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Le trio gagnant du développement durable en entreprise : social, économique et environnemental

 

Cet article reprend et s’inspire de nombreux éléments d’un article de Courtney Norton, Content Writer, Go1 (retrouvez-en la version originale ici).

 

Le capitalisme financier, hérité des années 1970, touche aujourd’hui ses limites. Il ne prend pas suffisamment en compte ses externalités négatives : dégradation des écosystèmes, destruction de la biodiversité et réchauffement climatique. Pour retrouver le chemin d’une croissance durable et soutenable, les entreprises ont un rôle clé à jouer, pour doter notre système économique de nouvelles règles du jeu. 

 

Le dernier rapport d’évaluation du GIEC, publié le 20 mars, en souligne l’urgence. Il rappelle que les émissions de gaz à effet de serre dues aux activités humaines ont réchauffé le climat à un rythme sans précédent : la température de la surface du globe s’est élevée de 1,1 degré par rapport à la période pré-industrielle. Selon le rapport, quels que soient nos efforts actuels, le GIEC estime que le réchauffement de la planète atteindra 1,5 °C dès le début des années 2030.

 

Cependant, il est encore possible de limiter ce réchauffement à 2 °C, à la condition d’agir sans plus attendre pour prévenir les effets de ce réchauffement après 2030 afin de :

ramener les émissions mondiales nettes de CO2 à zéro ;

réduire fortement les autres émissions de gaz à effet de serre.

 

Attention néanmoins : agir en faveur d’un développement plus durable ne se cantonne absolument pas à planter des arbres. On vous explique. 

 

Plongeons dans l’univers du développement durable en entreprise et examinons quelques-unes des formes qu’il peut prendre. Nous proposerons également des mesures concrètes que les entreprises peuvent prendre pour améliorer la durabilité. Enfin, nous tenterons de répondre à la question : pourquoi se préoccuper du développement durable dans les entreprises ?

 

Durabilité sociale

La durabilité sociale est souvent écartée au profit d’autres types d’initiatives de durabilité jugées « plus importantes ». En réalité, elle joue un rôle clé dans la sécurité et le bien-être des collaborateurs sur le lieu de travail. Elle est tout aussi importante que la durabilité environnementale et économique.

 

La question est la suivante : comment pouvons-nous faire monter la durabilité sociale dans l’échelle des priorités afin qu’elle occupe la place qui lui revient à côté de la durabilité environnementale et économique ?  

 

Comme souvent, la réponse réside dans l’éducation. 

 

Les ressources d’apprentissage disponibles ne se limitent pas aux formations axées sur la conformité. Bon nombre de plateformes de formation proposent des cours qui permettent à tous les membres de l’entreprise d’apprendre comment ils peuvent être plus durables sur le plan social.

 

Ces formations peuvent les aider à répondre à des questions telles que :

Que pouvons-nous faire pour améliorer la sécurité psychologique sur le lieu de travail ? 

Comment faire en sorte que chacun se sente représenté et écouté au sein de l’entreprise ? 

Comment la durabilité sociale peut-elle impacter positivement l’image de l’entreprise auprès du public ?

 

Durabilité environnementale

À moins que vous ne viviez coupé du monde, nous ne vous apprendrons pas que la durabilité environnementale est un sujet brûlant, pour les entreprises comme pour l’ensemble de la société.

Il va de soi que les entreprises ont des capacités différentes et des responsabilités en ce qui concerne la manière dont elles peuvent impacter la transformation durable. Toutefois, l’essentiel est que les entreprises fassent un effort important, tourné vers l’impact. C’est ce qu’en attendent les employés et les consommateurs.

La pression croissante exercée sur les entreprises pour qu’elles fassent la preuve de leur engagement écologique n’est pas qu’une simple rumeur destinée à les culpabiliser. En 2022, les jeunes diplômés des écoles les plus prestigieuses (AgroParisTech, HEC, ESSEC…) appelaient leurs camarades à déserter les entreprises qui ne s’engagent pas sur le sujet climatique, en distinguant bien l’engagement par de vraies mesures et le greenwashing. 

 

Une étude de  Korn Ferry sur l’engagement des employés en 2018 explique que cet engagement est bénéfique pour l’entreprise pour attirer et fidéliser les talents. Pour 55 % des collaborateurs, l’engagement social ou environnemental d’une entreprise est un critère plus important que le salaire, quels que soient l’âge, la profession ou le domaine d’activité. Cette même étude rapporte que pour les collaborateurs les plus jeunes, cette proportion s’élève à 76 % .

