique étaient multiples. Tout d’abord les risques physiques qui pouvaient prendre la forme d’une destruction de stock d’actifs suite à des évènements météorologiques extrêmes favorisés par le réchauffement climatique. En témoigne l’année 2021 : feux de forêt géants, inondations, cyclones dévastateurs etc. Ces évènements ont un impact sur les populations, sur les économies et sur les revenus d’investissements. Mais ces risques impactaient aussi de nombreux secteurs et ainsi, détériorer les flux de revenus : récoltes plus faibles du fait de canicule, recettes du tourisme taries s’il n’y a plus de neige dans les stations de ski etc. 

 

Enfin, si cela avait pris du temps, c’était néanmoins possible. Il restait des retardataires, mais c’était maintenant eux que l’on pointait du doigt. À l’époque, ce n’était pas la norme. D’ailleurs, il avait lui-même poussé le projet suite à un rendez-vous avec son banquier, un jour de novembre 2029, qui lui avait recommandé de nouveaux produits d’investissements responsables. 

 

“Tiens, tu te rappelles quand j’ai entamé le projet Green or Nothing ?” dit-il à son compagnon qui préparait le repas. “C’était quand même un moment important de ma carrière. J’y repense et je me dis que l’investissement était énorme, mais il a été si bénéfique. Si nous n’avions pas anticipé les évolutions du marché et les réglementations, nous aurions dû nous transformer dans l’urgence et finalement, cela nous aurait coûté plus cher. Peut-être même la pérennité de l’entreprise”

 

“Oui c’est vrai. En fait, c’est comme quand on part en vacances et que j’oublie de faire ma valise en fonction de la météo. On se retrouve à faire toutes les friperies de la ville pour trouver des vêtements adaptés sur place. Ça nous coûte plus cher et peut-être même la pérennité de notre couple !”

 

“T’es bête” répondit Hélix en rigolant. Il repartit dans ses pensées. Demain était un jour important pour lui. On serait le 7 novembre 2050, et se tiendrait alors la COP 56. Il allait y participer avec un collectif de salariés, de dirigeants, de référents écologiques et avocats de la biodiversité pour participer aux questions autour de la transition écologique. Ces collectifs, apparus dès la COP26 de 2021 et qui comptaient une trentaine de personnes, sont aujourd’hui indispensables et représentent des milliers de salariés dans le monde. 

À l’époque, le credo était “Il suffit de 10 % des collaborateurs pour changer toute l’entreprise », aujourd’hui, nous sommes très fiers de pouvoir dire “c’est grâce à 10% des entreprises que le monde change”.

 

État des lieux

D’ici à 2050, les entreprises auront été bouleversées par la transition écologique. Suite aux conséquences du dérèglement climatique, elles n’auront pas eu le choix que de se conformer à de nouvelles réglementations, notamment dans les secteurs les plus influents. La neutralité carbone est atteinte pour la majorité des entreprises.

 

De nouveaux métiers auront été créés pour répondre à ces nouvelles exigences, comme par exemple le rôle d’un référent écologique, qui assurerait la prise en compte des impacts sur le climat et sur la biodiversité lors de chaque projets. 

 

Enfin, la prise en compte des questions environnementales ne sera plus isolée ou portée par quelques individus. Priorité mondiale, les rassemblements autour des solutions à apporter pour préserver l’environnement et lutter contre le dérèglement climatique seront au cœur du débat et invitera le plus grand nombre à y participer. Organisations non gouvernementales, institutions publiques, secteur privé et société civile trouvent des voies de coopération pragmatique qui permettent de trouver des solutions globales.

La battle entre collègues ou comment apprendre en équipe

Il est vendredi après-midi, et comme chaque semaine, vous vous connectez à votre plateforme de formation en ligne. Vous remarquez une notification :

 

Depuis que votre entreprise a mis en place une solution de digital learning pour former sur les soft skills, vous avez pris pour habitude, vous et vos amis de l’open-space, de vous défier sur différents cours. En effet, cette plateforme permet aux utilisateurs une expérience d’apprentissage gamifiée, où répondre correctement fait remporter des vies et où les utilisateurs peuvent s’envoyer des battles pour se tester sur différents sujets ! Cette plateforme vous a vraiment motivé à vous former régulièrement, et vous trouvez ça plus chaleureux et divertissant de tester vos connaissances sur un sujet en interagissant avec vos pairs, d’autant que cela vous aide à vous concentrer pour retenir le contenu du cours. D’ailleurs, c’est arrivé à plusieurs reprises que vous en parliez ensemble à la pause café, évoquant des informations apprises dans le cours ou comparant vos résultats. Depuis vos débuts sur la plateforme, vous avez d’ailleurs atteint le niveau Coach sur la plupart des cours, et vous pouvez ainsi aider vos pairs sur certains sujets. 

 

Vous décidez de cliquer sur la notification pour lancer la battle. Vous avez révisé quelques informations du cours au préalable, en réalisant un microlearning de 5 minutes sur chaque chapitres du cours. Maintenant que la battle est lancée, c’est à vous de l’emporter !