Voici quelques leviers dont les entreprises peuvent se saisir pour s’engager en faveur de la durabilité environnementale : 

Étudier le type d’énergie utilisé pour fabriquer les produits. S’ils sont fabriqués à partir de charbon, est-il possible de passer à une source d’énergie plus durable, comme l’énergie solaire ou éolienne ?

Pour les documents que vous imprimez habituellement sur papier, essayez de les conserver sous forme de fichier numérique. De nombreux programmes permettent de surligner les documents ou d’y ajouter des notes sous forme numérique, ce qui évite d’avoir à les imprimer. Vous seriez surpris de voir à quelle vitesse une ou deux feuilles de papier s’additionnent à des milliers de feuilles dans une entreprise !

Pour chaque poubelle que vous avez au bureau, prévoyez également une poubelle pour le recyclage. Vous constaterez que le simple fait d’avoir la possibilité de recycler signifie que beaucoup moins de choses seront jetées à la poubelle. Il s’agit d’un petit investissement financier à court terme pour un gain environnemental à long terme.

 

Durabilité économique

Le maintien de la viabilité économique d’une entreprise consiste en grande partie à trouver le juste milieu entre la réduction des dépenses inutiles et l’investissement dans des projets favorisant la croissance financière à long terme de l’entreprise.

 

Pour déterminer à quoi peut ressembler une bonne stabilité économique pour une entreprise donnée, il est préférable de prendre contact avec un conseiller financier ou un professionnel équivalent. Les entreprises pourront ainsi se faire une idée précise des mesures spécifiques qu’elles peuvent prendre pour accroître et maintenir leur viabilité économique sur le long terme, tout en assurant la durabilité sociale et environnementale. 

 

Pourquoi se préoccuper du développement durable dans les entreprises ?

Vous pensez peut-être que le développement durable est plus une « bonne chose » qu’une « nécessité » pour votre entreprise. Après tout, la priorité ne devrait-elle pas être la croissance financière et la création d’une équipe de collaborateurs hors pair ? En réalité, le développement durable va de pair avec ces deux éléments.

 

Si les durabilités environnementale, sociale et économique portent des fonctions commerciales distinctes, elles forment quand même un tout. Si les trois sont présentes, l’équilibre tient. Dès que l’une d’entre elles est retirée ou mal organisée, le château de cartes risque de s’effondrer.

 

Cela ne veut pas dire que le fait de ne pas se concentrer sur l’un de ces types de durabilité entraînera l’effondrement total de l’entreprise (il en faut généralement plus). Toutefois, si, par exemple, la durabilité environnementale est négligée, les durabilités sociale et économique d’une entreprise risquent d’en pâtir également.

 

Pour aller plus loin, découvrez le MOOC du C3D “Comprendre la crise écologique pour réinventer l’entreprise” disponible sur les plateformes Coorpacademy by Go1 ou en ligne,  réalisé en partenariat avec 6 réseaux reconnus sur ces sujets : l’ADEME, le Collectif Génération Responsable, le Comité 21, le MEDEF, l’ORSE et le UN Global Compact France.

5 bonnes nouvelles avec l’arrivée du printemps

 

Vous n’avez pas pu le rater… Il est passé à 13h19, en pleine pause déjeuner. Il a enveloppé tout votre corps d’une étreinte chaude et cela à réchauffé votre coeur en un instant. Depuis, vous ne pensez qu’à lui. Vous n’avez qu’une hâte, finir la journée pour aller le retrouver. Ce fameux rayon de soleil annonciateur du printemps. 

 

“Mais il n’y a plus de saisons”, certes (et si ici le sujet n’est pas l’urgence climatique, vous pouvez retrouver notre article “Le développement durable, une priorité pour les entreprises” pour approfondir le sujet) mais le printemps, ce sont les premiers bourgeons, les retours des couchers de soleil en entendant les oiseaux – où les terrasses pour les Parisiens, autre type d’oiseaux migrateurs –  bref, c’est une période de renouveau et de rafraîchissement. C’est le moment idéal pour prendre soin de soi et mettre en place de nouvelles habitudes qui vous donneront de l’énergie pour les mois à venir.