 

6/6. Vous gagnez la battle de justesse. Louis a également eu 6 bonnes réponses mais vous avez été plus rapide à répondre aux questions ! Heureusement que vous aviez révisé, cela vous a sûrement assuré la victoire. Vous vous empressez de proposer à votre collègue une petite pause café pour débriefer.

 

“Alors Louis, t’en as pensé quoi de ce cours ?”

“Haha et bien franchement, je saurais dorénavant que chaque fois que j’utilise une connexion réseau qui n’est pas celle de mon réseau d’entreprise, je n’aurais aucun contrôle sur ce qui est connecté à mon appareil. Moi j’utilisais souvent le Wifi dans le train par exemple, mais c’est mieux d’éviter d’utiliser le Wifi public apparement. 

“Ouais, c’est vrai qu’en déplacement on peut vite oublier ces règles de base pour être plus flexible ! Tu devrais en parler au service informatique, il pourrait installer un logiciel VPN qui te permettra de te connecter à partir d’un réseau externe !” 

“Tu as raison ! Dis-donc, t’as vraiment bien révisé toi…” 

“Tu devrais aussi t’y mettre car la semaine prochaine, c’est une Massive Battle qui est organisée sur la plateforme !”

 

Vous reprenez place à votre bureau et avant de vous remettre au travail, vous décidez d’envoyer une nouvelle battle à un autre collègue, afin de vous préparer à la Massive Battle de la semaine prochaine.

 

Qu’en pensent les chercheurs ?

Une étude récente menée par des chercheurs de l’université de Washington a montré que l’apprentissage actif, fondé sur la collaboration et l’interaction, avait un effet positif sur les résultats scolaires des étudiants. 

Ainsi, l’étude a révélé que l’absence d’apprentissage actif peut en fait nuire aux chances de réussite scolaire d’un étudiant. Par exemple, suite à l’expérience, il a été démontré que les étudiants qui suivent un enseignement traditionnel basé sur des cours magistraux ont 1,5 fois plus de chances d’échouer que ceux qui participent à des cours comportant un apprentissage actif.

 

Ce qu’il faut retenir

Le collaborative learning en entreprise est une forme d’apprentissage qui lie la capacité d’apprendre avec et grâce aux autres. Pour favoriser le collaborative learning, il est important de permettre des échanges et le partage entre pairs, afin de diffuser les connaissances. Si l’apprentissage collaboratif renforce l’esprit d’équipe, il est aussi plus efficace. Il permet aux employés d’apprendre en continu, à travers leurs échanges au quotidien et leurs retours d’expérience.

 

Comment cela se traduit chez Coorpacademy by Go1 ?

Chez Coorpacademy, pour favoriser l’apprentissage collaboratif, nous encourageons les apprenants à se défier et à tester leurs nouvelles compétences dans un mode de jeu très interactif et ludique. Celui des battles. Cet élément de jeu sur la plateforme en mode duel de questions permet à chaque apprenant de défier la personne de son choix sur le cours de son choix ! L’apprenant qui répondra correctement au plus grand nombre de questions – ou le plus rapidement en cas d’égalité – remporte la Battle, 5 points bonus, et une meilleure connaissance du cours.

Dans le cadre de notre programme d’animation de la plateforme et pour favoriser l’engagement des apprenants sur la plateforme, la battle peut aussi devenir massive ! Dans la Massive Battle, tout ou une partie des apprenants de la plateforme y participent et ils sont tous mis au défi par un seul d’entre eux. Ainsi, cette fonctionnalité permet aux équipes RH et formation d’animer la plateforme de formation pour pérenniser l’engagement des apprenants !

Le Digital Learning : cet ado qu’on adore !

Le Digital learning n’est pas quelque chose de nouveau, il est apparu il y a une dizaine d’année avec l’explosion d’internet. Aujourd’hui, le Digital Learning est plein de promesses, mais il lui reste encore beaucoup de défis à relever ! Adolescent très prometteur, quel adulte deviendra-t-il ? 

 

Découvrez le en 3 points clés :

-Le digital learning doit impliquer les apprenants et créer des interactions c’est comme ça qu’il apprend mieux. Formation en ligne ne veut pas dire aucune interaction, au contraire « sur les plateformes Coorpacademy, par exemple, chacun peut coacher ses pairs et répondre à leurs questions, pour gagner un cran dans la compréhension et la rétention, car valider un apprentissage et comprendre en profondeur, c’est être capable d’expliquer soi-même. » explique Arnauld Mitre (CEO Coorpacademy).

-La qualité du contenu est un défi majeur. Tous les contenus n’ont pas la même valeur, il faut les trier et les adapter à chaque apprenant. La bataille reste donc pour l’industrie du learning, la bataille du meilleur contenu, du contenu premium adapté à chacun.

– Mettre en place le développement des compétences pour les employés est une responsabilité des entreprises. C’est un enjeu clé qui doit être mis en place par les PME tout comme pour les grandes entreprises.

 

Pour en savoir plus, retrouvez l’intégralité de notre article sur e-learning letter !