Voici donc 5 choses que vous pouvez refaire à l’arrivée du printemps :

  1. Nettoyer votre maison : Le fameux ménage de printemps ! Cette expression tire son origine du monde agricole, où, après l’hiver, il était nécessaire de vider caves et greniers pour faire la place aux nouvelles récoltes des saisons à venir. Ainsi, c’est le moment idéal pour faire un grand nettoyage de votre maison. Rangez, nettoyez et débarrassez-vous de tout ce qui encombre votre espace de vie. Cela vous permettra de vous sentir plus organisés et plus productifs. En effet, il a été prouvé que le cerveau fonctionne mieux dans un environnement ordonné.
  2. Prenez le vélo : Le retour des beaux jours vous permettra d’échapper aux problèmes de transports. Si vous avez la possibilité de vous rendre à votre lieu de travail en vélo, on vous recommande vivement de vous y mettre au printemps !
  3. Faire de l’exercice à l’extérieur : Avec les températures plus douces, le printemps est le moment idéal pour faire de l’exercice à l’extérieur. Que ce soit pour faire du jogging, du vélo ou simplement marcher, profitez du temps agréable pour sortir et vous dépenser.
  4. Tombez amoureux : Le printemps est connu pour être la saison des amours. Alors aimez ! Vous-mêmes, vos amis, votre famille. Faites de la place pour prendre soin de vos relations.
  5. Apprendre de nouvelles compétences : Le printemps est le moment idéal pour apprendre de nouvelles compétences, que ce soit pour progresser dans votre carrière ou pour votre propre plaisir. C’est une période idéale pour suivre des cours en ligne afin d’apprendre quelque chose de nouveau et stimuler votre cerveau.

 

En conclusion, le printemps est une saison pleine de possibilités et d’opportunités ! 

 

Journée internationale des femmes 2023 : Coorpacademy by Go1 prend la parole en faveur d’un monde digital plus inclusif !

 

Cette année, la journée internationale des femmes se déroule sous le thème de l’innovation et des technologies pour l’égalité des sexes (ONU). Chez Coorpacademy by Go1, promouvoir l’accès à la la technologie et à l’éducation numérique est au cœur de notre mission. 

Le 8 mars, plusieurs membres de notre équipe se mobilisent en vidéo pour un monde digital plus inclusif ! Mais pourquoi est-ce important ? Regardons les chiffres de plus près… 

 

Le manque d’inclusion dans le numérique a des répercussions insoupçonnées. En incluant plus de femmes et d’autres groupes marginalisés dans le secteur des technologies, on favorise l’innovation et la prise en compte de plus d’utilisateurs dans la conception de ces solutions ! Ce qui a un impact direct sur l’économie et la compétitivité du pays, mais aussi des groupes marginalisés en question. 

 

Il est urgent de lutter pour un monde digital plus inclusif. Aujourd’hui, en France, seulement 13 % des métiers techniques sont occupés par des femmes et à peine 10 % des entreprises de la Tech sont dirigées par des femmes. 

Pour lutter efficacement, il existe de nombreuses solutions de formation pour accompagner les femmes, de tous les âges, dans leur montée en compétences mais également pour sensibiliser l’ensemble des collaborateurs des entreprises à l’inclusion des groupes marginalisés. Cela passe par la déconstruction des idées reçues, par la mise en place de programmes d’accompagnement, par des ateliers de sensibilisation, etc. Les solutions proposées sont variées, aussi variées que les racines de ce problème. 

En effet, si nous avons tous un rôle à jouer en entreprise pour encourager la diversité et l’inclusion, le point de départ évident est d’encourager les filles et les jeunes femmes à s’orienter vers ces métiers. 

Enfin, il est important de lutter pour un monde digital plus inclusif en sensibilisant au cyberharcèlement. En 2022, 65 % des Françaises de moins de 35 ans auraient vécu au moins une situation de cyberviolence au cours de leur vie (Ipsos). Malgré que de nombreuses lois protègent du cyberharcèlement et des raids numériques, « ces dispositifs juridiques ne fonctionnent pas sans éducation à l’utilisation des réseaux sociaux et au consentement », souligne Carlotta Gradin, Vice-Présidente plaidoyer d’ONU Femmes France.

Pour le 8 mars, transmettez le message autour de vous pour promouvoir les femmes dans la Tech et poussez pour un monde digital toujours plus inclusif ! Téléchargez notre kit de com en cliquant ici.

Vidéo interactive : le nouveau format incontournable pour engager vos apprenants ! 

L’efficacité du format vidéo dans le secteur de la formation en ligne n’est plus à démontrer. Cependant, à mesure que les habitudes de consommation de contenus en ligne évoluent, de nouveaux outils pour maintenir l’attention des apprenants se développent. 

Afin de booster l’engagement de nos apprenants, Coorpacademy by Go1 adopte un nouveau mode d’apprentissage, la vidéo interactive ! Grâce à K.Air, un outil Kumullus, la vidéo devient un support interactif dans lequel vous pourrez capter l’attention de vos collaborateurs et améliorer la performance de vos formations.

Fiction, formation : le meilleur des deux mondes

Vous avez adoré l’épisode intéractif de Black Mirror “Bandersnatch” ? Ou plutôt jouer les aventuriers en incarnant le héros de You vs Wild sur Netflix ? Vous connaissez déjà la vidéo interactive !

Si la célèbre plateforme de streaming place désormais les contenus interactifs au cœur de sa stratégie, c’est qu’elle a bien compris que ce format ludique permet d’éveiller la curiosité des téléspectateurs et de leur donner envie de prolonger le temps passé sur la plateforme.

Déjà inspiré par ces nouveaux formats d’apprentissage, Coorpacademy by Go1 lançait il y a 3 ans la série pédagogique interactive Suspects. L’apprenant se trouve dans la peau d’Alice Postel, spécialiste en analyse comportementale, et conseille dans l’ombre le jeune détective Carl Sanchez pour l’aider à mener son interrogatoire face à différents suspects. Le but étant bien sûr d’user de ses soft skills pour trouver le ou les coupable(s) au bout du troisième et dernier épisode.

 

Quelques chiffres

Face à la multitude de contenus disponibles sur les réseaux sociaux, les utilisateurs sont de plus en plus passifs. Perte de concentration et mauvaise rétention de l’information sont des conséquences de cette inactivité, notamment dans le domaine de l’apprentissage.

Selon Kumullus, face à une vidéo d’apprentissage, notre attention baisse significativement dès 2 minutes et elle ne dépasse pas les 10 secondes pour un message publicitaire en vidéo !

Une étude menée par Kumullus montre également que l’engagement des audiences est multiplié par 4 avec la vidéo interactive (*)

(*) étude menée auprès de +1,2 millions de personnes sur une campagne d’engagement client en assurances

Comment ça marche ? 

Grâce à l’outil K.Air, il est possible d’ajouter des interactions directement dans la vidéo de cours. Ces interactions peuvent prendre différentes formes : quiz et activités pédagogiques, médias de toutes sortes, documents à télécharger, ou infos supplémentaires.

Lorsque l’apprenant est en train de visionner sa vidéo de cours, il pourra voir dans la barre de lecture les interactions à venir.

Une fois que l’apprenant arrive au niveau d’une interaction, celle-ci s’ouvre sous forme de fenêtre pop-up pour dévoiler son contenu. Ci-dessus, un exemple de question à choix multiples.

Lors de la vidéo, l’apprenant peut également voir apparaître sur l’écran de lecture une icône telle que celle ci-dessus. C’est une information supplémentaire sous forme de “Le saviez-vous ?”. Si l’apprenant ne clique pas dessus, celle-ci ne s’ouvre pas automatiquement. Cela pousse davantage l’apprenant à être attentif et actif dans sa formation !

 

N’attendez plus et testez dès à présent ce nouveau format sur deux cours disponibles au catalogue :

Maîtrisez l’art de la présentation” co-édité avec Video Arts

Feed-back : mode d’emploi” par Coorpacademy

 

Pourquoi valoriser ses soft skills ? 4 points clés à retenir de l’interview d’Arnauld Mitre pour BFM Business

 

Arnauld Mitre, General Manager de Coorpacademy by Go1, répond aux questions de Nicolas Doze dans l’émission JMLECO, sur le site BFM Business ! Au programme : actualités du digital learning et importance des soft skills pour assurer la compétitivité de votre entreprise et la montée en compétences de tous les collaborateurs. 

 

Retrouvez le replay en ligne ici et découvrez les 4 points clés à retenir de cette intervention : 

  1. Oui à une bibliothèque de contenus à l’infini, mais gare à l’indigestion

Il faut pouvoir proposer à l’ensemble des collaborateurs de chaque entreprise ce dont ils ont besoin pour monter en compétences. Il faut donc un large choix de contenus premium, mais il faut en même temps s’assurer d’une très bonne curation de ces contenus. Concrètement, il faut proposer cette infini de contenus de façon digérable. C’est-à-dire, en créant des playlists, des parcours adaptés aux besoins de chacun. Et pour ça, il existe des algorithmes, l’intelligence artificielle, ou encore l’éditorialisation humaine, comme le font très bien nos équipes d’ingénieurs pédagogiques en charge du contenu chez Coorpacademy by Go1. 