2050 : L’Odyssée RH

 

Quelque part dans le monde, à une date dont vous n’avez pas l’utilité, nous avons localisé une technologie poussée permettant de nous immiscer dans le quotidien des salariés. Ce voyage fantastique à travers les expériences de différents collaborateurs vous entraînera jusqu’aux confins du Future of Work et vous permettra de percer les enjeux de transformation des entreprises. Aujourd’hui dans notre odyssée, découvrez le quotidien de Xoe…

 

“Bonjour Xoe, bienvenue chez Coorpacademy ! Je suis Onboard, ton assistant virtuel qui t’accompagnera lors de ton onboarding pour le poste de Customer Success Manager Junior. Je vois d’après ta fiche collaborateur que tu n’as encore jamais visité nos locaux physiques. J’espère que ce sera bientôt le cas mais avant toute chose, laisse-moi te guider dans nos métabureaux !”

 

Une icône de chargement apparaît sur ma gauche. Je réajuste mon casque.

Une fois bien positionné, la voix d’Onboard reprend : 

 

“Le métabureau est un espace de travail virtuel dans lequel toute l’équipe peut se retrouver, même à distance. Comme tu peux le voir, la reconstitution 3D de nos locaux te permet de découvrir ton espace de travail comme si tu y étais ! Si tu souhaites une visite guidée, appuie sur…” 

 

Je décide de couper le mode tutoriel. Je suis plutôt bien habituée à la réalité virtuelle, je me rappelle même avoir passé mon épreuve orale du bac de français à distance lors de la canicule de 2042. Je me déplace dans les bureaux virtuels et découvre des locaux lumineux et très ergonomiques, avec une cuisine toute équipée, allant du plan de travail de permaculture au bac de compost intégré à la cuisinière ! Dans l’open-space, les espaces de travail sont à la fois communs, mais on retrouve des petites cabines permettant à chacun de s’isoler si besoin, ce qui me plait car étant parfois un peu anxieuse, j’aime pouvoir me retrouver seule dans un endroit calme. 

 

Une nouvelle notification apparaît.

 

“Pour réserver votre poste de travail en amont, pensez à télécharger l’application “Coorpers Portal”, qui vous permettra d’effectuer toutes vos démarches en rapport à votre lieu de travail, contrat et autres demandes administratives”. Je remarque en effet que les espaces de travail ne sont pas assignés, et que des casiers connectés sont mis à disposition afin de stocker les effets personnels de chacun. Je comprends que l’application Coorpers Portal me permettra de réserver un bureau ou une salle de réunion, de louer gratuitement un casier connecté ou encore de poser mes demandes d’absences. 

 

La voix d’Onboard reprend alors que je finis la visite : “Comment se sont passés tes premiers pas dans nos bureaux ?”, un écran me demandant de noter ma visite entre 1 et 5 apparaît et alors que je renseigne ma note, la voix étonnamment humaine de cette intelligence artificielle me précise : “Pour ton information, toutes les datas recueillies à travers les questions posées sont anonymisées et nous permettent d’améliorer l’expérience collaborateur en continu ! Pour continuer ton onboarding, si tu rencontrais les équipes ?” 

 

Je confirme et suis alors propulsée dans une salle de réunion colorée et accueillante où s’affiche sur mon écran les témoignages en vidéo de plusieurs collaborateurs. Je peux faire défiler les vidéos et choisir d’en lancer une. C’est ainsi que je découvre les rôles de chacun. À la fin de chaque témoignage, Onboard me demande si j’ai des questions, et si c’est le cas, envoie directement un message à la personne concernée pour fixer un entretien afin d’approfondir mes questions.

 

“Il est temps de te faire rencontrer ton manager ! Un appel visio est programmé pour dans 10 minutes avec Clément M., Customer Success Manager Senior.” me précise Onboard, que je décide de mettre en mute dans les paramètres de mon casque virtuel. Je préfère les sous-titres, et c’est assez rigolo de pouvoir changer la langue dans laquelle Onbaord me parle. En effet, j’ai la possibilité de modifier les paramètres pour renseigner la langue dans laquelle Onboard est configuré. Cela me permettra de réviser mon anglais !

 

L’entretien avec Clément se passe très bien. Après m’avoir présenté le fonctionnement de l’équipe et les missions du poste, il enchaîne sur une partie de l’entretien plus personnelle. Je peux lui préciser que le pronom que j’utilise est bien le pronom elle, que je suis de nature anxieuse et que dans mon travail, je tire une grande satisfaction à avoir un vrai impact sur la société. 

 

“Super, tu as donc un mode de rapport au travail plutôt axé Impact. Je t’enverrai une notification pour remplir tes informations personnelles dans Coorpers Portal, ton pronom utilisé, tes passions, tes aspirations au travail, etc. L’intelligence artificielle de cette application nous permet d’identifier les projets qui te correspondent et aussi la meilleure façon de communiquer avec chacun des collaborateurs ! 

 

D’ailleurs en parlant d’application, nous avons également une version pour nos comptes clients. Outil central de notre équipe, l’application Coorp & Vous nous permet de centraliser des données sur la relation avec nos clients, de mieux les connaître en tant qu’individus, mais aussi en tant que qu’entreprise. Ils renseignent leurs enjeux, les niveaux de priorités,  les projets à venir, les axes d’amélioration, etc. Cet outil est très complet, il va falloir que tu apprennes à le prendre en main, car il te permettra de connaître ton client par cœur, pour mieux l’accompagner. J’ai déjà indiqué à Onboard de télécharger ces applications afin que tu puisses y jeter un œil aujourd’hui pour te familiariser et noter si tu as des questions !”