 

  • La plateforme doit s’adapter à l’individu, pas l’inverse

La formation doit pouvoir répondre aux besoins qui ponctuent le quotidien de chaque collaborateur. Certains collaborateurs vont avoir besoin de se former rapidement, par exemple en vue d’une réunion sur la big data, le collaborateur va pouvoir suivre un microlearning pour voir en moins de 5 minutes l’essentiel sur le sujet et éviter la big cata en réunion. À d’autres moments, les collaborateurs ont plus de temps et vont pouvoir approfondir le sujet et suivre des modules de formation plus longs, plus complets. Il existe aussi des situations où le collaborateur cherche à évoluer professionnellement. On va pouvoir lui proposer de suivre un parcours entier de formation, et décrocher un certificat pour l’aider à changer de travail ! Si le collaborateur est en voiture, il peut également décider de suivre un podcast de formation. Les situations sont multiples, et c’est pourquoi notre catalogue de formation doit l’être aussi. Nous nous devons de fournir autant de formats possibles qu’il y a de manières d’apprendre. 


 

 

 

 

 

 

  • Le fond est tout aussi important que la forme

L’invention des nouveaux usages, nous la laissons au secteur de l’entertainment. Nous reprenons ses codes, nous nous y adaptons totalement. C’est ce qu’attendent les apprenants.  Quand on produit de la formation digitale, on ne peut pas se permettre de proposer des vidéos de plus de 8 ou 10 minutes. En effet, les réseaux sociaux ont changé notre façon de consommer du contenu et ont façonné de nouvelles exigences de la part des utilisateurs. Alors, quand les usages évoluent, les contenus s’adaptent pour rester pertinents aux yeux de ceux qui vont les consommer. 

 

  • Les robots ne font pas le poids face aux soft skills

Si l’automatisation des tâches en entreprise se développe,  avec les nouvelles utilisations de l’IA qui vont transformer nos organisations en profondeur, tout ceci vient surtout questionner le besoin en hard skills – compétences purement techniques. En effet, ce que ces avancées technologiques mettent en exergue, c’est avant tout la nécessité de développer les softs skills, ce qui distingue l’humain du robot. 

 

Comment gérer votre passion au travail (pas celle que vous croyez)

 

Aimez-vous votre travail passionnément ? 

À rebours du concept de démission silencieuse, le magazine britannique The Economist publie en cette semaine de Saint-Valentin un article sur les avantages et les risques liés au fait d’aimer (un peu trop) son travail, un phénomène qui serait en hausse (de 2% en 2007 à 16% en 2019).


Les chercheurs Jon Jachimowicz et Ke Wang de l’université de Harvard ainsi que Erica Bailey de l’université de Columbia expliquent que les employés qui sont perçus comme plus passionnés par leur travail que leurs collègues auront tendance à recevoir un feedback plus positif de la part de leurs managers et auront également plus de chance d’être promus ou se voir proposer des opportunités de formation. 

Cela peut créer le risque pour les employeurs de sous-valoriser la compétence (ou l’éventuel manque de compétences) des collaborateurs passionnés, au profit de leur motivation. Pourtant, le boulanger le plus motivé du monde pourrait tout à fait vous proposer les pires profiteroles que vous aurez jamais goûtées. 

Il y a également un risque pour les employés : même si leur motivation est bien réelle, elle ne doit pas se transformer en des comportements compulsifs. On doit aimer son travail sans en être obsédé… Une certaine distance est importante pour maintenir une bonne hygiène de vie. 

 

Alors, comment éviter que votre travail ne devienne une relation toxique ? Voici 5 cours pour vous aider à ne pas tomber sous l’emprise de la passion…

Agir pour se protéger du burn-out co-édité avec Dunod Formation

Préserver son bien-être psychologique co-édité avec Video Arts

Télétravail : santé, motivation et sécurité co-édité avec lawpilots

Intelligence émotionnelle : gérer les émotions au travail co-édité avec Dunod Formation 

Le bien-être à l’heure du numérique par Coorpacademy

 

Saint-Valentin : 5 softs skills essentielles pour renforcer vos relations

La Saint-Valentin approche à grands pas ! C’est donc le moment idéal pour vous concentrer sur vos compétences relationnelles. Oubliez Cupidon, votre vrai allié sont les soft skills, aussi appelées compétences douces. Alors le 14 février, que vous soyez en couple, entre amis ou en solo, utilisez vos soft skills pour faire de vos relations un succès ! 