 

Une fois l’entretien terminé, je regarde la progression du chargement de l’application Coorp & Vous sur le casque virtuel. Je réfléchis à cet onboarding et pense à mes parents, qui parlaient de comment eux, ont vu les entreprises se transformer. Ce monde de demain, comme ils l’appelaient, ils ont participé à sa construction et aujourd’hui, c’est le monde dans lequel je vais devoir faire mes preuves.

 

État des lieux

En 2050, la digitalisation des entreprises aura bouleversé les modes d’organisations que nous connaissons, sur tous les niveaux.

Outil pour faciliter et automatiser certains process, le digital pourra remplacer le mentor lors d’un onboarding et permettra un gain de temps pour les managers

L’espace de travail sera également repensé pour créer un environnement sain, respectueux de l’environnement, et flexible : les bureaux ne seront plus assignés à un employé mais seront des espaces de travail que les employés pourront réserver à la journée, la cuisine sera équipée pour permettre aux employés de retrouver le même confort qu’à la maison, et l’entreprise pourra repenser ses espaces de travail en impliquant les questions de biodiversité et de respect de l’environnement. 

Enfin, les relations intergénérationnelles et les questions de prise en compte de la personnalité des collaborateurs seront primordiales. De plus, la data que les managers pourront collecter grâce à la digitalisation des process leur permettra de mieux connaître chaque employé, pour individualiser son mode de management et ainsi, engager les collaborateurs.

Go1 annonce l’acquisition de Coorpacademy afin de diversifier les contenus disponibles pour les apprenants et étendre sa présence Européenne.

 

Go1 annonce l’acquisition de Coorpacademy afin de diversifier les contenus disponibles pour les apprenants et étendre sa présence Européenne.

 

Un des leaders des plateformes de Corporate Learning poursuit son internationalisation grâce à l’acquisition de la plateforme européenne d’apprentissage en ligne Coorpacademy.

 

SAN FRANCISCO, 12 Avril 2022 — Go1, l’une des plus grandes plateformes au monde de contenus de formation pour les entreprises, annonce aujourd’hui l’acquisition de Coorpacademy, la plateforme d’apprentissage en ligne innovante et une bibliothèque de contenus premium au service d’une base de clients grandes entreprises internationales. Avec des bureaux en France et en Suisse, Coorpacademy soutiendra les plans de croissance de Go1 pour l’Europe, région stratégique pour développer le marché de la formation en Entreprise, et étendre son offre déjà riche de ressources numériques d’apprentissage et de formation.

 

Cette acquisition récente représente une belle opportunité pour Go1 et la rapproche de son objectif d’atteindre un milliard d’apprenants dans le monde. Elle souligne également l’engagement de l’entreprise à poursuivre sa dynamique de croissance constante après son tour de financement de série D de 200 millions de dollars en juillet 2021.Alors que Go1 continue à se développer à l’échelle mondiale en tant que leader dans le domaine de la formation en entreprise, l’entreprise prévoit de concentrer son expansion aux États-Unis et en Europe, mais se réjouit des possibilités de pénétrer de nouvelles zones géographiques à l’avenir.

 

« L’objectif principal de Go1 est d’aider les organisations et les apprenants à accéder à un contenu de qualité parmi des milliers de fournisseurs de contenu. La complémentarité avec Coorpacademy enrichit le mix de contenus de nouveaux partenaires de qualité, et nous aide finalement à adresser plus de compétences et de domaines d’intérêt pour nos Clients », a déclaré Andrew Barnes, PDG et cofondateur de Go1. « Coorpacademy est déjà bien établi en France et en Suisse, et nous sommes ravis de cette expansion géographique. »

 

Cette intégration se concentrera sur l’enrichissement des fonctionnalités existantes et des bibliothèques de contenus afin de s’assurer que les apprenants puissent disposer de contenus répondant aux besoins des entreprises. Avec près d’un million d’apprenants utilisant déjà la solution actuelle de Coorpacademy, l’intégration de cette dernière dans Go1 accélérera la croissance et le développement, et soutiendra la mission de Go1 en faveur de l’apprentissage tout au long de la vie. En outre, cette acquisition renforcera les racines existantes de Go1 en Europe et étendra la bibliothèque de contenus d’apprentissage en ligne dans la région, pour répondre à la demande croissante de contenus de qualité.

 

« L’approche unique de Go1 en matière d’apprentissage et de développement par le biais de playlists personnalisées fait de cette entreprise et de son équipe de dirigeants un partenaire idéal pour Coorpacademy », a déclaré Jean-Marc Tassetto, cofondateur et CEO de Coorpacademy. « Il s’agit d’une excellente opportunité pour nos deux sociétés de s’unir pour rendre la formation en entreprise accessible à des millions d’apprenants. Ce rapprochement ajoute également de la valeur pour nos Clients actuels, qui donnent la priorité à l’expansion de leurs ressources d’apprentissage et de développement. Nous sommes impatients de construire l’avenir du L&D avec Go1. »

 

Les cofondateurs de Coorpacademy, Arnauld Mitre, Frederick Benichou et Jean-Marc Tassetto, rejoindront l’équipe de direction de Go1 pour continuer à soutenir la croissance de l’entreprise et superviser les opérations quotidiennes de Coorpacademy.

 

Pour plus d’informations sur Go1 et Coorpacademy, visitez www.Go1.com et www.coorpacademy.com.

 

 

 

À propos de Go1 :

Go1 facilite l’apprentissage des organisations grâce à sa bibliothèque en ligne de ressources d’apprentissage la plus complète au monde. Go1 regroupe les meilleurs fournisseurs de formation en ligne du monde en un seul endroit, offrant ainsi en une seule solution, tout le contenu de formation dont une organisation a besoin. Avec plus de 3,5 millions d’apprenants – et en pleine croissance – Go1 est un leader mondial de l’apprentissage en ligne. Go1.com a levé plus de 280 millions de dollars US au total auprès d’investisseurs tels que AirTree Ventures, Blue Cloud Ventures, Larsen Ventures, Madrona Venture Group, M12, Our Innovation Fund, Oxford University, Salesforce Ventures, SEEK, SoftBank Vision Fund 2, TEN13 et Y Combinator. Pour en savoir plus, visitez le site www.go1.com.

 

À propos de Coorpacademy

Coorpacademy est une startup européenne leader dans le domaine du Corporate Digital Learning. Notre mission est de révolutionner la formation en ligne des entreprises grâce à une plateforme et une bibliothèque de contenus premium qui intègrent les dernières innovations en matière de conception pédagogique, notamment la gamification, le microlearning, l’apprentissage adaptatif et social. Nous promettons une expérience d’apprentissage plus engageante, flexible et collaborative, centrée sur l’apprenant.

Basés à Paris et à Lausanne sur le campus de l’École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), nous sommes au cœur de la recherche sur les nouvelles méthodes d’apprentissage.

Coorpacademy propose des contenus sur mesure pour ses clients Entreprises et leurs 1 000 000 d’employés, mais aussi un catalogue de plus de 1 800 cours produits avec les meilleurs partenaires de contenu du secteur, comme Forbes, IBM, Wolters Kluwer et Video Arts, afin d’améliorer les compétences des employés et leur permettre de développer leur employabilité.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.coorpacademy.com

 

 

Contacts médias :

Agence StoriesOut 

Anne de Forsan

[email protected]

06 07 67 30 38

Delphine Sibony 

[email protected]

06 82 18 98 53

 

 

 

 

 

 

5 podcasts qu’on recommande pour comprendre le monde du travail d’aujourd’hui… et de demain

 

En 2021, nous vous parlions des 90 millions d’écoutes par mois que représentaient les podcasts dans notre article Audiolearning : ce format qui fait du bruit. Une tendance qui devait être multipliée par 2 d’ici 2023. Ainsi, au mois de janvier 2022, 195.2 millions de podcasts français ont été écoutés ou téléchargés dans le monde, soit déjà le double qu’en janvier 2021 et 16 millions de plus qu’en décembre 2021. La croissance des podcasts est donc encore plus rapide que prévue. (Médiamétrie – eStat Podcast – janvier 2022)

 

Alors que le format audio progresse de manière fulgurante, et suite au succès de notre première série de podcasts Cybercafé, nous lançons une nouvelle série d’audiolearning : Coorpcast

 

Dès lors, nous souhaitions vous partager nos coups de cœur audio, des podcasts à connaître pour comprendre le monde du travail d’aujourd’hui… et de demain.

 

Coorpcast 

Consacrée à des sujets d’actualité et de prospective, Coorpcast est notre nouvelle série de podcasts qui traite de thématiques stratégiques pour les entreprises comme pour leurs collaborateurs !

Au programme : 5 épisodes pour décortiquer les sujets d’actualités qui impactent le monde du travail. 

Découvrez les extraits de chaque épisode en exclusivité ci-dessous ou écoutez-les directement sur votre plateforme cliente ! Pas encore client ? Faites une demande de démo pour les écouter en intégralité.

Épisode 1 – Le métavers

Dans ce premier épisode, vous allez apprendre ce qu’est un métavers et en découvrir les origines.

 

Épisode 2 – La grande démission

Dans cet épisode, nous revenons sur le phénomène de la grande démission, ses causes, les leçons à tirer pour le marché du travail et les nouvelles attentes des collaborateurs. 

 

Génération alpha 

Dans “Génération Alpha”, le podcast qui explore le futur du travail, le journaliste et podcasteur Hervé Hauboldt vous invite à un exercice de prospective, et à réfléchir dès aujourd’hui au monde d’après-demain. Dans ce podcast, théoriciens, sociologues, psychologues, coaches, consultants, scientifiques, chefs d’entreprise, DRH, salariés ou indépendants témoigneront de leur vision de l’avenir et traceront des lignes de fuite à l’horizon 2050.