Dans cet article, nous allons explorer 5 softs skills essentielles pour renforcer vos relations et créer une connexion plus profonde avec votre partenaire, vos amis ou encore vos collègues. 

 

  1. La communication :
    Vous ne serez pas surpris, la communication est l’un des piliers de toute relation saine et heureuse. En développant votre capacité à mieux communiquer, vous pouvez éviter les malentendus, les disputes inutiles et renforcer vos liens. Il est important de savoir écouter l’autre, de poser des questions pour clarifier les choses et de s’exprimer clairement. N’hésitez pas à vous former aux fondamentaux de l’écoute active pour faire durer vos relations sur le long terme ! 

  2. L’intelligence émotionnelle :
    L’intelligence émotionnelle, également connue sous le nom de quotient émotionnel (QE), est la capacité à évaluer correctement vos émotions ainsi que les émotions des autres dans toutes les situations, utiliser un bon jugement et se comporter de manière appropriée pour atteindre le résultat souhaité. Développer cette compétence vous permettra de prendre de meilleures décisions pour vos relations, et de mieux vous comprendre l’un et l’autre.  
  3. L’agilité :
    La vie peut être imprévisible et les situations peuvent changer rapidement. Avoir la capacité à être flexible et accepter les changements peut vous aider à naviguer dans les moments difficiles et à renforcer vos relations. Soyez ouvert d’esprit et considérez les changements comme des opportunités ! 
  4. La résilience :
    La résilience est clé pour surmonter les épreuves et les échecs que vous pourrez rencontrer dans vos relations. Savoir rebondir et aller de l’avant est crucial pour les maintenir, car la vie n’est pas un long fleuve tranquille. Et puis, on ne vous le souhaite pas forcément, mais toute relation peut connaître une fin. Alors autant développer sa résilience pour éviter la dépression post-rupture !
  5. La résolution de problèmes :
    Les problèmes sont inévitables dans toutes les relations, mais la capacité à les résoudre peut faire toute la différence. En apprenant à identifier les problèmes, à les aborder ensemble et à trouver des solutions, vous serez plus serein et vous éviterez les malentendus qui peuvent parfois prendre trop de place.

 

En développant ces 5 soft skills, vous pouvez renforcer votre relation et vivre une Saint-Valentin heureuse et épanouissante. Prêts à vous former ? Voici notre sélection de 5 cours pour renforcer vos relations, qu’elles soient amoureuses, amicales ou professionnelles.

 

  • Améliorer son écoute co-édité avec les Éditions Eyrolles

Améliorer son écoute

  • Développer l’intelligence émotionnelle co-édité avec Talentquest

Développer de l’intelligence émotionnelle

  • Testez vos facultés d’adaptation par Coorpacademy 

Testez vos facultés d’adaptation

  • Améliorer son jugement co-édité avec Olivier Sibony

Améliorer son jugement

  • Pensée créative et résolution de problèmes co-édité avec Talentquest 

Pensée créative et résolution de problèmes

Notre client FDJ – La Française des Jeux remporte la Learning Cup !

Nous étions ravis de récompenser la FDJ – Française des Jeux et de remettre le trophée de notre Learning Cup à Jérome Pesenti, chef de projet formation chez FDJ, et Sherlina Austin, cheffe de projet formation chez FDJ !

« Il est important de former chaque collaborateur au niveau individuel. La plateforme de formation en ligne de Coorpacademy by Go1 répond à nos enjeux et donne accès facilement et rapidement à des formations adaptées à chacun » Jérome Pesenti – Chef de projet formation chez FDJ

 

Chez Coorpacademy by Go1, la gamification est clé pour engager les apprenants ! Ce trophée a été remis dans le cadre de notre animation « Learning Cup » : une compétition entre les apprenants de nos différentes plateformes clientes, mettant en avant l’esprit d’équipe !