Notre top 3 : 

RH : en 2050, quel avenir pour le travail et nos métiers ?
Intergénérationnel, mixité, diversité : quelle inclusion au travail en 2050 ?Coopération, collaboration, agilité : comment travaillerons nous en 2050 ?

 

Story RH

Story RH, c’est le podcast RH qui ne vous raconte pas d’histoires.  Au programme, des épisodes de 5-6min qui vous permettent de découvrir des thèmes aussi vastes que le management, les RH, la transformation des entreprises, le digital…  L’objectif ? Donner à chacun les clés pour apprendre, comprendre et enfin entreprendre ! 

 

Notre top 3 : 

3 clés pour faire parler les data en RH
Amis formateurs, arrêtons d’être démagos !
Quand le sens n’est pas le même pour tous

 

Travail (en cours)

Le podcast Travail (en cours) explore les bouleversements du travail et la place qu’il occupe dans nos vies, présenté par la journaliste et présentatrice Marie Semelin. 

 

 

Notre top 3 : 

Le droit à la déconnexion à l’épreuve du télétravail
Pourquoi rêve-t-on de tout plaquer pour élever des chèvres ?
Les leçons que tirent les chef.fes d’entreprise de la crise

 

Demain. Dès maintenant

Un peu plus large que le thème RH, le podcast Demain, dès maintenant aborde les grandes transformations actuelles liées au digital et aux nouvelles technologies. Ce podcast vous propose d’analyser les grands thèmes d’actualité qui sont en train de transformer en profondeur aussi bien notre vie quotidienne que notre vie professionnelle.

 

Notre top 3 : 

À force d’interagir avec des machines, risquons-nous de perdre notre humanité ?
Quelles seront les applications de l’IA dans 5 ans ?
Comment réinventer l’innovation ?

 

Cet article vous a fait tendre l’oreille ? Pour en savoir plus sur L’essor de l’audiolearning, (re)découvrez notre livre blanc qui regroupe la typologie détaillée des contenus audio, une autre sélection de podcasts traitant des grandes transformations des entreprises, le guide des bonnes pratiques à adopter et une vue d’ensemble des opportunités qu’apporte ce format aujourd’hui incontournable. Aussi, vous aurez toutes les clés pour créer et/ou intégrer une offre d’audiolearning pour former vos équipes ! N’attendez plus, appuyer sur play 😉 

 

Avez-vous un plan B ?

 

Le jeu commença graduellement à ralentir alors qu’ils sortaient de la phase d’ouverture sans avoir commis la moindre erreur et qu’ils entraient dans un milieu de partie serré, ayant chacun perdu un cavalier et un fou, avec leurs rois bien protégés et aucun trou dans aucune position… La négociation peut parfois ressembler à la célèbre série Netflix, le Jeu de la Dame. Chacun protège son roi et personne ne veut finir échec et mat. 

 

Les processus de négociation deviennent de plus en plus complexes avec souvent une ribambelle d’interlocuteurs à convaincre. La partie d’échec devient un tournoi, dans lequel la mise peut être remise en jeu à plusieurs reprises. Dès lors, se former aux techniques de négociation est essentiel, afin de connaître des techniques simples à mettre en œuvre pour remporter la partie. 

 

La playlist “Devenez un négociateur hors pair” disponible sur Team, la plateforme de formation conçue pour accompagner la croissance des PME, comprend des cours qui vous aideront à booster les compétences en négociation de vos équipes. Ordre du jour, plan B, marchandage, gestion des émotions et des sujets toxiques, pauses et silences… Cette playlist regorge d’astuces à connaître pour mener votre négociation de main de maître. Destiné à un large public, ces cours fourniront à vos collaborateurs les bases indispensables pour négocier dans toutes les situations.

 

Tellement indispensables que nous vous avons sélectionné 5 principes que nul ne peut ignorer  pour une négociation réussie, et ces conseils de pro sont directement issus de la  playlist de cours “Devenez un négociateur hors pair”

 

Le plan B

Dans votre négociation vous souhaitez toujours garder l’avantage, mais il est possible de faire face à un mur. C’est tout l’intérêt du plan B, qui est là pour vous rendre plus fort…  dans la négociation du plan A ! Tout comme la partie d’échecs peut parfois pencher au désavantage d’un des joueurs, le gagnant sera celui qui a plusieurs coups d’avance. Le plan B est ce que vous prévoyez de faire si vous ne parvenez pas à un accord sur le plan A. Il doit être concret, unilatéralement réalisable et satisfaisant, indépendamment de la négociation en cours. N’hésitez pas à le divulguer dès que vous en avez besoin comme par exemple lorsque votre interlocuteur, conscient de l’existence d’une échéance cruciale pour vous, décale intentionnellement les discussions pour augmenter la pression sur vous.

 

Piloter la discussion

Les négociations se déroulent souvent à plusieurs, contrairement aux parties d’échecs. Dans une négociation à plusieurs, vous devez veiller à discuter d’abord avec les intervenants de poids. Ainsi, vous êtes sûr que l’accord trouvé ne sera pas remis en question. C’est aussi une manière de rallier les intervenants mineurs. Dans un tournoi d’échecs, les intervenants de poids sont les joueurs les plus doués, ceux qui seront les plus durs à battre.  

 

Mais attention ! Dans un partenariat à plusieurs, il est nécessaire d’identifier les interlocuteurs les plus importants et de négocier avec eux en priorité, sans pour autant vexer les autres. C’est la seule manière d’éviter toute forme de pression ultérieure de la part de vos partenaires mineurs.

 

Négocier sur les principes, pas sur les positions

Comme Beth Harmon dans le Jeu de la Dame, anticipez ! De manière préventive, avant de démarrer la négociation, préparez-vous systématiquement à devoir expliquer les principes qui sous-tendent chacune de vos positions. Ainsi, vous commencez toujours par présenter le ou les principes qui sous-tendent votre position, c’est-à-dire le raisonnement qui la justifie. Votre interlocuteur aura donc moins de temps pour préparer une réponse à cette position, et réagira plutôt au raisonnement. 

 

Et que se passe-t-il si l’adversaire voit clair dans votre jeu ? S’il analyse tout dans le moindre détail et vous demande de justifier tel ou tel point ? Ne manifestez pas d’impatience ! Gardez votre sang froid, ne faites pas comme Beth en sombrant dans la dépression et l’alcool. Tenez-vous-en aux faits, évitez toute interprétation et présentez les propositions du point de vue des intérêts de votre partenaire.

 

Mener la réunion

Aux échecs comme au poker, l’attitude du joueur est aussi cruciale que son jeu. L’expression “poker face” en témoigne. Les émotions sont mises de côté et l’affectif ne tire plus aucune ficelle du jeu. À l’inverse, dans la négociation, la dimension affective est très présente avant, pendant et après la partie. Mais c’est un piège, en effet, les émotions négatives sont contagieuses et peuvent faire échouer la discussion. Il est donc nécessaire de bien séparer affaires et émotions !

 

Néanmoins, à l’inverse des échecs, la coopération est la dynamique la plus efficace dans la négociation. En effet, si vous traitez votre partenaire comme un adversaire, il agira comme tel et cela pourra mettre des freins à l’atteinte d’un accord.

 

La négociation est l’un des aspects les plus délicats du monde des affaires et peu de gens peuvent se vanter d’être de véritables négociateurs. Mais bonne nouvelle, savoir négocier est une compétence qui s’apprend ! Que vous négociez des transactions avec des investisseurs chinois ou que vous discutiez de qui va cuisiner ce soir, les principes de négociation sont les mêmes. Découvrez comment devenir un négociateur hors pair grâce à la playlist de formations en ligne disponible sur Team ! 

 

Les fondamentaux de la négociation

 

 

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Parlez-vous emojis ?

 

💡 92% des utilisateurs en ligne utilisent des émojis selon une étude Emogi. Le plus généralement utilisés pour mieux faire comprendre son propos ou partager son ressenti, ils font maintenant partie intégrante de notre quotidien. Pourtant, l’interprétation des emojis risque de devenir de plus en plus difficile, avec l’arrivée de nouvelles technologies telles que les emojis animés ou la réalité augmentée, selon M. Goldman,  professeur de droit à l’université de Santa Clara, auteur de l’article “Emojis and the Law”, publié dans la Washington Law Review.

 

Originaire du japonais “e” (image) et “moji” (caractère), le mot Emoji signifie donc Lettres dessinées. Ces émoticônes ont été démocratisées par les développeurs de communication comme Apple et Android ces 10 dernières années, mais le premier emoji a vu le jour en 1999 grâce au japonais Shigetaka Kurita. Aujourd’hui, il en existe plus de 2000, ils ont leur propre Journée mondiale – le 17 juillet – et sont intégrés dans 2,3 trillions de messages mobiles chaque année. 

 

💬 Les nouveaux codes de la communication

Les réseaux sociaux et les messageries instantanées nous permettent de communiquer massivement et rapidement, dès que nous en rencontrons le besoin. Ainsi, la communication repose aujourd’hui sur un outil nous permettant de partager l’information plus rapidement et les emojis ont pour objectif de raccourcir nos messages, afin de gagner encore plus de temps et de répondre à un message en un simple émoticône. Devenus une forme de communication presque universelle, un emoji :sourire: sera le même en France, en Espagne, aux États-Unis comme au Japon et il reste aujourd’hui difficile de se passer d’eux pour donner un ton plus humain à votre message virtuel.

 

🚀 Une opportunité pour les entreprises

Devenus indispensables pour ponctuer une phrase, accentuer une émotion ou glisser un sous-entendu dans une conversation numérique, les Emojis s’invitent aussi dans le monde du travail. En effet, certaines entreprises ou associations tirent parti des emojis pour leurs campagnes publicitaires :  Domino’s Pizza a récemment lancé une campagne Twitter où les gens du monde entier pouvaient tweeter l’entreprise avec l’Emoji Pizza pour en commander une. Les associations ont également compris l’efficacité que ces emojis peuvent apporter dans leur communication digitale, telle que l’organisation de défense de la nature  WWF, qui a lancé une campagne de sensibilisation 2.0 en se servant des Emojis à travers le hashtag #EndangeredEmoji (“Emoji en voie de disparition”) en 2016. Ainsi, force est de constater que les emojis ne relèvent plus seulement de la conversation privée et ne sont plus considérés comme un élément décoratif ou anodin ; ils représentent une nouvelle forme de langage amélioré qui trouve ses racines dans le digital, permettant de faire tomber les barrières linguistiques pour les marques.