Le but ? Suivre les cours de la playlist spécialement conçue pour l’animation et mettant avant les secrets et les avantages du travail en équipe, ainsi que les stratégies à mettre en place pour gagner sur tous les terrains. La playlist se composait des cours suivants : 

1 – Le coaching entre pairs co-édité avec Sia Partners

Le coaching entre pairs

2- Intelligence culturelle : un atout majeur sur le lieu de travail co-édité avec TMA World

L’intelligence culturelle : un atout majeur sur le lieu de travail

3- Animer des sessions d’innovations co-édité avec Talentquest

Animer des sessions d’innovation

4- Accroître la performance de l’équipe co-édité avec Eyrolles

Accroître la performance de l’équipe

5- Théorie des jeux : résolvez le dilemme du prisonnier édité par Coorpacademy

La théorie des jeux : résolvez le dilemme du prisonnier

6- Réussir sa négociation commerciale co-édité avec Dunod

Réussir sa négociation commerciale

7 – Prise de décision en équipes co-édité avec VideoArts

Prise de décision en équipe

 

FDJ – La Française des Jeux a été la plateforme avec la plus forte croissance d’activité (en nombre de questions répondues) lors de cette Learning Cup. Bravo aux apprenants pour leur engagement et aux équipes L&D de FDJ !

 

Et si vous visiez le million d’heures en 2023 ?

 

Arnauld Mitre, co-fondateur et General Manager de Coorpacademy by Go1, est intervenu dans le cadre du salon Learning Technologies 2023 à Paris le 2 février dernier afin de partager ses conseils pour augmenter le nombre d’heures de formation des collaborateurs. Et si vous visiez le million d’heures en 2023 ?

Dans cet article, nous revenons sur les trois leviers clés qu’il a mis en évidence pour atteindre cet objectif ambitieux : augmenter la population apprenante, augmenter la fréquence de connexion par apprenant, et enfin augmenter le temps d’apprentissage par apprenant. En bref, il s’agit de créer une réelle culture d’apprentissage au sein de votre entreprise.

 

“On n’apprend rien quand on s’ennuie” 

Cette citation tirée de la présentation d’Arnauld Mitre résume bien l’enjeu qui réside dans la curation de contenus de formation. Le contenu est un élément clé pour engager les collaborateurs. C’est en misant sur des contenus de formation de qualité et originaux que les entreprises parviennent à augmenter le temps que consacrent leurs collaborateurs à l’apprentissage. Les tendances de consommation de votre plateforme de formation est également un bon élément pour construire sa stratégie de formation. Arnauld Mitre a révélé les dix cours les plus joués sur les plateformes clientes de Coorpacademy by Go1 en 2022, ce qui a donné un aperçu des tendances d’apprentissage pour 2023. Des cours tels que « Introduction à l’IA », « Passer en mode agile » et « Gérer les émotions au travail » se sont avérés être très populaires. 

 

Il a également souligné l’importance de diversifier les formats pour donner aux collaborateurs envie d’apprendre et l’engager au maximum. La formation peut s’adapter à chaque apprenant en proposant le contenu adéquat au bon moment. Chez Coorpacademy by Go1, nous misons sur l’innovation pédagogique pour proposer aux apprenants une variété de formats d’apprentissage. Escape game, audiolearning ou encore série interactive, nos formats s’adaptent aux envies et aux besoins des apprenants. 

 

Enfin, pour engager les collaborateurs dans la plateforme de formation, tout est question d’expérience utilisateur. Chez Coorpacademy by Go1, gamification, interface simple et intuitive et mises à jour fréquentes sont des piliers de notre succès. 

 

Pour en savoir plus, ne manquez pas sa prochaine interview sur JMLECO avec Nicolas Doze ou demandez une démo pour transformer votre entreprise en organisation apprenante !

 

Dans les arcanes du mode révision

 

Il vous arrive de ressentir que vous avez une mémoire de poisson rouge ? C’est normal : notre cerveau a tendance à oublier de nouvelles informations 48 heures après les avoir apprises. 

C’est pourquoi, dans un parcours d’apprentissage, il y un enjeu particulièrement important du point de vue pédagogique : celui de la rétention de la connaissance sur le long terme. Le nouveau mode révision de Coorpacademy by Go1 garantit aux apprenants une excellente mémorisation des contenus appris (sans avoir recours aux fiches bristol du bon vieux temps, c’est promis !).