 

Et ça marche ! Selon une étude menée par Adobe en 2019, plus de la moitié des utilisateurs d’émojis sont plus susceptibles de s’engager avec des marques qui utilisent des émoticônes en ligne : 60% déclarent aimer quand une marque utilise des émojis qui correspondent à sa personnalité, 51% disent qu’ils sont plus enclins à commenter un post sur les réseaux sociaux quand il contient des émojis, 48% sont plus enclins à suivre une marque et 44% à acheter un produit suite à une annonce utilisant des émojis.

 

👥 Et pour les salariés

Cette étude Adobe révèle également que 61% des utilisateurs d’émojis déclarent également utiliser des émoticônes au travail, le plus souvent (36%) avec des personnes de leur niveau hiérarchique.  Les collaborateurs qui utilisent des émojis au travail notent une influence positive sur la convivialité et l’entente cordiale entre collègues. En effet, 78% estiment que les émojis ont cette influence sur les affinités entre professionnels, 74% déclarent également que les émojis rendent les informations ou retours positifs plus sincères et 53% pensent qu’ils rendent les informations ou retours négatifs plus faciles à accepter. 

 

Dès lors, découvrez nos conseils pour parler l’esperanto digital au travail : 

1/ Utilisez les emojis oui, mais avec parcimonie

Le but des emojis n’est pas d’en abuser. Ils permettent d’adoucir un message ou de structurer une publication sur les réseaux sociaux entre plusieurs paragraphes, mais attention à ne pas les utiliser pour ponctuer chacune de vos phrases. 

 

2/ Attention aux emojis à double sens ! 

Un même émoji peut avoir des significations différentes en fonction des cultures, et donc être source de malentendus. Il existe déjà quelques pièges que vous pouvez éviter : 

🙏 Deux mains fermement placées l’une contre l’autre, signifiant « s’il vous plaît » ou « merci » dans la culture japonaise, se sont transformées en high-five (tope-là) dans nos cultures occidentales.

🍑 Certains fruits et légumes ont été détournés et ne sont plus vraiment représentatif du rayon primeur que l’on connaît.  

😭 L’emoji “Visage en pleurs” est plus généralement utilisé pour exprimer des sentiments intenses, comme un rire incontrôlable, la fierté ou une joie débordante. Il est devenu l’emoji le plus utilisé sur Twitter en 2021, devant l’emoji “Visage aux larmes de joie”.

Pour être sûrs de ne pas vous tromper, référez-vous à l’encyclopédie de l’emoji.

 

3/ Tâtez le terrain avant de vous lancer

Renseignez-vous sur les pratiques de vos interlocuteurs avant de vous lancer dans ce nouveau langage numérique ! Prenez le temps d’observer si les emojis sont courants dans les échanges et avec qui il est plus convenable de les utiliser. Le risque ? Que votre message soit interprété comme trop familier ou impoli.

 

4/ Le raccourci clavier est votre allié 

Pour retrouver vos emojis sur windows, tapez touche de logo Windows + . (point). Le clavier d’emojis pourra alors s’afficher. Sélectionnez un emoji à l’aide de la souris ou continuez à taper pour rechercher un emoji parmi ceux disponibles.

Si vous êtes utilisateur de Mac, il suffit d’appuyer simultanément sur les touches Control + Command + barre espace. Une fenêtre s’ouvrira alors au milieu de l’écran vous permettant de choisir parmi les milliers d’émojis du catalogue.

 

5/ Restez vous-même 

Finalement, les emojis peuvent être comparés à la communication non verbale que l’on adopte lors de nos échanges réels. L’important, c’est donc de rester soi-même et de ne pas trop en faire, ni de se forcer à les utiliser si nous ne sommes pas à l’aise ! 

 

Le développement du numérique nous oblige à s’adapter à de nouvelles formes de communication et d’adopter de nouvelles pratiques. L’introduction des emojis dans nos conversations en ligne a permis de les démocratiser, et d’en faire partie intégrante de notre culture digitale. Évoluant avec la société, les emojis se sont également diversifiés, proposant ainsi différentes tonalités pour la couleur de la peau, des emojis de genre neutre ou encore en tenant compte des handicaps. D’ailleurs, 73% des utilisateurs d’émojis souhaiteraient avoir plus d’options de personnalisation des emojis pour mieux refléter leur apparence et leur identité personnelle. Ainsi, l’Emoji fait maintenant partie de la culture moderne et impacte notre communication au quotidien. Il est devenu une forme de langage comprise par la majorité, qu’il faut savoir utiliser à bon escient. 

 

Pour finir et parce que nous aimons vous testez… Devinez quel cours se cache derrière cette série d’emoji : 

🥛 – 🕝⏳ – 💃🕺- 🎲 – rés – 💧- 👥

 

 

 

Réponse : Les - ten-dances - des - rés-eaux - sociaux 

Les grandes tendances sur les réseaux sociaux

 

Voir l'étude de cas