 

La courbe de l’oubli, un phénomène tout à fait normal

Sans répétition, l’information – vue, lue, entendue… – s’évapore. C’est ce que l’on appelle la courbe de l’oubli, théorisée par le philosophe et psychologue allemand Hermann Ebbinghaus au 19ème siècle. D’après ses recherches, dont il était le cobaye, on oublierait environ la moitié des informations en quelques jours. Bien sûr, ce temps d’oubli dépend de plusieurs paramètres : type et quantité d’informations, profil de l’individu, connaissances antérieures, conditions d’apprentissage, etc. Le phénomène est tout à fait normal, l’oubli faisant partie intégrante de l’apprentissage : en effet, pour ne pas saturer, notre cerveau fait le tri entre les informations utiles et inutiles. 

Le cerveau conservera donc plus volontiers votre code de carte bancaire qu’une formule de maths obscure apprise au lycée. Mais si vous teniez absolument à la retenir, cette formule ? Et si ce n’était pas qu’une seule formule, mais tout un cours sur les fonctions du second degré, par exemple ? Il vous faudrait mettre en place une stratégie de mémorisation volontaire, avec des fiches bristol comme au bon vieux temps et des piqûres de rappel régulières pour réactiver vos connaissances. Ce qui demande une bonne dose de motivation personnelle. C’est pour cette raison qu’un outil dédié, permettant l’automatisation de la révision, peut faire toute la différence.

 

Synthétique et rapide : le but du mode révision est d’aller à l’essentiel !

L’objectif du mode révision est de proposer une solution à nos apprenants pour que les savoirs dispensés sur notre plateforme soient durablement acquis. La règle est simple : les questions de cours auxquelles l’apprenant a répondu sont stockées, ainsi que le statut de chaque question : validée ou non. Lorsque l’apprenant souhaite réviser, il lance le mode révision et sélectionne la compétence qu’il veut améliorer : 5 questions associées à cette compétence lui sont ainsi proposées de manière aléatoire, et en version épurée, à la manière des flashcards (pas d’indice, pas de « le saviez-vous », uniquement la question, les propositions de réponse et le point-clé). Synthétique et rapide : le but est d’aller à l’essentiel ! Bien sûr, l’apprenant peut enchaîner autant de lots de 5 questions qu’il le souhaite, tant qu’il y en a encore en stock.

Lors du développement de l’algorithme du mode révision, une question s’est posée : comment définir le moment idéal pour instiller la piqûre de rappel ? En s’appuyant sur la logique de la courbe de l’oubli, il fallait pouvoir présenter la notion à réviser à l’apprenant juste avant que celle-ci ne s’efface de sa mémoire, et ainsi aplatir au maximum la courbe en espaçant le délai entre chaque rappel, au fur et à mesure des séances de révision.

  

Le moment opportun de révision (ou les dessous de la construction de notre algorithme) 

Mais quel est ce moment opportun ? Comment savoir au bout de combien de temps, en moyenne, l’information s’égare dans les limbes du cerveau ? Comme nous l’avons dit précédemment, environ la moitié des informations s’efface en quelques jours : c’est ce qu’on appelle le temps de demi-vie. Mais ce temps d’oubli dépend de divers facteurs. C’est pourquoi nous avons décidé d’étudier le comportement de nos utilisateurs sur l’ensemble des contenus de notre propre plateforme afin de définir ce délai et de proposer l’expérience la mieux adaptée aux usages de nos apprenants.

Pour cela, il a fallu étudier les questions auxquelles les apprenants avaient répondu au moins deux fois (en éliminant celles qui étaient trop éparpillées dans le temps, ce qui aurait produit des données peu significatives). Sur un total de près de 35 millions de questions, nous avons pu en analyser environ 50 000 qui répondaient aux critères souhaités. Nous avons obtenu un nuage de points évoquant une courbe décroissante exponentielle, ce qui appuie la théorie d’Ebbinghaus. À partir de ces données, nous avons pu estimer le temps de demi-vie moyen pour nos apprenants, qui est de 6 jours. En somme, un utilisateur a 50% de chances d’avoir oublié l’information au bout de ce laps de temps.

À partir de cette information, nous avons ensuite pu définir les paramètres de l’algorithme. À chaque fois qu’un apprenant révisera une question, l’algorithme calibrera la nouvelle demi-vie pour la prochaine piqûre de rappel, en fonction de sa réussite ou de son échec à cette question. Ainsi, si l’apprenant a répondu correctement, le délai de rappel sera allongé ; s’il s’est trompé, la question lui sera proposée plus rapidement.

Et pour motiver encore plus nos apprenants, on attribuera le double d’étoiles – 8 au lieu de 4 – pour chaque question à laquelle ils répondront correctement. De quoi grimper rapidement dans le classement… à condition de réviser régulièrement !

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